Vingt-troisième parties.

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Pour tout vous dire, je n'en crois pas mes yeux, face à la personne qui se tient debout devant moi je reste ébahi, puis je me décide de lui répondre.

- « Euh.. Non.. »

... - « C'est tes enfants? »

- « Oui.. »

... - « Masha'Allah il sont beau! »

- « Me..merci. »

... - « Pourquoi tu bégaye je te fais peur ? »

- « Non.. Mais je... Il m'ont dit que tu étais mort.. La bas.. »

... - « Tu les as crue en plus, je serais jamais partie sans toi ! »

- « Rahim.. »

... - « Quoi ? J'ai tenue une promesse MOI. »

- « N'hausse pas le ton devant mes enfants, sa fais plus de quinze ans maintenant, qu'ils sont venue chez moi, toquer à ma porte pour me dire que tu avais étais tuer ! »

Ayoub - « Mama a suis fayiguer ! »

- « On va y aller mon cœur. »

Rahim - « La balle m'a bien touché ouais, j'ai lutter pendant six mois, six putain de mois, et tu sais ce que je voyais les yeux fermés ? Ton visage, tes petits yeux, ta petite bouche, je te voyais toi, et aucune autre femme. »

- « C'est de l'histoire ancienne maintenant. »

Rahim - « Pour toi peut-être, mais pour moi elle recommence, tu sais ce que j'ai ressentie lorsqu'on m'a appris que tu étais partie ? La douleurs étais bien pire que celle de la balle qui m'avais perforer le poumon, non j'avais le cœur fusillés, j'étais totalement anéanti, et pendant longtemps je me suis noyer dans tout un ta d'ivresse, le soir c'est toi que j'implorer, alors c'est pas de l'histoire ancienne, parce que si je suis venue jusqu'ici tout seul, c'est que je ne compte pas repartir sans toi, et sans ton cœur ! »

Bouche béé, c'est bien comme je suis à ce moment même, quinze ans, plus de trois milliard de minute, de seconde, où même d'heures qui nous ont séparé, et lui il as toujours penser à moi..

- « Je.. Je sais pas trop quoi dire. »

Rahim - « Alors ne dit rien. »

Ayoub - « Mamaaaa a sui fayiguer moii ! »

- « On y va, écoute, tu n'as qu'a me suivre avec ta voiture on parlera chez moi si tu le souhaites. »

Rahim - « D'accord. »

Chacun des enfants enfile leur manteau, je pars saluer les mariés, j'informe Amina de mon départ puis j'avance vers mon véhicule.

Rahim - « Putain, sa rigole pas hyn, BMW et tout sa. »

- « Qu'est ce que tu crois ? On fais les choses bien. »

( NDA : Je ne vous le rappèle surement jamais, mais Esnia travaille toujours, elle travail à domicile vue que c'est son entreprise. )

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- « Alors pendant tout ce temps tu as cherché après moi? »

Rahim - « Même chez tes parents je m'y suis rendu, mais les voisins m'ont dit qu'il aviez déménager, tu sais pas comment j'étais déprimé ! »

Prête à tout pour mes enfants. TOME IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant