Chapitre 3, "Maman"

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Ma cher mère et un homme qui m'etais inconnu était entrain de... fin voilà quoi, je vous épargne les détails. Ho mon dieu, je voulais chasser cette affreuse image de mes pensés.

-Ho ma chérie, je suis tellement désolé j'ai pas vu l'heure et...

-N'en dit pas plus, je monte. la coupais-je froidement.

Wow, je ne m'y attendais vraiment pas, moi qui pensais que le depart de mon père l'avait affecté autant que moi, je m'etais bien trompé. Elle aurait pu m'en parler quand même je suis sa dénomé fille, j'ai le droit de savoir si elle a de qelconques liaisons.

***

20h30, l'heure du dîner a sonner.

Je suis à table avec ma mère et le mysterieux homme, il est d'ailleur plutôt, comment dire, avantagé par la nature. Le silence raigne, ça en deviendrait presque genant. Ma mère decida d'entamé une discution pour brisé se silence inusportable qui regnait depuis plus de 15 min :

- alors ma puce, tu as passé une bonne journée ?

-Oui.

Je sais, c'est froid, mais bon, je veux lui faire comprendre que je lui en veux.

-Ecoute chérie, je suis désolé que tu nous est surpris en pleinne act... mais je suis une adulte, j'ai le droit d'avoir des liaisons et tu dois l'accepté, dit-elle plus seraine qu'au part avant.

-Je n'es pas dis le contraire, dis-je sechement, mais je suis ta fille et je crois avoir le droit d'être tenu au courant de tes relations surtout si elle se passe dans cette maison qui est aussi la mienne. Alors vas-y, présnte moi cette homme.

En apercevant la tête que faisais ma mère, je regretta presque ses dernières paroles, mais l'heureux élu décida d'intervenir.

-Je m'appelle Pierre, j'ai 42 ans, et je viens de Lyon tous comme vous, je connais ta mère de puis très...

-Peu de temps, l'interompi-t-elle, oui, depuis très peu de temps.

-Je vois, depuis combien de temps exactement ?

-Bon c'est fini cette intérogatoir ! s'énerva ma mère. Montes dans ta chambre, tu as surement des tonnes de devoirs a faire, insista-t-elle.

Je montais sans négocié, cela m'arrangais bien de me casser de se repat embarassant. Mais curieuse que je suis, je décidais tous de même d'ecouter un peu leur conversation, car ma mère me semblait bien étrange pour un simple homme qu'elle connaissait depuis peu de temps.

-Pierre, tu te rends conte ! lui cracha-t-elle au visage, Elle aurait pu tous découvrir, sois plus vigilant bon dieux !

-Ecoute, stef, je pense qu'il ne faut pas garder cela pour nous, c'est injuste, elle a le droit de savoir la veritée !

-Quelle véritée ? dis-je rempli de colère, sortant de nul part.

-Elsa ? Tu...tu, tu écoutes aux portes ma puce ! Au la véritée sur le fait que je le connais depuis 1 mois enfaite haha je suis désolé..dit-elle embarassé.

-MAMAN ! Je sais que tu mens, ça se vois tellement, et puis j'ai tous entendus ! Dis-je sur le bord des larmes. Ce n'etait pas des larmes de tristesse, je n'en vois pas la raison, mais c'etait de la colère pur et dur. Elle me mentait, je le savais, je le sentais. Alors Pierre prit la parole sans se laisser interompre par les nombreuses interventions de ma mère lui disant de ne rien révélé.

-Ecoute, Elsa, je suis plus que ce que tu penses, je veux que tu t'assailles, et que tu restes calme, je t'en pris, fais le pour ta mère.

Je m'assis calmement, mais en aucun cas pour cette putain de "mère", je le faisais pour moi, égoïstement, seulement pour savoir qu'elle était leur mysterieux secret me concernant.

-Ta mère a subi une séparation dur avec m... avec son ex mari, comme tu le sais, il a donc décidé de disparaitre, pour ne pas lui faire de mal a elle et a toi. Mais, je pense que tu le sais, quand quequ'un est attaché a une autre personne, il ne l'oubli jamais réelement, malgré la plus forte des volontés... alors defois, il reaparait subitement. Elsa, je vais faire simple. Je suis l'homme qui vous a abandonner. Je suis ton père ( Luke, je suis ton père ).

Je restais bouchebé. Aucun mot ne sortais de ma bouche, pourtant, des millions de choses se bouscullaient dans ma tête et dans mon coeur, mais rien ne pouvait sortir de ma misérable bouche paralisé par la stupeur, la haine, la trahison et une centaine d'autre émossions toutes aussi terrifiantes les unes que les autres. Cette nouvelle me glacais le sang a m'en donné la chaire de poule. Mon père disait-il, c'est impossibe, c'est une farce, me disais-je pour me rassuré, mais au fond je sais bien que tous cela est réel, que ce lache personnage était réelemet celui que l'on prénome "papa".

Je laissais partir toute ma colère dans mon poing, qui s'écrasa sur le mur, laissant paraître une profonde trace. Je leurs lança un regarde glacé, qui en dit bien plus que ma stupide bouche qui ne voulait s'exprimer.

Sur ce, je m'en alla de cette foutu maison de riche en claquant bien fort la porte histoire de leurs etalé toute ma haine à la gueule. Quelle bande d'enfoirés ! Je n'y croyais presque pas, ma mère et mon père, ensembe, alors que depuis mes 4 ans, je rêve de lui, d'un père présent, d'une famille complète et d'une enfance heureuse, et elle baise avec se gros port qui me sert de père, sans auncun remort, sans se sentir coupable. Quelle pimbèche !

Je marchais à toute alure droit devant moi sans regarder vers où je me dirigeais, j'étais aveuglé par la haine qui brûlait en moi. A ce moment précis, je m'en contre foutais de tous, je voulais seulement m'eloigner le plus possible de ses putains d'hypocrites, menteurs, manipulateurs... la liste est bien trop longue pour tous vous écrire. Je laissais petit a petit la tristesse m'envahir et quelques larmes roula sur mes joues rouge pétant de colère.

Je me sentais tous simplement trahi et manipulé, mais le pire dans tous ça, c'est que c'etait par mes propre parents...bordel !

Après avoir marché une bonne vingtainne de minute, je me retrouvais dans un parc qui m'était familié, j'avais du m'y rendre quelques fois étant plus jeune. J'y entendis une voix d'homme, une voix sexy et pleine d'assurance, mais je décidais de m'en allez le plus vite possible, car on ne sait jamais, cela pouvait être un violeur ou je ne sais quel autre genre d'ordures. La maison de Vic n'etait pas bien loin, je décidais donc de m'y rendre sans ésiter. Je vous épargne les details de tous le reste de cette soirée qui ne vous sera pour lemoins interessante je ne fis que tous raconté a Vic, qui fut d'ailleur tous aussi choqué que moi mais pas autant colériqueque je le fus aupar avant ; par la suite elle me proposa de m'hebergé en secret jusqu'à que je retrouove le courage et surtout la volonté de retourné chez moi. Encore une fois, elle me sauve la vie cette enfant.


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Voilà, merci d'avoir lu ce petit chapire et n'hesiter pas a commenter aimer ou autre,  kiss

Terribles véritésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant