Partie 5

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Le Messager d'Allah (que la paix et le salut d'Allah soient sur lui) a dit : « Il y a des gens qui ouvrent les portes du bien et ferment l'accès au mal, et il y en a qui ouvrent les portes du mal et ferment l'accès au bien. Bonheur à celui à qui Allah donna les clefs des portes du bien et malheur à celui à qui il donna les clefs des portes du mal. » Rapporté par Ibn Mâjah et considéré comme bon par Albâny.

Bismillah

Aziz était désormais le plus clair de son temps chez Maher l'instituteur, un soir 3ami Osman sorti de la maison quand il vit Aziz avec l'instituteur lui qui avait peur du professeur Maher il était tout les soirs chez lui

Sabri arriva par derrière avec la lampe torche : Baba, Aziz va bien t'inquiète pas rentre tu va avoir froid

3ami Osman : Écoute mon fils dit-il

Sabri : Oui baba

3ami Osman : Certaines personnes ont des yeux sur le coeur, ils regardent le monde avec cette oeil, ils voient tout avec cette oeil, qu'Allah fasse en sorte que vous rencontriez tous des gens bien dans votre vie (cette expression définit plus précisément l'expression "Avoir le coeur sur la main" pour celle qui ont pas compris le sens)

Sabri : Amine Baba, Amine

Un jour, pendant que les femmes faisait à manger dans la cuisine et que les hommes s'occuper dû foin, Sid le cheval rentra dans l'écurie sans Aziz, Khalti Fatima sortit de la cuisine et vit Sid sans Aziz elle cria donc

Khalti : Ahmed a tu vu Aziz Sid et rentrer mais pas lui

Ahmed : Non je l'ai pas vu

Tout le monde parti à la recherche de Aziz il était tous affoler, mais où est donc Aziz ?

Point de vue de Aziz

Je me suis isolée dans la montagne comme toujours mon point de repère, je repense à ma vie je repense à tout ce que j'ai vécu je suis handicapé, mais j'ai la logique c'est juste que je ne sais pas comment le montrer mon handicap me pourri la vie, j'ai besoin d'aide j'ai besoin de soutien et la seul personne jusqu'à présent qui me l'a apporter c'est l'instituteur je voudrai tellement lui parler leurs parler mais j'arrive pas du moins sa sort pas

Je m'en remet à Allah tout les jours, je lui demande de mettre sur mon chemin une femme droite, pieuse, belle, peut être que j'aurai jamais cette chance peut être que j'aurai jamais cette femme, mais au moins qu'elle est la piété c'est tout ce qui m'importe, qu'elle soit patiente face à moi et face à mon handicap c'est peut être impossible mais moi j'ai confiance en Allah et je sais qu'il me donnera quelqu'un de bien quelqu'un de juste, j'en ai extrêmement marre d'être un poids pour ma famille, ma reine elle se casse le dos à s'occuper de moi, et mes frères aussi j'arrive plus trop

Ahmed : Aziz ?! Aziz ?

J'entends mes frères criait mon prénom, je me retourne vers eux

Ahmed : Aziz qu'est ce qui se passe khoya ?

Mohamed : On a eu peur pour toi Aziz

Aziz : Handicapé du corps mais pas du coeur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant