Tard dans la nuit, Ayoub se mets à pleurer, il hurle et hurle, son front est chaud il est tout rouge, qu'est-ce qu'il lui arrive ?
Pas le temps de chercher à comprendre quoi que ce soit, je pars réveiller Ayman.
- « Ayman ! Ayman !! »
Ayman - « Huum quoi putain ? »
- « Mon fils, s'il te plaît amène nous à l'hôpital ! »
Ayman - « Non dégage ! »
- « Je t'en supplie Ayman ! Ecoute le pleurer, sa respiration n'est pas normal. »
Il relève sa tête et nous regarde, il semble prendre conscience de l'urgence et s'habille en quelques minutes, prend les enfants, puis nous partons direction l'hôpital.
Ayman me dépose mais doit vite rentrer pour quelques affaires à réglée avec le majeur-d'homme, mais avant de repartir il me jure que si je m'enfuis il me retrouvera et me fera beaucoup de mal.
... - « Ayoub El masri ! »
- « C'est mon fils ! »
Nous sommes pris en charge après 10 minute d'attente.
Je vous rappelle que les conversations se font en Espagnol.
Infirmière - « Biens, les examens sont plutôt positif, mais nous souhaitons garder l'enfant cette nuit, on va prendre vos coordonnées. »
Mes coordonnées ? Leurs donner mon vrai ou faux prénom ? Retourner vivre avec Ayman ou m'enfuir ?
- « Je m'appel Esnia Cuenta.. »
La femme écrit puis relève sa tête, me regarde bizarrement puis s'en va, elle revient plus tard avec la police.
Police - « Madame, nous vous avons chercher partout ! »
J'aurais pus ne rien leur dire et repartir avec Ayman, mais pour mes enfants j'ai décidé de cesser se calvaire.
- « Oh.. J'ai attendu votre arriver, j'ai attendu très longtemps.. »
Police - « Nous vous protégeront madame, vous et vos enfants. »
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- « YAZHAAAARR !! CHÉRIIIE !! »
Je laisse les petits dans le salon et je pars dans la chambre, je le trouve allonger sur le lit, il semble dormir.
- « Bébé.. »
Je l'appelle plusieurs fois mais il ne répond pas, je m'approche du lit, j'essaie de le bouger, de le réveiller mais rien, il est froid.
- « Bébé non pas toi, Yazhar hobi aller réveille toi, aller mon cœur.. »
Je me mets à hurler, je le mets sur le dos et commence un massage cardiaque, j'appel les pompiers et continue le massage cardiaque. Lorsqu'il arrive ils prennent le relais, mais son cœur ne semble pas reprendre, et soudain un bruit sourd ce faire entendre, l'électrocardiogramme émet un signal, puis plus rien, Yazhar est mort..
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J'ai enterré Yazhar une journée d'hiver, j'étais dépiter, plus goût à la vie, c'était de ma faute, mon fils ne connaîtra pas son père par ma faute, je suis une meurtrière meurtrie..
Hiram - « Maman ? »
- « Pas maintenant Hiram »
Hiram - « Il me manque maman. »
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Prête à tout pour mes enfants. TOME II
Ficción GeneralQuelques années sont passées depuis ma première grossesse, depuis mes premiers début dans la maternité. Aujourd'hui j'ai quatre enfants, Hiram, Miya, Aya, et le petit derniers-nés Ayoub. Encore plus qu'hier je suis prête à tout pour mes enfants. Qua...