Huitième partie.

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« Dans les bras d'un fou. »

En bas, on peux l'entendre hurler, m'insulter. La porte de la chambre s'ouvre et percute le mur.

Bassim - « OU SONT LES GOSSES ?!! TOI SAL PUTE TU CROIS QUE TU PEUX LES ENVOYER COMME ÇA ?! TU VA LE REGRETTER !! »

Directement s'en suis une série de coup, il tape partout, même mon ventre, et entre mes cuisse je sens un liquide coulée, le bébé..

- « AHHH ARRETEEEE LE BÉBÉ !! BASSIIIIM JE SUIS ENCEINTE !! AHHHHH »

Après mes derniers mots des hommes viennent le séparer de moi, j'ai une horrible douleurs dans le bas du ventre.

- « Tu la tuée, ta tuées notre bébé.. »

Puis je perd connaissance.

PDV AYMAN.

Hiram - « Je veux maman !! »

Miya - « Moi aussi ! »

Aya - « A veu ama !! »

Sa fais deux jours qu'ils me réclament leurs mère, j'aimerais la ramène, j'aimerais qu'elle soit avec nous. J'imagine l'enfer quel doit vivre la bas, avec ces hommes.. J'en deviens fou.

RETOUR DU CÔTÉ D'ESNIA.

J'ouvre les yeux, allongé dans le lit, je me rappel que cette petit embryons qui c'était implanter en moi m'a lâcher, tout du moins le sang qui a coulée entre mes jambes me laisse à penser qu'il nous as quitté.

.. - « Bonjours. »

Je me tourne vers cette voix, c'est une femme, mais je ne peux voir que ces yeux vert.

.. - « Je suis docteur ici, je vous ai faites une échographie, l'enfant va bien, vous ne devez plus bouger, vous êtes ouverte à deux doigts, ces mauvais pour lui. »

- « J'ai toujours le bébé ? »

... - « Vous avez reçu de nombreux coups, ils se peux que le bébé en est des séquelles mais à l'échographie rien ne me sentait d'anormal, donc oui vous avez toujours le bébé, et c'est un garçon. »

- « Mais je ne veux pas de cette enfant, faites-le sortir, je n'en veux pas. »

.. - « Je n'ai pas le droit, désolé. »

- « Sortez, allez vous en. »

La jeune femme quitte la chambre, alors comme ça tu est un petit garçon ? Tu es un battant, tu t'accroche, et puis à quoi bon, autant te faire naître en bonne santé.

Puis je sentis quelques choses bouger, c'était lui, il se manifesté enfin, sa petite main se laisser apercevoir sur mon ventre.

Bassim - « Tu va me donner un fils alors. »

Je sursaute à l'entente de sa voix.

- « Il n'aura jamais pour père un lâche. »

Bassim - « Parle moi bien. »

- « Sinon quoi ? Tu va me taper ? Me violer ? Comme si tu ne l'avais jamais fait pff.. »

Bassim - « Me chauffe pas. »

Prête à tout pour mes enfants. TOME IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant