Jacqueline est aux assises pour son procès. Le juge examine le dossier "Affaire J. Perez contre P. Pont".
-Il m'avait dit qu'il avait 3 petits chiots dans sa cuisine. - Commence Jacqueline.
-Donc vous l'avez suivi ? - Répond l'avocat.
Jacqueline acquiesce.
-Veuillez répondre avec des mots mademoiselle.
-Oui.
-Dans la cuisine, vous avez vue qu'il n'y avait pas de chiot. Quand Mr. Pont à essayer de vous embrasser, rien ne vous empêchait de partir ?
-Il est grand Mr. Pont... Et fort... Il me tenait par le poignet, j'pouvais plus bouger. J'ai tourner la tête.
-Mmh. Donc vous avez attendue ?
-Oui.
Jacqueline regarde autour d'elle, fuyant le regard jugeur de l'avocat.
-Quand Mr. Pont vous à déshabiller, est-ce que vous lui avait dit que vous ne vouliez pas coucher avec lui ?
-Je lui ai demander d'arrêter.
-Non. Est-ce que vous lui avez dit que vous ne vouliez pas coucher avec lui ?
-Mais je savais pas ce qu'il voulait faire ! J'savais même pas ce que c'était de "coucher" !
-Merci mademoiselle. Mr le Président, cette jeune fille à suivi mon client de son plein gré, elle ne s'est pas débattue, elle n'a pas non plus verbaliser qu'elle ne voulait pas de relation sexuelle avec lui, et on voudrait nous faire croire à un viol. Mon client risque la prison pour une histoire pareille. Est-ce que tout cela à l'air sérieux ?
L'avocat se dirige vers son client, Mr. Pont. C'est un homme d'environ 25/30 ans, blond aux yeux bleus. Il est imberbe, et son regard est à la fois niais et sournois.
-Mr. Pont, de votre point de vue, Jacqueline Perez était-t'elle consentante ?
-Mais Mr. le Président, elle était même pas vierge ! - Répond Mr. Pont.
-MAIS C'EST PAS VRAI ! - Se défend Jacqueline.
L'avocate de Jacqueline intervient:
-Mr. le Président, on ne peut pas laisser dire une chose pareille !
-Maître, vous aurez la parole quand la défense auras terminer. - Répond le procureur.
Pendant ce temps là, Dominique découvre le décès de Claude.
-Mais qu'est-ce qui s'est passé ?
-Il y à eu un terrible accident. C'est... C'est Claude. -Répond la directrice.
Dominique retire une partie du linceul pour voir la tête de Claude, et se met à pleurer en secouant son corps inanimé, alors que les ambulance sont en train de l'escorter.
-Arrêter, vous ne la ramènerait pas à la vie !
-Elle serait pas morte si vous m'avez laisser monter dans l'ambulance ! C'est de votr faute ! Vous l'avez tuée !
La directrice gifle Dominique.
-Reprenez vos esprits ! J'suis aussi affectée que vous !
-Affectée ?
-Oui !
-Vous en avez rien à faire de vos pensionnaires ! Fin j'vous ai vue à l'oeuvre (elle montre le corps de Claude) ! Les filles ont raison vous êtes mauvaise...
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Les Filles du Plessis
SaggisticaEn 1970, la maison du Plessis accueillait les jeunes filles mineures enceintes. Peu importe si l'enfant qu'elles portent sont le fruit de l'amour ou d'un viol, cette institution strict n'a qu'1 but: remettre les filles dans le droit chemin. Mais les...