18|C H A P I T R E

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18-«Tu pourrais me dire ce que tu veut sous tes fous rires et tes grand air c'est pas la peine. Tu peut mentir à qui tu veut. Tu souris trop pour être heureux.»

ANIS

-« Bon je tu me ramène chez moi?»

Aïda -«Ouais j'ai pas le choix.»

Banlieue|19h00

Elle se gare et je l'interroge du regard, j'aimerais qu'elle m'explique pourquoi on est là. C'est pas chez moi c'est une banlieue. C'est un taudis, c'est vers ici que certaines femme se prostituent.

-« Tu m'explique pourquoi on est là?»

Aïda -« Je vis avec ma cousine, je vais chercher quelques affaires. Vu que je vais dormis chez Asma

-«Ici c'est la banlieue des prostitués et puis pourquoi tu vis pas chez tes parents!»

Elle regarde autour d'elle sans me répondre en dirait qu'elle était anxieuse. Elle voulais pas en parlé et comme vous me connaissez bah j'ai insisté. Bah oui c'est une question simple.

-«Wesh répond. T'es chelou.»

Aïda -« Tu force sa change quoi à ta vie.» souffla t-elle

-«Rien, mais sa change quoi à la tienne si tu me le dit?Dépêche j'ai faim.»

Aïda -« Je vis plus chez mes parents parce que il y a une dispute et c'est la seule cousine qui veux bien m'accueillir. Et on n'habite dans ce quartiers parce qu' elle fait un métier spéciale.»

-« Quoi c'est une p*te?»

Wesh sa mec dit le en douceur miskine elle doit se sentir mal!

Elle me fusille du regard.

Aïda -« C'est pas une P*TE! Elle le fait pas par plaisir, c'est sa vie. Moi je la juge pas.»

-«Ok zen man.»

Aïda -« Tu me paye un grec?»

-«Hein?»

Aïda -« Bah ta dit t'as faim,moi aussi j'ai faim donc paye moi un grec!»

-«Mais mdrr t'es trop drôle toi ta crus j'étais millionnaire guelek* un grec miskine, mais meuf j'ai que 5 centimes dans ma poche tu me parle de grec.»
-
Aïda -« T'es sérieux?»

-«Bah ouais tu crois quoi?Va chercher tes affaires.»

J'étais entrain de parler quand tout à coup j'ai senti une douleur au ventre.

Aïda -« Il y a quoi t'es constipé?»

-«Putains j'ai mal, en dirait j'ai mes règles!»

Aïda -« Je veut bien croire que t'as mal par contre commence même pas à comparé ta douleur à celle des règles!»

 " Qui s'absente se fait remplacer " Où les histoires vivent. Découvrez maintenant