Aziz : Handicapé du corps mais pas du coeur

Partie 12

Le Messager d'Allah (que la paix et le salut d'Allah soient sur lui) a dit : « Évitez les sept choses qui mènent à la perdition. » Ils dirent : « Ô Messager d'Allah ! Quelles sont-elles ? il répondit : « Donner un associé à Allah, (pratiquer ou approuver) la sorcellerie, tuer illégalement une vie qu'Allah a rendue sacrée, s'accaparer injustement les biens de l'orphelin, déserter le champ de bataille et accuser injustement (de fornication) les croyantes vertueuses insouciantes. » Rapporté par Boukhâry.

Bismillah

Moi : J'aii..pr...riis..ma..dé..ci..cision Asmina

Asmina : Qu'elle décision ?

Moi : Doo..orrt tu..tuu..ve..verra dee..demain

Elle s'endormi dans mes bras demain et un autre jour !

Le lendemain matin à l'aube je me suis réveiller pour faire la salât avec ma femme après la prière j'ai commencer à sortir des valises

Asmina : Aziz ? Qu'est ce que tu fais ?

Moi : C'est là meilleur solution qu'on peut prendre Asmina

Asmina : Mais ? Tu va pas quitter ta famille quand même ?

Moi : Si t'es pas heureuse ici pourquoi je resterai ? J'ai pris une décision lorsque nous seront en ville, je vais tout faire pour faire des séances de rééducation et me rétablir in sha Allah j'en ai marre de te voir pleurer tout le temps depuis que nous sommes mariés pas un jour où je t'ai vu simplement sourire pas un jour ou je t'ai vu rigoler j'en ai assez je t'aime plus que ma propre vie et t'es rendre heureux c'est mon but avant tout donc allons-y omri t'en qu'on a le temps

Elle a versé quelque larmes, je me suis avancé vers elle, et j'ai essayer de lui essuyer, pendant qu'elle remplissait les quelques valises, je suis parti voir ma famille une dernière fois bien sur pendant qu'ils dormait pour qu'ils ne m'empêche pas de m'en aller avec ma femme, je fais le fier le dur mais c'est vrai que j'arrive pas à supporter sa, c'est une décision extrêmement difficile mais c'est la meilleure malheureusement faut faire avec

Dans la peau de Maher l'instituteur

C'est l'heure, tout les élèves sont devant la classe il manquait seulement Aziz, mais bon j'ai pas fait attention il va seulement arriver toujours un peu en retard depuis qu'il est marié je comprend tout à fait, en y repensant moi aussi je part dans 2j c'est bon c'est la fin pour moi aussi je dois m'en aller je rentre chez moi pour retrouver ma femme et mes enfants, ils me manquent tellement mêmes si je l'ai appellent tous les jours, au téléphone et en face c'est pas pareil c'est tellement dommage que je peut pas les ramener ici, c'est personne sont devenu ma famille sa me fend le cœur de pensaient que je vais devoir les laisser mais bon toutes bonne choses on une fin

***

C'est l'heure du déjeuner et j'ai toujours pas vu Aziz c'est bizarre, j'étais entrain de manger lorsque j'ai vu, toute la famille Azarbi ce dirigeait vers l'école, j'entend Ahmed criait mon nom ! Je sort pour voir ce qu'il ce passe

Moi : Qu'est ce qu'il y a Ahmed ?

Ahmed : C'est Aziz, il est nul part sa femme aussi, et il a laissé ce bout de papier je comprend pas, vous pouvez nous le lire ?

Ils sont tous rentrer dans la salle de classe, et on attendu que je lis la lettre des le début j'avais déjà peur

"Avant de commencer ma lettre, j'aimerai vous saluez, j'embrasse la main de mes aînés, et le front des plus petit...
Je sais que vous aller être triste mais j'ai été obliger de partir d'ici, personne ne m'a compris, ni même écouter. Yemma, baba j'aurai tout fais, j'aurai tout donner pour pouvoir parler avec vous mais je n'y suis pas arriver, tout les gens du village, se sont foutu de moi parce que j'étais handicapé, ce sont foutu de moi il m'ont surnommé "le fou". Ce n'était pas grave jusqu'à maintenant mais voilà je suis marié maintenant, j'ai une femme et le fait que les gens du village disent des choses sur ma femme me fais beaucoup de mal, je ne pars pas pour moi, mais pour ma femme je me dis que peut être la ou je vais les gens ce moqueront pas de moi et de mon handicap, ne vous inquiétez pas pour nous, un jour je reviendrai un jour je réussirai à vous parler à vous dire à chacun a qu'elle point de vous aiment, à quelle point vous compter pour moi, je vous aime tous, donnez-nous votre bénédiction, je confie mon cheval à vous, et vous je vous confie à Allah"

Tout le monde éclata en sanglot derrière moi, il arrivais pas a réalisé que sayais ils étaient parti qu'ils prenaient leurs envolent, je me suis dis que peut être la ou je vais, je vais revoir Aziz je lui parler souvent de la ville ou j'habitais, peut être qu'il sait dis que c'était la meilleure idée qu'il aurait plus de moyens pour s'épanouir avec sa femme en tout cas lorsque je repartirais dans 2j je me mettrait à la recherche de ces deux là pour les aider dans leurs projets

Je vous passe 2j il est temps, pour moi de m'en aller c'est le dernier jour de cours, ils est temps pour moi de dire au revoir à ce village qui m'a apporter tellement de principe et tellement de valeurs, c'est devenu ma famille j'me trouve à ma place ici, j'en deviens nostalgique je sort de l'école, et je vois toutes la famille Azarbi, réunis devant l'école, pour me dire au revoir sans doute, les adieux c'est pas pour moi malheureusement j'aime pas sa je m'approche d'eux et je me lance dans un simple petit discours de remerciement

Moi : Je ne sais pas quand est ce que je reviendrai ici, mais sachez que je suis extrêmement reconnaissant face à tous ce que vous avais pu faire pour moi, j'oublierai jamais, vous êtes des gens tellement braves, tellement courageuse, vous m'avez accueillis chez vous, vos femmes m'ont appris à préparé du fumier pour ne pas avoir froid, 3ami Badr j'ai plus peur des bandits maintenant, ce sont ces lions qui ont aidés à construire cette école. Les enfants, s'il ne m'arrive rien, c'est enfants iront à l'école, certain deviendront ingénieurs, d'autre médecin ou bien instituteur.

Je m'avança vers 3ami Osman, et je lui tendit le carnet, et le dessin d'Aziz, il se précipita dessus puis il me dit

3ami : J'ai 6 fils, tu es devenu le septième, j'arriverai pas à en dire plus, allez va..

Je l'ai saluèrent, en pleurant, et je me dirigea vers le cheval qui devait me transporter jusqu'à la petite ville pour que j'y prennent mon car

3ami : Maher mon fils ?

Je me retourna : Oui baba

3ami : J'allais te parler d'Aziz, mais je vais pas le faire, fais bonne route qu'Allah te protège

Et voilà que je pris la route tout en m'essuyant le nez et les yeux, je ne vais pas vous parler du trajet parce qu'il était long, et je vais vous passer 1 mois, pendant c'est un mois j'ai fais des recherches sur Aziz, sachant que j'ai des collègues un peu partout dans chaque domaines, j'avais beaucoup de chances de retrouver Aziz, mais le seul soucis c'est que je savais même pas si il était dans la ville, cependant un jour j'étais chez le maire de la ville lorsque je croisa...

Qui a-t-il vu ?

Ou est passé Aziz et Asmina ?

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Excusez moi pour les fautes !!