Les Frères Bennett Tome 1: Tu M'appartient ( En Correction)

coucher sensuelle !

# pdv Mellina

Je fini par arriver au rendez-vous avec le chef une heure en retard, après m'être pratiquement faite engueuler car je n'est pas trouvé d'excuse valable, je ne pouvais pas lui dire que je me faisais baiser par mon copain je doute qu'il aurait apprécié même si pour le coup moi j'ai appréciée.

Après avoir passé le reste de la matinée à régler les derniers petit détail avec le chef, je quitte le restaurant fière de moi.

Je rejoins l'hôpital pour tenir compagnie à Nick qui commence à péter un câble de devoir rester dans un lit.
Cela ne fait que deux jours qu'il est réveiller je me demande ce que cela va donner dans quinze jours.

Après être passé chez le traiteur, je rejoins Nick dans sa chambre, il est en train d'essayer de corrompre une infirmière pour qu'elle lui taille une pipe.

Je lève les yeux au ciel en ricanant, l'infirmière est rouge de honte tellement elle est gêner pour une fois que ce n'est pas moi je vais pas me plaindre.
Une fois l'infirmière partie on commence le déjeuner.

- Je te jure ses vraiment le pire hôpital de tout les temps depuis quand les infirmières ne taille pas de pipe à leur patients.

J'explose de rire, il a tellement l'air sincère quand il me pose cette question.

- Tu as une main tu as qu'à t'en servir dis-je avec un grand sourire.

- Quoi tu m'a pris pour un puceau de quinze ans dit-il consterné.

Après avoir passé une bonne heure avec Nick je le quitte pour rejoindre le fleuriste.
Nous nous mettons d'accord pour les orchidées, je décide d'en prendre de toute les couleurs pour donner un peu de peps à la salle qui restera dans les ton neutre.

Je sort du fleuriste en fin d'après-midi je décide donc d'aller dans une épicerie faire des achats pour le repas de ce soir.

Je suis en train d'hésiter sur le choix du vin quand mon portable sonne, je décroche mais personne ne répond au bout de la ligne, j'entend seulement une respiration. Je décide de raccrocher et l'appel me sort de l'esprit. Si seulement j'en avais parlé à Julian j'aurais peut-être pu arrêté le drame qui se déroulera dans quelques jours.

# quelques jours plus tard

# pdv Julian

Nous sommes dans le lit en train de discuter de Nick qui se remet vraiment vite de la fusillade quand Mellina frôle sa poitrine contre mon bras réveillant mes instinct primaire

Je tend la main et je l'incite avec douceur à s'allonger sur le ventre je pose mes lèvres sur sa nuque et l'embrasse. Mellina pousse un petit soupir.
Son plaisir me libére, il me donne un sentiment d'accomplissement que je pensais avoir irrémédiablement perdu sous les coups de mon père.
Je repousse ses cheveux éparpillés sur ses épaules et laisse mes doigts s'y égarer.
Un autre petit gémissement lui échappe.

Résistant à la tentation de plonger en elle trop rapidement.
Je glisse ma main autour de sa taille pour empoigner son sein.
Je laisse mes doigts parcourir rapidement la peau si fragile de son mamelon qui s'érige immédiatement.

- Ton corp réagit si bien. Il se languit de mes carrésses, comme s'il n'attendait que moi.

J'ai la queue qui palpite et je me force à ignorer ses exigences même quand son cul rebondit la frôle.

Ma main descend entre ses cuisses laiteuses pour les écarter et je grogne :

- J'ai besoin d'être en toi.

- Oui, avec plaisir

Un spasme secoue ma bite en l'entendent prononcé ses mots.
Comme à chaque fois, ses yeux sont fermés et sa voix lointaine, comme si elle n'était même pas consciente d'avoir parlé.
Mais j'entend la même urgence que d'habitude.

- Tiens-toi à la tête de lit.

Ses mains passent par dessus sa tête et elle attrape fermement une latte en bois. Puis je presse ma main contre son ventre crispé et j'attire son cul vers mes hanches qui n'attendent que ça.

Ma queue se glisse dans sa chatte sans rencontrer la moindre résistance. Un cris étranglé franchit la barrière de ses lèvres alors que je m'enfonce profondément en elle.

Mellina m'accueille en elle et même si elle n' ondule pas du bassin, sa faim irradie, elle m'attire plus profondément en elle et me presse d'accélérer.
Je tire sur ses cheveux

Je la pilonne jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien d'autre que le claquement de sa peau contre la mienne et ses petits cris essoufflé. Ma main se glisse de son ventre à son sexe pour masser son clitoris alors que j'accèlere la cadence. En récompense,je sens qu'elle se contracte. Ma bite est serré par des spasmes, comme si elle me tirait vers l'orgasme.
Je tire sa tête en arrière pour pouvoir regarder son visage lorsqu'elle jouit.

Quand la pression est telle que mes couilles sont sur le point d'éclater, je lui murmure à l'oreille:

- Dis le.

- Je t'aime

Mon plaisir éclate et je me déverse en elle. Je laisse son amour me submergé alors que je continue à la piloner pour un nouvel orgasme.

Nous restons dans cette position une minute ou une éternité, le temps cesse de compter pour nous.
Ses doigts s'emmêle dans mes cheveux et attire mes lèvres vers les siennes. Elle a un goût de miel sur ma langue.

Nous finissons par nous endormir l'un en face de l'autre.

A suivre

Nouveau chapitre, en espérant qu'il vous plaise, suite à la demande de plusieurs lecteur j'ai décidé de décrire les scènes intime et de les faire plus longue.

Je dédie se chapitre à Amandineravier merci pour tout tes votes !

J'espère que le nouveau titre et la nouvelle couverture vous plaise.