Chapitre 5

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Je sens soudain quelqu'un me porter, je me débats pour pouvoir sortir dehors. J'essaie de lui dire de me lâcher, mais le seul mot qui sort de ma bouche c'est "dehors" et je doit dire que cela ne doit pas être très clair et compréhensible pour lui. Vous vous demandez sûrement comment je sais que c'est un "lui" et bien j'avais beau me débattre tout le long, j'ai quand même sentis ses abdos, don't juge me please, je reste une fille! Soudain, la douleur me submergea...

J'était à la lisière d'une forêt, tout près d'un grande maison, elle me disait vaguement qu'elle que chose. Soudain, je vis une petite fille qui courait en riant.
Petite fille- Tu m'attraperas pas, Cal!! riait-elle.
Un petit garçon apparus de l'autre côté d'un mur de la maison.
Petit garçon- Je t'attraperais April, je cours plus vite que toi!!
Attendez, il a dit mon nom là, c'est vrai que la petite me ressemble, mais je ne me rappelle pas..
Les deux jeunes tombent soudain par terre et se mettent à rigoler et à la vue de cette scène j'ai les larmes au yeux. S'était mon meilleur ami, oui c'est cela, mais je l'ai perdu, comment..?

Je rouvre doucement les yeux, encore humide de larme. Je me sens revenir alors tranquillement vers le présent, je me sens si triste tout d'un coup. Je regarde autour de moi et je vois que je suis dans une pièce blanche, sûrement l'infirmerie, mais qui m'a emmenée ici? Je me relève et je vais vers la sortie et je me rappelle que j'était en classe avant ma "crise", on doit me trouver folle maintenant.. Je sors la tête pour regarder dans les couloirs et je vois personne, je décide de me rendre dans le bureau de la directrice. Je doit absolument lui parler.


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PDV CALEB

Je me dirige vers la classe en repensant à la fille de ce matin, elle me regardait vraiment bizarrement comme si elle essayait de se rappeler quelque chose. Je regarde dans les couloirs et je vois personne, merde je vais être en retard. Je cours jusqu'à la salle de classe, je cogne, je rentre et le prof dit:

-Caleb, qu'elle plaisir de voir que tu te joint à nous aujourd'hui, s'exclama notre cher professeur, tu peux aller t'assoir à côté de la nouvelle à l'arrière.

Qu'est-ce qu'il m'énerve des fois ce prof, je lève les yeux et voit la fille, je me dirige au bureau libre à côté d'elle et je la sens me regarder. Je la regarde à nouveau prêt à lui dire une remarque cinglante, mais ses yeux commencent à être d'un bleu très vif virant presque sur le blanc et un souvenir parcours mon esprit et sans que je comprenne vraiment ce que je faisais, je la pris dans mes bras et partit rapidement vers la sortie, comme... instinctivement. Elle n'arrête pas de se débattre en répétant le mot dehors ou je me rendait déjà à l'origine et d'un coup, elle s'évanouit. Reprenant peu à peu mes esprits, je change de direction vers l'infirmerie où je l'a confie à l'infirmière. Non, pour vrai, dit ma conscience. Je lève les yeux au ciel et repart vers la classe pour la deuxième fois.
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PDV APRIL

J'arrive devant la grande porte et je cogne. J'entend un faible entrée et j'ouvre la porte.

-Bonjour... dit-je faiblement.

-Ah April, comment se passe ta journée, tu n'est pas censée être en cour ?

-J'y était effectivement, mais.. comment dire.. je me suis rappeler quelque chose et j'ai fait une crise de panique je crois, en tout cas, je me suis réveillée à l'infirmerie et il n'y avait personne, Madame la directrice, je.. j'eu un moment d'hésitation, ..vous êtes vraiment sûre de n'avoir aucun renseignement quelconque sur mon passé ou mes origines..?

Elle me regarde droit dans les yeux semblant hésiter, mais son regard redevient rapidement ferme, que je crois rêver de son changement d'attitude.

-Malheureusement, nous n'avons rien trouvés de particuliers, mais nous cherchons, mais ta tribus semble très bien caché, trop bien même que nous en venons à douter si.. elle n'aurait pas même été éradiquée ou attaquée.

Je pense à cette possibilité qui m'attriste énormément puisque dans mon fort intérieur, j'ai l'impression que ce qu'elle dit est juste. Je repense aussi aux flammes, peut-être qu'elles en sont la raison... Je fus sortie de mes réflexions par la cloche sonnant la fin du cour. La directrice me regarda donc et déclara;

-Tu devrait y aller si tu veux avoir le temps de manger quelques choses.

-Vous avez raison, merci beaucoup de m'avoir écoutée et avant que je parte une dernière question, qui m'a emmenée à l'infirmerie?

-Oh d'après l'infirmière, il s'agirait de Caleb. Pourquoi cette question?

-Pour rien, merci encore, souriais-je faussement en sortant du local.

C'est bizarre, lui qui semble pas pouvoir me sentir m'a.. aidée? Je me dirigea alors vers la cafétéria où je chercha du regard Artémis qui était déjà installée avec d'autre de ses amies, elle me fit des signes et je me dirigea vers elle, mais soudain je fut arrêtée par les pots de peinture de ma classe.

-Alors comme sa la nouvelle, on t'a jamais dit que d'essayer de voler les petits amis des autres s'étaient mal?

Je reste bloquée, mais de quoi elle parle celle-là???

-Tu comprends pas, alors je vais te le dire c.l.a.i.r.e.m.e.n.t, Cal est MON petit ami alors pas touche c'est clair! Cria-t-elle.

Je m'en allait répliquer, mais j'eu soudain une illumination. Caleb, voilà pourquoi je semblait me rappeler de lui, s'était lui, le petit garçon dans mes souvenirs.. Cal..

À suivre...

Héritière perdueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant