We Are Psychopaths

Chapitre 8

" - Tu sais que tu vas finir par te faire attraper ?

- Mais non John. Dis-je en riant.

Je pose le flingue sur la table et me tourne vers lui. Je le regarde droit dans les yeux, il est tellement craquant avec ses pupilles bleus et ses cheveux d'ébène en bataille.
Il se rapproche de moi :

- Crois moi à un moment tu vas finir par avoir une balle dans la tête.

- Et toi brûlé vif.

Je le colle contre mon corps en détaillant son visage. Ses mains passent directement sur mes hanches et ses ongles se plantent dans ma peau. Je caresse ses cheveux et pose mes lèvres contre les siennes. Nos langues se caressent, se cherchent, s'entrechoquent. Je passe mes mains sur son corps et le déshabille. Il me fait de même.

Ses doigts se baladent sur ma peau puis il m'embrassent de nouveau.
Je sors un couteau et commence à jouer avec en le passant sur son torse. "

Je cligne des yeux et me concentre sur mon but et pas mes anciens ébats avec mon fantôme.
Je regarde en souriant les policiers qui ne s'attendait pas à tomber sur moi. J'avance en tirant sur le premier que je croise, son corps est projeté en arrière. La cadence augmente rapidement alors que je finissait de tuer l'avant dernier à bout portant dans la tête Thomas brûle le dernier avec le briquet et une bombe aérosol.

- Grace, t'as du sang sur le visage. Peut-être même un peu de cervelle. Dit-il.

- Ouais j'aurai pas dû tuer le quatrième à bout portant en pleine tête. Bravo le coup du briquet.

Je prend les munitions et les armes des flics puis on vole la voiture.
Thomas conduit, je regarde à travers la vitre puis m'endors.

"- Maman ? Maman où es-tu ?

La petite fille court vers les hurlements qu'elle entend. Elle se stoppe face à sa mère qui se faisait torturer par son beau-père.

- Grace va t'en. Mumure la femme en retenant du mieux qu'elle pouvait l'homme.

Mais l'enfant ne bougeait pas d'un cheveux, elle pleurait. Quand elle se décida enfin de bouger c'était trop tard, son beau-père se tenait devant elle un couteau à la main. Alors qu'il allait lui planter la lame dans le corps de la jeune fille, celle ci attrapa le petit pistolet et tira précipitamment sur l'homme qui s'effondrait. "

J'entends Thomas m'appeler depuis plusieurs minutes mais je n'arrive pas sortir de ce cauchemar. Tout mon corps tremble, mes larmes coulent comme un torrent. Quand j'ouvre enfin mes yeux je remarque que l'on est dans une chambre d'hôtel.
Je m'accroche à Thomas en murmurant son prénom. Je suis toujours tremblante et j'ai froid mais le corps mince de mon compagnon me réchauffe suffisamment. Je plonge mon égard dans le sien en serrant plus ma poigne sur son haut.
Je me soulève un peu et colle mes lèvres aux siennes. Elles s'unissaient à la perfection tel un modelage d'une statue.

Je m'écarte de lui, un voile de désir apparaît dans son regard ce qui est sans aucun doute pareil pour moi. Il repose ses lèvres contre les miennes.

Je me sens redevenir ado, comme si c'est ma première fois. Un frissonnement fait vibrer mon corps. Sa langue danse en harmonie avec la mienne.
Ses mains me caressent, me découvre et il m'enlève mes vêtements en me laissant que mes sous-vêtements pour habit.
Il m'embrasse la clavicule, ses lèvres descendent. Je soupire de plaisir je ne pensais pas qu'un jour je ressentirai ça pour quelqu'un. Je rejette ma tête en arrière lorsqu'il caresse mon intimité de ses doigts.

Un raclement de gorge se fait entendre. Thomas se sépare rapidement de moi et nous devenons rouge tout les deux comme si ça avait été nos parents. Malheureusement c'était John. Et il regarde mal Thomas, je savais qu'il ne pouvait pas le sentir mais je ne pensais pas à ce point là.

- Nous avons plus important à faire que de se toucher. Grogne-t-il.

Pour me donner une contenance je lui demande ce qu'il avait en tête.

- Puisse que nous avons deux pyromanes et une tueuse avec nous il est évident que nous devrions faire un carton.

- Passe directement au plus intéressant. Dis-je en me rhabillant.

- Et si on allait détruire le monde ?

- Mais bien sûr à trois on va envahir le parlement et détruire le gouvernement pour le faire dans chaque pays ? Annonce septiquement Thomas.

- C'est pour ça qu'il faut que l'on face ça proprement. Mais surtout il nous faut du matériel c'est pas avec des petits flingues et un briquet que l'on va faire des dégâts. Puis c'est sans parlé qu'à trois on manque un peu de personnel.

- Il faut procédé par étape. La première on libère tout les psychopathes qui marchent avec nous et qui nous écoutent au doigt et à l'oeil. Propose John. Mais pour cela faut que vous vous fassiez chopper.

Avec Thomas on se concerte du regard puis nous acquiessons.

- Retournons à Hurricane House.

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Alors des avis ? ^^
Personnellement j'ai galérer à faire Thomas et Grace et John et Grace.

Vous pouvez m'aider à trouver des noms de couple pour les deux ^^ ?

Sinon j'espère que vous avez aimé et que c'était assez long...
Bonne soirée