J'ai décidé d'ouvrir un receuil de One Shot Ziam car comme vous vous en doutez , je suis accro à ce couple.
Il y aura que du Ziam, One Shot, Drabble ou mini Fiction en plusieurs partie voilà !
Veuillez respecté mon travaille et me demander si vous v...
J'ai vue ton corps se figer. Ton regarde s'était voilé alors que mes poings s'étaient serrés. Tu me regardais d'une manière qui m'était inconnue, et, une lueur que je ne connaissait pas du tout chez toi, était passer dans tes jolies yeux noisette mais pourtant froid. La tristesse. Mon cœur c'était serré mais j'avais déjà décidé d'ignorer ce sentiment. Ignorer tout ce que tu ressens et tout ce que je ressens.
- Si... Si c'est ce que tu ressens... Je... Tu peux partir...
Et c'est ce que j'ai fait, je suis partie en claquant la porte de ta magnifique maison, où j'avais passer plusieurs jours à tes cotés.
Mais je ne me suis rendu compte d'une chose seulement après être rentrer chez moi, dans mon appartement d'étudiant...
Je t'appartient.
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***
Je me réveille une nouvelle fois, sans ambition. Un sentiment de vide toujours en moi. Je n'arrive pas à comprendre, cela fait pourtant deux semaine que je ne le vois plus. Je devrais l'oublier, mais c'est tout le contraire, il hante mes penser, s'incruste dans mes rêve, les plus érotique et luxurieux. Il me tourmente toujours et encore même après deux semaines sans le voir, sans sentir ses mains sur mon corps, sans sentir ses douce lèvres charnue et dominatrice sur ma gorge...
Je dois oublié tout ça. Ce n'est qu'un passage.
Je secoue la tête et me lève de mon lit pour aller prendre une douche, sans l'avoir remarqué, je me suis exciter en pensant à lui. Il faut absolument que je me calme. Cela va en devenir une obsession.
Je sors de ma douche froide, les idées remis en place dans mon crâne et je m'habille d'un simple t-shirt blanc qui laisse voir les dessins encrés dans ma peau basané, pour enfiler ensuite un skinny jeans, noir avec mes chukka. Puis quand j'ai ouvert ma fenêtre pour fumer ma cigarette du matin, je décide de prendre une veste. Je vais dans ma cuisine pour préparer mon chocolat en ouvrant toute les fenêtre et allume enfin ma cigarette.
La première bouffer de nicotine me fait un bien fou et pour quelques seconde, je ne pense plus à lui.
Une fois ma tasse prête, je la prend et la touche du bout des lèvres. La lumière du soleil qui reflète sur la rivière près de chez moi, le chant des oiseaux qui donne de la bonne humeur, la fraîcheur du matin qui vous motive, mon chocolat habituelle, ma nicotine inséparable. C'est un matin parfait. Enfin... Presque.
Il manque ses mains sur mes hanches, son torse coller à mon dos, ses caresses sous mon t-shirt, ses baiser sur ma nuque, l'odeur du café et des tartines, son sourire...
