Chapitre 15 : La bonne rigolade

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Moi ? Avoir oublié de publier mon chapitre ? Noooooon ! C'est pas vrai ! Je vois pas de quoi vous parlez ! Pas du tout !
En vrai si j'ai oublié :') je suis désolée !
Have fun !

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Je me réveille après ce même cauchemar que la dernière fois qui cette fois a été suivi d'une douce sensation de chaleur qui m'avait plongé dans un sommeil sans rêve. Je me retourne et tombe nez à nez avec Thomas. Il dort profondément. Je me souviens de ce qu'il s'est passé, j'avais éclaté en sanglots, il m'avait pris dans ses bras et je m'étais endormi dans ses bras. Je suppose que c'est lui qui m'a déposé dans mon lit avant de s'y endormir à son tour. Un petit sourire prend place sur mon visage. Il est mignon quand il dort. Je me lève le plus discrètement possible du lit pour ne pas le réveiller avant de le recouvrir de la couverture sur laquelle il dort. Je sors discrètement de ma chambre et me dirige vers le salon. Un papier et un stylo sont abandonnés sur la table. Je saisis le papier et le parcours rapidement avant de jeter un coup d'œil à l'horloge. 10h. Je n'ai pas dormi autant depuis longtemps. Un petit déjeuner. Je vais faire un petit déjeuner. Ça me tente bien ce matin. Je me dirige vers ma cuisine et prends de quoi cuisiner un bon petit déjeuner pour Thomas et moi. Je sors des oeufs et du beurre de mon frigo et prépare quelques morceaux de pain que je mets dans mon grille pain pour qu'ils prennent une douce teinte coloré. Je prends une poêle, mets du beurre à fondre dedans avant d'y ajouter mes oeufs. Je les mets sur feu doux pour préparer le plateau qui transportera le futur déjeuner. J'y dispose une assiette pour les toasts, une assiette pour les oeufs, le beurre et deux bols. Je jette un coup d'œil à mes oeufs, ils sont presque prêt. Je prépare la cafetière pour qu'on puisse avoir du café. Mes oeufs sont prêts, je les dispose sur l'assiette prévue. Mes toasts sont également cuit. Je les mets dans l'autre assiette et emmène le plateau dans le salon. Je le pose délicatement sur la table et regarde l'heure. 10h20. Bon il est temps d'aller réveiller la marmotte. Je me dirige vers ma chambre. J'ouvre doucement la porte. Je m'approche du lit. "Allez Thomas, debout." Il gesticule et se retrouve dos à moi. Je le secoue légèrement. "Allez la belle au bois dormant, lève toi. Il est 10h passé." "Hum .. mais laisse moi dormir maman .. y a pas cours aujourd'hui." Maman ? Vraiment ? J'éclate de rire, le réveillant avec un sursaut. "Qu'est ce qu'il y a ? Me demanda-t-il d'une voix pâteuse. Pourquoi tu rigoles ?" "Maman, répondis-je entre deux éclats de rire. Tu m'as appelé maman." J'éclate de nouveau de rire tandis qu'il rougit. "Ouais ouais c'est ça rigole, bougonna-t-il." Je calme un peu mon hilarité du moment. "Si monsieur veut bien se donner la peine. Le petit déjeuner nous attend dans le salon." Il se lève d'un bond. "Tu as fait le petit déjeuner ?" "Oui. Je sais cuisiner tu sais, souriais-je." On se dirige vers le salon où le plateau nous attend patiemment. "J'espère que des oeufs, des toasts avec du beurre et du café ou du chocolat te conviennent parce que j'ai que ça dans mes placards, dis-je avec un peu gêné." "T'en fais pas ça ira très bien, me sourit-il." On s'installe autour de la table. On prend chacun un bol et nos doigts s'effleurent brièvement. Je cherche sur le plateau. Le café ? Où est le café ? J'ai oublié le café dans la cuisine quel imbécile. "Je vais chercher le café tu en veux ? Demandais-je." "Oui s'il te plaît, me répondit-il avec un sourire." Je me rends dans la cuisine, m'approche de la cafetière et réalise que je ne l'ai pas mise en route. "Décidément c'est pas mon jour, soupirais-je." "Qu'est ce qu'il se passe ? Me demanda Thomas qui venait de me rejoindre." "Il se passe que je suis un abruti qui a oublié de mettre en route sa cafetière." J'appuie sur le bouton d'un geste rageur. "C'est ça d'être vieux, me taquina Thomas. Même si pour toi je vais faire une exception je ne vais t'appeler le vieux tu as de la chance." "Trop d'honneur m'est fait, rigolais-je." "T'as vu ça un peu. Je suis trop gentil avec toi." J'éclate de rire, rapidement suivit de Thomas.

Un mal pour un bienOù les histoires vivent. Découvrez maintenant