God knows what is hiding in those weak and drunken hearts
I guess the loneliness came knocking
No on needs to be alone, oh save me...Quelques jours passèrent et je n'ai plus revue cet homme aux yeux clairs, apparement il s'est vite rétabli de son accident donc il est sorti.
Je ne savais plus quoi penser.
Je sors de l'hôpital à 20 heures, la nuit tombe déjà, l'hiver approche.
Ma voiture est chez le garagiste donc je suis obligée de prendre les transports en commun, ce que je déteste bien évidemment. Mouvement de foule, concert et autres je n'aime pas.
Je dois marcher environ cinq minutes de l'arrêt de bus pour arriver à la maison.
Les écouteurs aux oreilles je me perd dans la voix de Sia et dans ses dires.
Ouch, I have lost myself again
Lost myself and I am nowhere to be found. Yeah, I think that I might break.
I've lost myself again and I feel unsafe...Des paroles poignantes dans lesquelles je me retrouve.
Arrivée chez moi je cherche mes clés mais je ne les trouvent pas, ce qui est un gros gros problème.
Le stresse et l'angoisse monte en moi et les larmes coulent automatiquement.
La tête poser contre la porte, j'essaie de me calmer en réfléchissant où j'aurais bien pu les faire tomber.
- C'est ça que tu cherche ?
J'ai sursauter à l'entente de cette voix. Une voix que je reconnaîtrais entre milles.
C'était lui, ce patient.
Je me suis retournée en essuyant mes larmes. Il avait mes clés dans sa main.
- souffle Merci beaucoup.
- C'est normal.
- Comment vous les avez trouvés ?
- J'étais derrière toi.
- Ah d'accord. dis je accompagné d'un sourire
- Serhat.
- Merci Serhat.
- Fait attention la prochaine fois.
- Vous... euh tu t'es bien rétablit de ta jambe ?
- Oui ça va mieux.
- D'accord.
Il y avait une gêne qui été bien présente.
- Euh... encore merci. Bonne soirée.
Il me fit un signe de tête et se retourna en ajustant sa casquette.
En ouvrant la porte il m'appela.
- Basma ?
- Oui ?
J'attendais sa réponse mais rien il se contentait juste de me regarder intensément yeux dans les yeux.
- Non rien en fait, repose toi bien.
Je le trouvais assez bizarre mais bon...
Je suis au téléphone avec Ajiba qui me raconte les péripéties de sa vie. Elle me fait tellement rire cette fille c'est incroyable comme elle peut me rendre de bonne humeur en une fraction de seconde.
En suite c'est retour à la réalité, ce qui veut dire: ennui, télé, nostalgie et pleurs.
Les paroles de cet homme le reviennent en tête: "Tu aide les autres mais tu as toi même besoin d'aide Basma".
Je le sais au fond de moi que j'ai besoin d'aide mais je ne demanderai à quiconque de m'aider. Et puis demander de l'aide à qui ? Je n'ai plus personne ici, là seule personne que j'ai est à l'autre bout du pays et je n'ai pas envie de l'inquiété encore plus alors qu'elle est déjà assez inquiète pour moi.
Je préfère donner que recevoir et ça à toujours été comme ça.
On m'a toujours dit que j'avais le même caractère que mon père.
Je suis cette fille sensible renfermé qui garde tout au fond d'elle, qui a du mal à dévoilé ses sentiment, une solitaire dans l'âme avec très peu d'amis.
Il m'a appris à ne jamais baisser les bras n'importe quelque soit l'obstacle, sauf que là les bras sont baisser depuis bien longtemps.
Je vais me couchée l'esprit triste et tourmenté comme à mon habitude.
Personne ne sait de quoi est fait demain.
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L'Histoire d'une vie.
Ficção Geral« Cette histoire est dédié à tous ceux qui ont perdu quelqu'un qu'ils aimaient, qui se sont réveillés en pleurs et se sont couchés dans le même état, à tous ceux qui ont dû apprendre qu'il n'y avait pas de mal à aller mal. Survivre, ce n'est pas...