chapitre 8

3 0 0
                                    

Désoler du retard
jais du préparer une valise pour un petit voyage, qui ne devrais pas trop perturbé les sorti du prochain chapitre.
Bonne lectures !!
___________________________

-POV ALBY-

AU SECOURS !!!

Dire qu'hier je disais à qui voulait l'entendre que notre calvaire allait enfin se terminer. Jamais je ne m'étais autan tromper. Car ce matin, rien n'allait plus ... Notre Minho refusait de courir et de quitter le chevet d'Alice. Déjà qu'il devenait difficile à contrôler lorsqu'il était blesser, là par contre, l'enfer semblait c'être abattu sur nous. Fallait vraiment l'éloigner pour le bien-être de tous.

- Vite ... Allez Alby ...  Trouve une solution, me répète-je sans fin comme une litanie.

Je frappais à la porte.

-Entrer, cria Minho.

Comme je poussais la porte Minho jugea bon de m'interpeller.

- Par ici qui que vous soyer.

Je marchais en direction de la chambre d'ou me parvenais des brides de conversations mouvementer.

- Salut vous deux, comment va-tu Alice?

- Je pense que je vais survivre Alby, mais seulement si tu réussi l'exploit d'éloigner ce beau défendeur, protecteur de ma vertu, désignant du pouce Minho, qui serrait et desserrait les poings signe de fureur retenu.

Cachant mon sourire, je pris mon air sérieux de chef.

- Minho, si je te promet qu'Alice ne sera jamais seule pendant ton quart de travail, accepte-tu de rejoindre les coureurs?

- Et qui va me remplacer?  Pas Gally j'espère !!!

- Noa, Madison et Chuck, plus Jeff de temps à autre pour le suivi médical.

Minho se tourna vers moi quêtant une réponse. D'un geste, j'acquiesça.

- Je m'habille et j'y vais.

Sur ces mots il me poussa et ferma la porte de la chambre.

Arf ... encore du jonglage d'horaire.

Décidément on ne s'ennuyait pas avec Minho.

-POV MADISON-

Alice s'était assoupie.

Dès le départ de Minho, elle avait abandonner la lutte, celle de rester éveillée et vaillante devant un Minho plus que soupçonneux. Et moi je dois avouer que je respirais bien mieux depuis que Thomas était passer le chercher. Noa, qui s'inquiétait de la santé d'Alice, était passer un peu plus tôt accompagner de Newt. Elle voulait se rendre utile et voulait me demander si j'avais besoin de son aide. Je lui ai répondu de se reposer car demain viendrait vite et qu'elle serait mise a rude épreuve.

Mes yeux louchaient vers la bible de références que m'avait laisser des âmes charitables. Il y avait entre autre toutes les recommandations de Jeff, plus l'assurance d'Alby d'une rotation continu d'amis(es) auprès d'Alice, la promesse de Fry-Pan de délicieux plats consistant et, bien sur, la liste interminable de Minho sur ce que l'on doit faire ou pas !!!

Comment Alice arrivait-elle à gérer le temps constant passer au côté de son ''Trésor''?  Ça me stupéfiais !!!

A force de tenter d'analyser cette situation qui me dépassais, j'en vint à penser à mon chéri et a la chaleur que son amour me procurais. Peut-être mon amie ressentait la même chose envers son Minho.

Assise confortablement, je songeais a Thomas et a ces tremblements qui couvrait mon corps quand je me blottissais contre son torse, a ses bras qui m'abrillais et me protégeais du monde extérieur de ces éventuelles attaques. Je gardai le meilleur pour la fin, en me remémorant ses doux baisers et plus particulièrement celui qu'il avait à peine eu le temps de déposer sur mes lèvres avant de suivre Minho qui le houspillait de faire vite. En appuyant mes doigts contre mes lèvres je ressentais encore sa présence et la douce sensation qui me faisais fondre quand il était près de moi. Je craquais littéralement pour lui ...  Est-ce que c'étais normal?  Je m'en moquais, car je l'aimais mon beau chevalier.

Et si jamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant