Quatrième partie.

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Du côté de Yazhar.

Plus de trois mois qu'elle es partie, je la cherche à en devenir fou, mon fils me manque, nos enfants me manque, elle me manque, je tiens plus le coup, et l'alcool me tiens compagnie désormais.

Ouais je deviens ivrogne, je me noie dans mon verre de Whisky comme dans un océan d'amour, je suis constamment en manque, comme si l'alcool avait remplacé le liquide rouge qui circule dans mes veines.

Je ne vie plus, je survie, la police les à chercher partout, tout comme moi, ma femme me manque, ces petites caresses, ces mains, elle me manque, elle avait cette façon de faire avec moi que c'est pouf n'ont pas.

Alors qu'une fois de plus, j'étais bourré comme jamais mon téléphone sonna.

- « Allo ? »

... - « Ya..Yazhar ? »

Ma voix flancha, j'allais pleurer, je mis un certains temps à répondre, sa voix.. Mon dieu..

- « Esnia ? »

Du côté d'Esnia.

Nos identités avait changé, au yeux de tout le monde je m'appelais Anastasia, ne me demandais pas pourquoi mais Ayman a choisi ce prénom, quand à nos enfants ils reçoivent des cours à domicile. Je n'ai plus le droit de sortir, ou je doit être accompagné, Ayman devient complètement fou, il me suit, toujours sur mon dos.

Ayoub, il grandit mon bébé, il a neuf mois, et si vous le voyiez, c'est le portrait cracher de Yazhir, mon mari me manque, j'aurais aimer ne jamais connaître Ayman, cette homme est tellement mauvais.

Ayman - « ESNIA RAMÈNE TOI TON GOSSE PLEURE. »

Oui Ayman ne s'occupe pas d'Ayoub, il est capable de le laisser pleurer des heures et des heures, pourtant je m'occupe de Djiby comme s'il était mon fils.

- « Désoler »

Je prend Ayoub et je pars dans ma chambre m'allonger avec, j'observais mon fils, vous savez Ayoub il à déjà sa couleurs de yeux officielle, ils sont bleu comme son père, les larmes me montèrent vite au yeux, je pris mon GSM et l'appela.

Yazhar - « Allo ? »

Il à la voix casser.

- « Ya..Yazhar ? »

Yazhar - « Esnia ? »

- « Ta voix, bébé ? Qu'est-ce qui t'arrive ? »

Yazhar - « Tu me manque Esnia, mon fils me manque, revient moi Esnia, je te jure que je vais mourir, si ces pas la vie qui me tuera, l'alcool le fera. »

- « Tu bois ? Yazhar ? Tu touche à cette merde ? »

Yazhar - « J'oublie mes soucis avec, je m'en vais loin. »

- « Ta pas le droit Yazhar, ta pas le droit d'être comme ça, je suis partie pour nous, pas pour que tu te mette dans cette état. »

Yazhar - « Tu n'est pas partie pour nous, tu es partie pour toi. J'avais mon fils, ma femme, que demandais de mieux ? Ce sont nos enfants aussi, mais tu n'as penser qu'à ta geule et tu t'es tirée sans même me demander mon avis, tes qu'une putain d'égoïste, tu me tue, tu me tue. »

- « Ta pas le droit de me dire sa, me dire sa comme si j'étais partie comme uns voleuse, alors que ce n'est pas le cas. »

Yazhar - « UNE LETTRE BORDEL !! TU MA SEULEMENT LAISSÉ UNE PUTAIN DE LETRE ! »

- « Arrête de criée, ne m'en veux pas. J'ai fais en pensant bien faire. Je pensais que Tu était un homme, que tu ne m'aurais jamais laisser tomber, et tu est en train de te bousillé, alors que chaque jours je cherche une issue à ce cauchemars, je suis enfermée, j'ai dû changée d'identité, tu ne sais rien de ce que je vie ici, ce n'est pas moi l'égoïste, ces toi, tu pense être le seul à souffrir de cette situation, alors qu'ont est deux, continue comme tu le fais, et tu peux être sur de ne jamais voir ton fils grandir, puis tu sais quoi, va te faire foutre. »

Je raccroche plus qu'énerver, je me mets à pleurer tellement j'ai la haine, il pense que je vie bien cette situation alors que c'est tout le contraire, je suis la première à tout subir, il ne peux pas comprendre, je suis maman, et pour rien au monde je n'abandonnerai mes enfants, plutôt mourir que de ne pas me battre pour eux.

Ayman - « A qui tu parle ? »

- « A Ayoub. »

Ayman - « Hum. »

Peu crédible comme réponse, je cache mon téléphone, sous ma table de chevet, j'y avais couper un petit trou pour le faire entrer.

Hiram - « Maman ! Ouvre ces moi. »

J'ouvre la porte et il entre tous les trois, Djiby n'est pas la, ils se m'ont autours du lit.

Hiram - « C'est quand qu'on rentre maman ? »

Aya - « Oui ama, quand on vois abi ? »

Miya - « Papa est méchant en plus. »

- « On rentre bientôt mes anges. »

Câlin collectif, mes enfants, je les aimes d'un amour indéterminé.

Aya - « Ama ? »

- « Oui mon cœur ? »

Aya - « Abi a y'aime pu Aya ? »

- « Si mon cœur pourquoi tu dis sa ? »

Aya - « Ayors pouquoi abi ya pas venu checher Aya ? »

- « Il nous as chercher Aya, ces comme le jeu du cache cache, on est caché. »

Aya - « Moi ya veux pus youer, moi ya veu renter a ya mison. Moi ya veux abi. »

- « Moi aussi mon cœur, moi aussi je le veux. »

Hiram - « Alors on part maman, on rentre chez nous. »

- « C'est pas si facile que sa Hiram. »

Hiram - « On appel la police maman, et tu leur raconte tout. »

- « On peux pas. »

Hiram - « Et pourquoi ? Qu'est-ce qui nous en empêche ? »

- « Ton père, même à l'autre bout de la terre il nous retrouverez . »

Hiram - « Alors on doit rester ici toute notre vie? »

- « On partira un jour mon cœur, c'est une promesse. »

Pourrais-je la tenir ?

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Voila, j'espère que la suite vous as plus, j'ai fais du mieux que j'ai pue, n'hésitez pas à voter et à laisser vos avis. Je vous aimes fort mes lecteurs(trices) ❤️💫

Prête à tout pour mes enfants. TOME IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant