Mon âme à nue

L'amour de l'écriture...

Si je veux devenir écrivain c'est surtout pour pouvoir voyager. Et rencontrer des gens, de leurs impressions, de leurs sentiments envers mon livre. Les critiques constructives sont les bienvenues tandis dit que les autres critiques sont bonnes à jeter. Ce serait tellement plaisant de faire la promotion dans les différents pays du monde. C'est cela qui fait la richesse d'un nouveau personnage ou d'un paysage. D'ailleurs partir au Mexique m'a ouvert des nouvelles perspectives pour mon livre. C'est un peuple passionnant avec sa culture et son peuple.

Celui qui m'a donné l'envie de voyager c'est bien ce cher Tintin. Quand j'étais une enfant, j'étais souvent malade et mon père me mettait les aventures de Tintin. Ce petit reporter partant dans les quartes coins du monde m'a toujours inspirée. Et grâce à mes parents je suis allée au patro, ce qui m'a changé la vie. Ma ouvert l'esprit et la parole, au grand dame de ma famille.lol. C'est pour cela que je devais écrire sur ma vie d'enfant et adolescente. Tout cela fut de très bons souvenirs et d'expériences en tout genre. J'espère que toutes ces étapes de ma vie m'aideront à réaliser mon rêve d'écrire.

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Defois le doute m'habite, je suis toujours occupé à me dire que c'est une passe. Quand j'écris, j'aime ça trouver une idée. Le moment où la connexion ce fait entre elle et le texte est magique. Quand les liens se forgent entre l'histoire et le texte est jubilatoire. C'est un moment esquis à lequel je goutte quelque fois. Ensuite, je dois broder autour de ces idées lumineuses. D'autres d'entre elles le deviennent mais j'ai peur de ne pas réussir. De perdre pied alors que ça va mieux pour moi. J'ai enfin quelque chose de positif dans ma vie. Non pas qu'il n'y a rien de bien dans ma vie. C'est juste que je voulais un nouveau événement dans celle-ci.

Le plus intéressant dans l'écriture d'un livre c'est les filaments que découle la trame de l'histoire. Les détails sont importants et utiles mais il faut savoir en jouer. Ne pas abuser d'eux malgré la tentation.

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On se sent démuni quand arrive la fin du livre car il n'y aura plus d'aventure. Que les personnages ont fini d'être au moment où on referme le livre. Et vous vous sentez orphelin d'une saga ?Comme si vous perdiez un bon copain ou membre de la famille. Même si c'est fictif, je me sens désœuvrée face à ce vide intersidéral. Comment continuer à vivre sans eux me diriez-vous ? Et bien en vous plongeant dans une autre saga. Bien sur c'est sans fin car le sentiment d'abandon sera toujours là. Mais je me réconforte en me disant que je peux les relire. Et qu'ils seront toujours là quand je ressentirais l'envie de les revoir. La plupart du temps, je ne finis pas ce que j'ai commencé. En ce qui concerne les projets diverses, soit par peur du changement ou peur de voir la fin venir. Je sais que terminer quelque chose n'est pas une fin en soi. En général, je n'ai pas la force d'affronter la fin de mon projet mais pas cette fois-ci. Il est temps que je me réveille et que je le termine, que je termine une fois pour toute un projet qui me tiens tant à cœur.