Aziz : Handicapé du corps mais pas du coeur

Partie 29

Le Messager d'Allah (que la paix et le salut d'Allah soient sur lui) a dit : « Celui dont la vie prend fin durant une journée pendant laquelle il jeûne rentrera au paradis. » Rapporté par Bazzâr et authentifié par Albâny.

Pour toutes mes sœurs musulmanes je vous prie de bien lire ce que j'écris, le mois de Joumada Al Akhira 1438 ayant débuté le Mercredi 1er Mars 2017 selon les Observations Lunaires des Musulmans de France, les trois jours de jeûne blancs correspondront donc au lundi 13 mars le mardi 14 mars et le mercredi 15 mars in sha Allah ! 🙏🏼  qu'Allah acceptent nos jeûnes et nos donnes la force de pouvoirs les accomplir correctement Allâhumma Amin 🙏🏼

BismiLlah

Je prend mon pistolet et le met derrière moi, je suis pas censé en avoir un sur moi

Moi : C'est qui ?

D'un coup la porte s'ouvre et je me sent projeter en arrière !

*****: Comme on se retrouve !

Qu'est ce qu'il fais la ?

C'était Salim avec son sourire de vainqueur, j'essaya de me lever mais c'était peine perdu. Il avais mis sa jambe sur mon torse, pour m'empêchais de me lever.

Salim : Alors ou sont-ils ?

Je savais très très bien de qui il parlait, il me regarder pour voir la réaction que j'avais. Je joué la carte de l'homme sans émotions pour cacher toute la colère et la peur que j'avais du faites qu'il veuille ma famille. Mais mon visage étant comme un tableau de Picasso chaque émotions ressortait

Salim : J'ai bien compris ils sont ici, une bonne parti de cache cache rien de mieux

Il se mis à chercher tout en rigolant comme si le faites de me voir crier lui donnait un bien fou

Moi : SI TU TOUCHE NE SERAI-CE QUE UN CHEVEUX D'UN DES DEUX PAR ALLAH QUE JE TE TUERA DE MAIN FROIDE COMME J'AI FAIS AVEC TON PÈRE TU MA COMPRIS ?

Salim : Ouuuuuuh mais il me fais peur dis donc, tu sais ce que j'aime chez toi Aziz ?

Moi : Que quand je parle je parle pas pour rien et si je te dis que je vais te tuer je vais le faire !

Salim : Ouais déjà, mais que t'es grave courageux et fort pour un handicapé

Moi : C'est vrai que je suis pas comme ton père moi, un lâche 

Toucher ! J'avais bien touché son point faible et ce pauvre type, il s'est avancer vers moi et ma mit une droite dans l'œil, mais c'est pas grave je préférait prendre des coups, que le laissait toucher ma famille

Il accéléra le pas et entra dans la dernière pièce de la maison, il sorti de celle-ci en colère et m'attrapa le visage

Salim : Ou sont-ils ?

Je le regarda droit dans les yeux et lui cracha à la figure un bon gros molard que je gardai depuis un bon bout de temps