Chapitre 4:

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Les deux complices se dirigèrent vers la salle de bains. Ils avaient prévu de la tuer autrement mais elle a elle-même tenu ca mort entre ses mains.

Valéria s'avança tout d'abord puis Greydger suivit.

- Ma puce ! Écarte-toi de lui, il va te faire du mal !

- Oui, il va surement faire du mal, mais vous avez visez la mauvaise personne. Moi, je dirais plus que c'est vous qui êtes en danger.

La femme, affoler tenta de prendre son téléphone. Mais greydger dégaina son arme beaucoup plus vite et tira une balle dans le bras de la femme.

- C'est un avertissement. Je pense que vous l'aurait compris. Encore un geste et je vous coupe vos doigt les uns après les autres et je le enverrais a votre mari.

- Tu n'es pas du tout celle que tu prétendais être, tu es une tueuse Valéria ! Et je sais pourquoi !

- Comment pourriez-vous savoir quoi que ce soit de moi !

- Je le sais parce que quand mon mari à causer l'accident qui a couter la vie a ta famille, il m'a tout de suite appelé pour voir si sa allait ou pas.

- Vous étiez la et vous n'avez rien fait !

- Qu'est-ce que je pouvais bien faire !? T'es parents était décapité et ta grande sœur était couper en deux !

Valéria en avait beaucoup trop entendu. Elle prit la tête de sa victime et la plongea dans l'eau du bain. Elle serait très fort le crane de sa victime au fond de l'eau qui commençais à déborder du bain. Elle tenait jusqu'à sentir le dernier souffle de vie de sa victime. Puis, lâcha sa tête, la tourna pour qu'elle soit sur le dos. Greydger tendit à la nouvelle meurtrière un coup cigare qu'elle utilisa pour couper le doigt de la victime où se trouvait l'alliance. Une fois cela fait, ils prirent une photo de leur deuxième victime et ils marquèrent et de deux.

Jusqu'où iraient ses meurtres ? Même les policiers ne le savaient pas. Il n'y a aucun indice sur les deux scènes de crime.

Comme au premier meurtre, la nouvelle tueuse mit le doigt de la victime avec la photo dans une enveloppe où elle marqua l'adresse. Puis elle déposa l'enveloppe comme si de rien n'était à la poste.

Une fois rentré au loft, Valéria se changea, mais Greydger en avait décidé autrement. Il entra dans la chambre de la fille et dit :

- Quand tu tue s'a m'exit, alors maintenant répare se que t'as fais. Je te baiserais jusqu'à demain !

Valéria était habitué à cela. Ca devenait une habitude, mais pendant la chose, elle ne pouvait s'empêcher de verser une larme. Elle se posait aussi souvent la même question pendant l'acte. « Qu'est-ce que je serais aujourd'hui si je ne lui avais pas dit oui pour m'adopter ? ». Le lendemain matin, elle se réveilla par terre, mais dans sa chambre alors que Greydger était dans le lit de la jeune fille. Elle se leva et prit son petit déjeuner et prépara celui de Greydger. En faite, non, elle le jeta à la poubelle. Elle n'est pas une servante ou quoi que ce soit, alors pourquoi elle devrait tout faire (ménage cuisine, tuer et assouvir les désires sexuelle de Greydger). Elle n'était pas son esclave, et ca elle allait le lui prouver !

Greydger se leva à son tour. Il se dirigea vers la cuisine et demanda à Valéria ou était son petit déjeuner. La jeune femme lui répondit qu'il n'était pas prêt et qu'il avait cas bougé son cul et le faire lui-même. Greydger, n'était pas du même avis. D'un coup, il se jeta sur le cou de la jeune femme et le serra du mieux qu'il pouvait pour qu'elle suffoque mais ne meurt pas.

- Je te rappelle que c'est moi qui t'ais accueillis. Donc tu me dois au moins ca !

La pauvre Valéria qui avait maintenant beaucoup de mal a respiré, attrapa un couteau qui était dans l'évier à coté d'elle et le planta dans la gorge de son père adoptif si on peut l'appeler comme ca. Sans une seule once de regret, de peur ou de tristesse, elle retira la lame du cou de son bourreau et la replanta aussi rapidement. Une fois Greydger au sol, dans une marre de sang elle dit, avec une voix si froide que l'on croyait qu'elle était possédé

- Je ne suis plus la petite fille fragile d'avant. Tu ne te serviras plus de moi. Adieu « papa »

Puis, suite a ca, elle sortit de la maison en prenant bien sur soin d'effacer toutes trace de son passage dans la vie de cet homme. Papier d'adoption, photos, ADN présent partout dans cette maison,...

Elle fit aussi comme elle avait fait avec Brice. Elle arrosa la maisonnette d'essence et brula le tout en laissant allumer le gaz et le feu de la vieille gazinière. Elle eu le temps d'aller a sa voiture, qui se trouvait sur le trottoir en face de la maisonnette et cette dernière explosa.

Alerter par l'explosion, des voisins sortirent et virent la jeune femme sur le trottoir, le regard fixant la maisonnette. Très vite, Valéria simula des larmes et un état de choque.

Madame Violace, une voisine rentra chez elle rapidement pour appeler la police et les pompiers. Puis elle sortit avec une couverture et courût jusqu'à chez Valéria qui n'avait pas encore bougé. La vieille femme posa la couverture sur les épaules de notre comédienne et l'entraîna vers chez elle.

Violace assit sa jeune voisine sur le canapé en attendant les secours. Elle lui prépara une infusion au citron et a la camomille.

- Ca va ma fille ? Que c'est-il passé, demanda la vieille dame

- Je, Je ne sais pas ! Il... Je rentrais et là ca à exploser ! Et ! Et ...

Valéria sanglotait. Pour de faux bien sur, mais c'était comme si c'était le cas. Elle devenait très bonne à ce jeu. Mais a quoi bon ? A oui, elle se souvient de pourquoi elle est devenue comme ca. Mais, l'espace d'un instant, en voyant le visage ridé de cette dame lui rappelais ses grandes mères, et donc sa mère. L'espace d'un instant, elle oublia pourquoi elle était devenue comme ca. L'espace d'un instant une vraie larme coula le long de sa joue mouiller par les fausses.


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Hey ca fait longtemps! Désolé du retard, mais j'étais beaucoup pris par mes cours ( après tout je suis au lycée maintenant :) )

Vengeance [Terminer]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant