Vingt-neuvième partie.

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D'un coup j'enfile mon manteau, je réveille Rahim, lui demande de garder les petits et pars en furie.

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Le choque est immense lorsque je vois son visage, il est amoché, des balafres partout, Ayman que t'ai t'il arrivé ?

- « Qu'est ce qu'il c'est passer ? »

Luisa - « Il était en route pour chez toi, il compté venir te dire à quel point il t'aimait, sous les conseille, et une voiture à doubler sur la vois de droite il on fait un face à face... c'est tellement injuste Esnia, l'autre n'a rien alors que lui, il est entre la vie et la mort.. »

Dans mes bras elle font en larme, je pleure également, tout sa est de ma faute alors ? S'il ne serais pas venue, rien de tout sa n'aurai eu lieux, si je n'avais pas fais la garce, il serait toujours la..

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Un mois jours pour jours qu'il est dans cet état, j'ai l'impression que le temps est long, et qu'il ne se réveillera jamais, Rahim ne comprend pas, il semble limite m'en vouloir de m'en faire autant pour Ayman. Mais que lui dire alors que moi même je ne sais pas le pourquoi du comment ?

- « Hiram chéri tu viens ? On va faire les courses. »

Lui aussi c'est renfermer, il ne sort plus avec moi, comme s'il me tient coupable de la situation.

Hiram - « Je veux pas, allez-y tout seul. »

- « S'il te plaît... »

Hiram - « JE VEUX PAS !! VA T'EN !! »

Mon bébé se détache de moi, celui qui à était le premier à me retenir sur ce monde m'en veux.. ces la plus horrible des douleurs.
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« Second mois, tu n'ouvre toujours pas les yeux, je me sens tellement coupable Ayman, ta femme est partie, elle n'est même pas la pour toi, réveil toi, s'il te plaît, j'ai besoin de toi, j'ai l'impression que les enfants m'en veulent, j'y suis pour rien, j'ai juste penser faire bien, et j'ai merder comme toujours, pardonne moi Ayman mais je suis au plus bas dans cette condition la, j'aurais dû rester à tes côtés, ne pas te demander de partir, je ne sais même plus si ces de l'amour ou de la haine, mais ils ont besoin de toi, nos enfants on besoin de toi, tu me manque et je dors pas, juste après un café quand je ne peux plus manger, tu me manque et tu ne te réveil pas, je me souviens de nos nuits blanches ou l'ont rêver, ou que j'aille je te vois pourtant, c'est un cauchemar et je ne tient plus debout, je t'écris un message que tu ne lira pas, je ne te laisserai pas partir, je t'observer la allonger, j'ai l'impression que tu es en train d'abandonner... »

Juste après avoir finis cette micro lettre, les machines s'emballe, son pouls ralenti, tout ce passe tellement vite, trop vite pour que je comprennent ce qu'il se passe réellement, tout ces médecins qui s'affaire à le réanimer, tu as lâcher le combat, le gladiateur qui était en toi à lâcher l'arme, je ne veux pas y croire mais pourtant ces bien la réalité.. les lèvres dû médecins bouge, alors que je les supplies de ne pas arrêter, de continuer à te faire respirer, tu ne peux pas nous laisser, pense à nos bébés, ces pas comme sa que tout doit s'achever..

Docteur - « Nous avons fait tout ce que nous pouvions, je suis désolé.. Toute mes condoléances.. »

Ce soir Ayman, tu nous as laisser pour retrouver les cieux, derniers baiser, tes lèvres son encore chaudes, alors que dans quelques heures tu sera froid, pardonne moi chéri.. j'ai merder, fait la conne, je m'en veux tellement..

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⚠️ LA PROCHAINE PARTIE EST LA DERNIÈRE. ⚠️

Heeeey! Comment allez-vous ? J'espère que vous ne m'en voulez pas, je me suis déchirer moi même le cœur en achevant cette partie, Ayman est mort, je suis vraiment triste, à dire que la prochaine partie est la dernière, sa va vraiment être bizarre d'arrêter, n'hésitez pas à voter et à commenter, je vous aimes fort ❤️

Prête à tout pour mes enfants. TOME IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant