☆Chapitre 63☆

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P.D.V.Hayden:

Ellipse de deux jours:

Je viens tout juste de finir de prendre ma douche accompagné  de Victoria. J'enfile mon pantalon tout en la regardant se laver les dents. Elle est tellement belle.

 Chaque fois que je la regarde, je pense à ces trois dernières années passées sans elle. C'était un véritable calvaire. J'ai eu beaucoup de mal à accepter qu'elle ne soit plus là. Je m'étais promis de tout faire pour la retrouver. Je l'ai fait. J'ai tenu bon et aujourd'hui, elle est enfin à mes côtés. Je ferais d'elle ma femme, j'ai bien compris que sans elle, je ne suis rien.

Je passe mes bras autour de son ventre et colle son dos contre mon torse. Jamais je ne pourrais me lasser de sa présence. Pour toujours. Pour toujours je la veux contre moi. J'embrasse sa joue à plusieurs reprises et lui murmure un " je t'aime" à l'oreille. Elle sourit et le répond un "Je t'aime" remplit de dentifrice. Je rigole et colle une dernière fois mes lèvres contre sa joue.

Je me lave les dents à mon tour. Je regarde Victoria ce coiffer par le miroir. Elle rassemble ses magnifiques cheveux dans ses mains et les attaches en une queue-de-cheval haute. Elle me sourit et me tape la fesse gauche avec sa main avant de partir en vitesse dans la chambre. Je me rince la bouche et rentre dans la chambre. Elle est assise sur le lit et rigole à gorge déployée. Je pose un genou sur le matelas et la fais s'allonger sur le dos, me plaçant au-dessus d'elle. Je prends ses jambes et les places de chaque côté de ma taille, caressant l'une de ses cuisses. Je sais qu'elle est très sensible au niveau des jambes. Elle s'arrête de rire et passe sa main dans mes cheveux. Elle attire ma tête vers la sienne et m'embrasse avec fougue. Je réponds à son baiser avec férocité. Sentant mon pantalon se tendre. Super. Je colle mon bassin contre le sien. Elle lâche un petit gémissement en sentant ma bosse contre son intimité par-dessus ses vêtements. J'avais envie d'elle, maintenant.

Je commence à embrasser son clivage avec frénésie, détachant les premiers boutons de sa chemise, laissant ainsi apparaître une petite partie de sa poitrine. Elle gémit lorsque j'embrasse un peu plus fortement son cou.

《 Hayden...souffle-t-elle. On ne peut pas, dit-elle en passant sa main dans mon dos.

Je relève la tête vers son visage. Ah oui... Victoria avait retrouvé la joie des règles depuis deux jours. Je lui souris et l'embrasse tendrement. 

《 Alors, je veux que tu viennes avec moi au restaurant, dis-je en déposant un baiser sur le bout de son nez.
- Mais...commence-t-elle.
- De toute manière, j'ai réservé une table pour midi pile et il est actuellement onze heures trente, dis-je en la coupant. Sinon, j'y vais avec une autre fille, continué-je en rigolant.》

Elle fronce les sourcils et me donne un coup à l'épaule. Elle inverse nos positions et s'assoit sur mon membre gorgé de plaisir. Elle embrasse mon cou et je sens qu'elle aspire doucement ma peau, laissant une trace violacé au passage. Elle remonte vers mon visage, pose une main sur la bosse qui déforme mon pantalon et me regarde droit dans les yeux.

Tu es à moi, alors ne t'avise même pas d'aller voir une autre fille que moi, dit-elle avant de capturer mes lèvres avec férocité.

Je souris contre ses lèvres et pose mes mains sur ses hanches. Elle se sépare, reprenant son souffle. Elle ondule du bassin contre ma bosse ce qui me fait grogner. Elle joue. Elle se lève et quitte le lit.

《 Bon tu viens ? demande-t-elle en reboutonnant correctement sa chemise. 
- Après ce que tu viens de me faire ? dis-je en montrant mon érection du doigt.
- Oui parce que tu as réservé une table pour midi et qu'il est onze heures quarante-deux.》

Je me lève en soupirant. On enfile une veste tous les deux et on quitte la maison. 

Je me retourne et vois Victoria complètement figée. Je regarde vers l'endroit où elle regarde. C'était son frère. Non ! Il pointe son arme à feu sur elle tandis que je me place devant elle. Il sourit.

《 Je vous ai enfin retrouvé, dit-il. Comment tu vas Victoria? 
- Hayden me rend heureuse, je n'ai pas besoin de toi alors pars.
- Si tu es heureuse, je n'ai cas le tuer. 
- Non ! crie Victoria.

Le coup de feu retentit mais je ne sens aucune douleur. Je sens Victoria s'écrouler contre moi et je sens un liquide chaud sur mes mains. Du sang. Son sang

Immortelle.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant