Partie 31

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Le Messager d'Allah (que la paix et le salut d'Allah soient sur lui) a dit : « L'humain n'a point rempli un contenant plus mauvais que son ventre. Des petites bouchées de nourriture suffisent à l'homme pour pouvoir survivre. Mais si vous êtes incapables d'agir ainsi, alors réservez un tiers pour la nourriture, un autre pour la boisson et le dernier tiers pour la respiration. Rapporté par Ibn Mâjah et authentifié par Albâny.


BismiLlah


J'arrive devant cette maison, la boule au ventre je ne sais pas pourquoi le stresse de les revoir le stresse de rencontré le mini moi que je n'ai pas pu voir depuis sa naissance et comment va-t-elle réagir ? Va-t-elle me reconnaître ? Et Youssef ? Comment va-t-il réagir ? Sera-t-il heureux de me voir ? Et Asmina alors ? L'amour de ma vie, je suis Majnoun elle est ma Leïla, elle est le pansement de mes blessures ma lumière quand tout est obscure...


Je souffla un bon coup et toqua à la porte lorsque je vis Lina


Elle est jamais chez elle celle-là toujours chez moi ahah mais le pire de tout, c'était qu'elle avait un bébé dans les bras, une fille plus précisément c'était ma fille, c'est Kawtar qu'est ce qu'elle est belle ma fille ma sha Allah c'est beau yeux bleu comme son père


**** : Qui a porte ? Dis une petite voix


Lina était choquée et figée miskina je lui avais fais un signe de se taire, mais je pense qu'elle en avais même pas besoin tellement elle en avais le souffle coupé


Et je vis un petit garçon arrivée devant moi mon fils, ma chair, mon sang c'était lui la petite crotte de nez que j'avais laissais


**** : Oh Lina c'est qui ? Qu'est ce que t'attend ça va refroidir moi je mange je t'attend pas, Youssef wouled al hram ils sont ou tes chaussons il va me tuer lui WAllah


C'était elle, c'est ma femme, ma vie, mon premier amour, ma soeur, ma mère, la femme pour qui je me suis battue contre vent et marré la femme pour laquelle j'ai combattu cet handicap pour laquelle je me suis surpassé elle était derrière cette porte à remplir son rôle de mère de femme ya rabbi qu'est ce que je l'aime, celle qui a mon cœur et bien plus encore, si demain je meurt je l'aimerai même sous ma tombe, si demain je meurt mon amour pour elle sera éternel

Youssef : Baba baba baba... bafouillait-il

Asmina : Baba oui baba il arrive bientôt in sha Allah allez yAllah viens


Elle arriva pour récupérer, le petit puis leva la tête et nos regard ce croisa, elle s'est mise à trembler


Asmina : Liii..Linaa je crois je rêve la pince moi pour voir


Lina lui pinça le bras


Asmina : Aaaaaie mais je t'ai pas dis de me faire autant mal


Lina : Bah quoi tu m'a dis de te pincé c'est ce que j'ai fais


Asmina : Lina tu sais je vois Aziz la devant moi


Lina : Ouais moi aussi je le vois


Youssef : Baba... baba...


Aziz : Handicapé du corps mais pas du coeur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant