The Vampire Diaries

chapitre 51

Point de vue Nina:

« -Allo ma princesse ? Fit la voix de Ian à l'autre bout du fil.
-Ian... Soufflai-je d'une petite voix contente de l'entendre. J'allais justement t'appeler...
-ça ne va pas ? Il y a un problème ? Demanda-t-il et je pouvais entendre toute l'inquiétude dans sa voix.
-Pas trop... Je pense que Jules est malade... Depuis tout à l'heure il pleure dès que je ne l'ai as dans les bras, il ne veut rien manger... Il tremble, il tousse et je pense qu'il a de la fièvre... Expliquai-je d'une voix tremblante.
-Calme toi ma puce, ça va bien se passer d'accord ? Tu vas l'emmener chez le médecin et...
-Je voudrai que tu sois là avec moi... Murmurai-je au bord des larmes, vraiment inquiète pour mon fils qui toussait de plus en plus fort.
-Oui, j'arrive mon cœur, je rentre à l'hôtel je prends mes affaires et je prends le premier avion d'accord ? Mais ne stresse pas, les médecins vont te dire quoi faire et tout va bien ce passé. Tu m'appelles dès que le médecin te dit ce qu'il ne va pas. Essaya-t-il de me rassurer mais je voyais qu'il était tout aussi inquiet que moi.
-Hum... Dis-je simplement en hochant la tête même s'il ne me voyait pas.
-Ne pleure pas en tout cas, j'arrive et je t'aime fort !
-Moi aussi... Soufflai-je avant de raccrocher. »
-Aller mon cœur, on va aller chez le médecin... Murmurai-je pour moi-même en mettant un pull chaud et un petit manteau à Jules qui c'était un peu calmé mais qui gémissait et tremblait toujours.
Je pris ensuite ma veste, mon sac et mes clef de voiture puis installai Jules dans son siège auto et il recommença à pleurer. Je suis tandis son doudou mais il ne cessa pas pour autant de pleurer, voulant vraiment être dans mes bras. Ça me déchirait le cœur quand je le voyais comme ça... Mais je ne pouvais rien faire pour lui.
-Maman conduit Jules... Je ne peux pas te garder sur mes genoux... Dis-je en finissant de l'attacher puis en m'installant sur le siège conducteur.
Pendant tout le trajet, il avait continué de pleurer à sans décrocher les poumons et ça me faisait vraiment mal de le voir comme ça.
J'eu assez de chance, le médecin, que je connaissais bien comme c'était lui qui c'était occupé de Jules depuis sa naissance, accepta de nous recevoir tout de suite malgré les deux dernières personnes qui attendaient dans la salle d'attente.
Il déshabilla Jules pour l'examiner, et regarder sa respiration et prendre sa température qui était très élevé. On voyait que par moment, il avait un peu de mal à respirer et je regarder le médecin avec mon fils, complétement impuissante et morte d'inquiétude. Lorsque le médecin lui prit la tension, Jules se mit à vomir puis il toussa de plus en plus fort comme si il allait s'étouffer.
-Je pense qu'il va falloir l'emmener à l'hôpital... Fit alors le médecin mettant deux doigts sur la George de Jules.
-Quoi ?! M'exclamai-je encore plus inquiète. Pourquoi ? Qu'es ce qu'il a ?
-Ne vous inquiétez pas, il a juste attrapé un virus et il a du mal à respirer par lui-même, il va falloir le brancher à un tube d'oxygène et lui faire une perfusion de médicaments comme vous m'avez dit qu'il ne veut rien manger et qu'il vient de vomir...
-Mais c'est grave ? Le coupai-je en caressant la joue de mon bébé qui s'était un peu calmé et qui devait être crevé.
-On va voir comment il réagit au traitement mais normalement ça devrait bien se passer, je vais appeler l'hôpital pour leur signaler de votre arrivé.
Pas tellement rassuré par les paroles du médecin je rhabillai Jules et conduisis en vitesse à hôpital où plusieurs infirmières prirent tout de suite en charge Jules qui recommença à pleurer quand ils l'éloignèrent de moi mais fut coupé par une autre série de toux qui lui bloqué la respiration. Un médecin s'en occupa tout de suite alors que deux infirmières me firent quitter la salle alors que je les priais de me laisser rester avec mon bébé.

Point de vue Ian :

Après mettre excusé auprès de mon employeur, qui l'avait plutôt bien pris après que je lui ais expliqué la raison, pour partir en pleins milieu du week-end, interrompant notre séances photos, je partis en vitesse à mon hôtel chercher mes affaires et trouvai le plus vite possible, le premier vol pour rentrer.
Il était environ vingt-trois heure quand j'arrivai à l'aéroport et je ré allumai tout de suite mon téléphone que j'avais éteint pendant le vol, pour voir que j'avais une dizaine d'appel manqués de la part de Nina et plusieurs messages me disant qu'elle était à l'hôpital avec Jules et me suppliant de me dépêcher. La pauvre, elle devait être morte d'inquiétude, tout comme je l'étais à présent. Si Jules était à l'hôpital c'était que ça devait être bien plus grave que ce que j'avais imaginé.
Je pris un taxi pour me rendre à l'hôpital tout en essayant d'appeler Nina mais son téléphone était éteint. Je n'avais qu'une envie, arriver au plus vite et apprendre que Jules allait très bien mais je me faisais les pires scénarios dans ma tête.
Enfin arrivé à l'hôpital, je demandai la chambre où mon fils était et me précipitai vers celle-ci. Par la grande fenêtre de la chambre qui donnait sur le couloir, je vis Jules allongé dans un lit bien trop grand pour lui, relié à une grosse machine et à une perfusion à son petit bras. A côté de lui, Nina lui caressait son bras libre, en pleurant. Je me dépêcher de rentrer dans la pièce, posant mon gros sac à l'entrée et allai prendre Nina dans mes bras, qui explosa en sanglots.
-Chut... mon amour... Je suis là... Essayai-je de la calmer pour qu'elle puisse m'expliquer ce qu'il avait.
-Il a attrapé un virus, ils ne savent pas encore exactement lequel... Me dit-elle, toujours en pleurant dans mes bras, alors que je lui caressai le dos et les joues pour essuyer ses larmes. Ils ont dû le brancher à cette machine car il n'arrive pas bien à respirer tout seul... Comme il ne voulait pas manger et qu'il a vomit, ils ont dû lui faire une perfusion avec des médicaments et des vitamines. Il n'arrêtait pas de pleurer et tousser du coup ils lui ont fait une piqure pour lui injecter un tranquillisant pour l'endormir...
-Ça va aller maintenant ? Demandai-je toujours inquiet, en caressant la petite tête endormit de Jules.
-Ils pensent que oui... Murmura-t-elle en enfouissant sa tête dans mon coup. J'ai eu tellement peur...
-Moi aussi ma puce... Mais ça va aller maintenant, je te le promets... Chuchotai-je en embrassant son front.
Nous restâmes un bon moment dans les bras l'un de l'autre, essayant de la rassurer puis je lui dis de dormir un peu, en voyant les grandes cernes sous ses yeux mais elle ne voulait pas, préférant surveiller Jules.
Mais vers deux heures du matin, elle finit par s'endormir, sur la chaise, à côté du lit de Jules. Je souris en caressant ses cheveux et la portai sur le canapé qui était dans le coin de la chambre, pour qu'elle soit installée plus confortablement. Puis je me rassis auprès de Jules pour veiller sur lui, comme je l'avais promis à Nina, caressant son petit ventre... Il avait l'air si paisible comme ça...
Vers sept heures du matin, un médecin vint changer la perfusion de Jules et lui faire deux trois examens pour voir s'il allait mieux et il fut apparemment content du résultat vu qu'il me dit que Jules allait beaucoup mieux et qu'il pouvait de nouveau respirer tout seul avant de le débrancher. Cependant nous devions continuer sa perfusion car il était encore un peu faible et avait encore de la fière même si ça température avait quand même diminué. Je fus content d'apprendre ça et remerciai le médecin avant de retourner à ma place pour regarder Jules qui commençait à se réveiller.
Ce dernier était un peu dans le cirage et ne bougea pas, se contentant de regarder autour de lui avec ses grands yeux bleus.
-Bah alors mon bonhomme... Souris-je en embrassant son front. Tu as fait très peur à maman et papa petit coquin ! Ajoutai-je en chatouillant son ventre.
Nina ne tarda pas, elle non plus, à se réveiller et vint tout de suite voir comment notre petit bébé allait, et fut contente d'apprendre les bonnes nouvelles, faisant des milliers de baisers sur le ventre et le visage de Jules, le faisant sourire. Puis elle alla chercher quelque chose dans son sac et revint avec l'ours en peluche de Jules.
-Regarde ce que maman elle a ramené pour toi... Fit-elle d'une petite voix en lui tendant l'ours. Mais c'est le doudou de mon petit cœur ça !
Jules sourit de plus belle et tendit les bras pour attraper son doudou et le serrer contre lui.
Nina quant à elle, s'assit sur mes genoux et m'embrassa amoureusement.
-Merci d'être revenu... Souffla-t-elle contre mes lèvres. Tu dois être crevé, tu n'as pas dormit de la nuit... tu veux que j'aille te chercher un café ? Murmura-t-elle avec un léger sourire en embrassant de nouveau mes lèvres avant de se lever.
-Oui s'il te plait. Répondis-je en souriant à mon tour. Et ne t'en fait pas, ça ne me gêne pas d'être revenu, je voulais être là pour vous et si c'était à refaire, je le referais... Parce que je vous aime plus que tout tous les deux et que je ne voulais pas te laisser toute seule dans un moment comme ça.
Elle m'embrassa une dernière fois avant de partir chercher du café, le sourire aux lèvres.
Vers midi, le médecin vint nous dire que nous pouvions rentrer chez nous, même s'il fallait toujours faire attention à Jules et il nous donna plusieurs médicaments à lui faire prendre pour son rétablissement.