[FR] Levi x Reader - Levi, je t'aime

Chapitre 4 : Montre moi

Écoutez cette musique tout le long du chapitre, ça va vous apportez dans l'ambiance...

Sur ce, bonne lecture :)

Tu fermas les yeux automatiquement, pour lui faire croire que tu dormais, histoire qu'il s'en aille et te laisse tranquille car il était l'une des dernières personnes que tu voulais voir. Tu entendis ses pas se rapprocher près de ton lit, une main vint s'affaisser près de ta tête et tu sentis ton lit recevoir un lourd poids.

"- Ça sert à rien de faire genre que tu dors, j'ai vu tes yeux se fermer d'un seul coup quand tu m'as vu."

Tu ne répondis rien, voulant jouer le jeu le plus possible. C'est alors que tu sentis le dos de sa main te caresser la joue avec une douceur que tu n'avais jamais connu. Tu décidas donc d'ouvrir les yeux et le spectacle que tu vis t'enleva toute colère envers ton supérieur. La tête légèrement pencher en avant, ses cheveux de jais tombant sur ses magnifiques yeux bleu métallisés qui te contemplaient. Tu perçus dans son regard de la douceur, mélangée à un désir, chose que tu n'avais jamais vu avant chez Levi.

"- Aller, arrête de faire la gamine. Déjà que je me suis bouger le cul jusqu'à ta chambre alors t'es mignonne, soit un minimum sympa avec ton supérieur."

Tu levas légèrement la tête et lui dis, avec un sourire en coin :

"- Et pourquoi, je devrais être "sympa" avec vous, caporal ?

- Tout d'abord parce que je suis ton supérieur et parce que tu me perturbes."

Tu crois avoir mal compris. Le caporal venait de te dire que tu le perturbais. Il n'en dit pas plus que tu rougissais comme une pivoine et il ne tarda pas à le remarquer.

"- On dirait que je suis pas le seul à ressentir cette sensation..."

Les rayons de la lune envahissaient ta chambre et la baignait dans une lumière douce et blanchâtre. Levi t'attrapa la nuque de ses doigts si fins avec tant de délicatesse et vint déposer un doux baiser sur tes lèvres. Tu pensais que celles-ci étaient plutôt froides mais finalement, elles sont plutôt chaudes et légèrement pulpeuses. Tu détournas le regard et rougis de plus belle. Alors il te ressaisit la joue avec sa main pour que ton visage fasse face au sien.

"- [Prénom], je voulais te parler...

- Caporal-chef, je tiens à vous préciser que, du point de vue déontologique, ce que nous nous apprêtons à faire est interdit. Mais je ne sais pas, quelque chose en vous m'attire, une chose qui m'était totalement inconnue avant que je fasse votre rencontre. Lorsque je vous vois, je veux vous sentir sur mon corps, votre souffle au creux de mon oreille, vos mains sur mes hanches, votre tête dans mon coup et vos baisers sur mes lèvres. Mais-"

Il te coupa en posant sa bouche sur la tienne intensément, fougueusement. Tu fermas les yeux, profitant de cet instant, priant pour que le temps s'arrête.

"- [Prénom], ce n'est pas dans mes habitudes de faire ce genre de chose mais quand je le fais, c'est sincère."

À chaque fois qu'il t'appelle par ton prénom, tu sens ton cœur battre encore plus vite. Il te prend le visage de sa main si douce, tu hallucines, toi qui pensait que, comme c'était un acharné du ménage et du combat, il aurait les mains sèches mais c'est totalement le contraire. Il continue de te contempler et dit, avec virilité :

"- Je veux que tu sois à moi et à personne d'autres.

- Alors montre moi."

À ces mots, il glissa ses bras derrière ton dos, au niveau de tes côtes pour te faire asseoir sur ton lit tout en t'embrassant. Il remarque très rapidement que tu n'étais qu'en culotte et tee-shirt. Tu grelottas au contact mais aussi par le froid. Tu fus contrariée lorsque tu sentis ses bras se retirer de ton dos. Tu le regardas se lever du lit et retirer ses bottes. Il ferma la porte à clé, de peur si quelqu'un vous voyait. Un rayon de lune illuminait Levi lorsqu'il déboutonna sa chemise et tu aperçus ses magnifiques abdominaux, en dessous de ses pectoraux bien dessinés. Tu bavais littéralement devant ce corps qui allait bientôt ne faire qu'un avec toi. Levi remarqua bien que tu commençais à bouillonner dans ton corps. Il retira son pantalon blanc avec une lenteur que tu crus que jamais il n'allait finir. Ton caporal était désormais devant toi, presque nu, portant un simple boxer, cachant son érection qui commençais à montrer le bout de son nez.