Claustrophobia.

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-Je rappel que ceci est une fiction donc tout est FICTIF, ce n'est pas vrai, les événements n'ont pas eu lieu, ou du moins pas à cette dates, bonne lecture!-

31 juillet 2016 - 22h48

Environ dix paires d'yeux me scrutent de peur qu'un seul et unique son sorte de ma bouche et nous fasse repérer, mais personne ne fait rien pour m'aider malgré tout.

Flash-back - 22h03

Assise bien sagement sur ce siège bien trop inconfortable à mon goût, entrain de réfléchir, pourquoi j'étais ici, au lieu d'être dans mon lit, devant un bon film avec des bonbons? Un bruit d'explosion me sortit de ma réflexion, des cris, des pleurs et une seconde explosion, la foule se bouscule pour sortir le plus vite possible, les joueurs de foot ne courent plus et ne comprennent pas, eux non plus. Mon regard trouve vite celui de ma meilleure amie, qui commence aussi à paniquée mais qui reste malgré tout bien trop calme, nous nous levons en vitesse afin de suivre le troupeau, une dizaine de minutes plus tard, je me fais éjecter dans une pièce avec d'autres personnes dont je ne vois pas les visages à cause de l'obscurité, mes mains deviennent moites et mon souffle saccadé, c'est bien le moment de faire une crise de panique tiens.

Fin flash-back-

Un homme s'approche de moi, il s'accroupit de sorte à être à ma hauteur, puis me prend les mains et commence à chuchoter près de mon oreille.

-Je vais commencer à compter, toi tu essaieras de caler ta respiration sur les chiffres, d'accord?

Un hochement de tête de ma part et il commença à réciter les chiffres de un à quinze. Son intervention avait calmée les trois quart de ma crise, mais elle n'était pas stoppée pour autant. Je tremblais toujours comme une feuille et les larmes s'échappaient seules de mes prunelles.

Il entreprit alors de me prendre dans ses bras et de me chuchoter une multitude de mots réconfortants, m'aidant, bien plus vite que ce que je pensais, à me calmer.

Un quart d'heure après

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