Pourquoi J'y Ai Cru ? (Concours D'écriture)

Vérité

Média : Lio Chapman.
_______________________________________

Comme tout les matins, je me lève et prend mon petit dej' en me posant les même questions...

Pourquoi ils ne sont plus là ?

M'ont t-ils abandonné ?

Qui suis-je ?

Une orpheline ? Une fille sans avenir ?

Mes parents ne sont plus. Je n'ai jamais sû comment ils sont morts. Apparement c'est dans un accident de voiture que la mort les a fauchés mais je ne le crois pas. Mon père étais le seul qui conduisais et si je cherche dans mes pauvres souvenirs, je me souviens qu'il fesais extrèmement attention à la route et qu'il ne buvait pas.

Enfin bref je fini mon dej' et je part pour le lycée. Là bàs je ne suis ni aimée ni détestée. Je crois même que des gens on peur de moi. À cause de quoi ? De mon look ou encore de mes cheveux, peut être que c'est parce que je parle très peu et que je reste souvent dans mon coin avec un livre ou mon cahier de dessin.

Est-ce que j'aime la solitude ?

Oui.

Mais est-ce que je voudrai de la companie ?

Oui.

Être seule c'est bien mais tu ne rigole pas beaucoup.

Mais bon, on s'y habitut.  Ah. Voila mon lycée... youpii !

Comme à mon habitude je rentre à l'interrieur et parfois on me dévisage ou encore on chuchote quand je passe à côté. J'ai l'impréssion que ça empire de jours en jours, comme si il y avais un compte à rebourd avant de me faire détester de tout le lycée.

J'arrive donc à mon casier, je l'ouvre et prend mes livres, j'allais récupérer ma trousse quand on claqua mon casier.

- Salut ma jolie.

Oh. Encore un dragueur de première division.

Je ne fais pas attention à lui et je réouvre mon casier avant de prendre ma trousse, de partir en n'oubliant pas de fermer celui-ci tout en ignorant dragueur 2.0.

Je commence donc à partir vers ma salle de classe quand j'entend :

- Sale orpheline !!

Oula. Mais il veut sa mort le dragueur 2.0.

Je me retourne d'un coup, commence à l'attraper par le col de son pollo et je le rous de coup. Une fois le travail terminé je lui dis à l'oreille :

- La prochaine fois que tu dis ça tu ne pourra plus faire d'enfant pendant au moins 20 ans.

Il hoche la tête, je le lache et il part en courant. Quelle tapette !

Je ricane. C'est surement la dernière fois que ce gars viendra me parler.

Enfin dans ma salle de classe je salut mon professeur et pars m'installer à ma place habituelle c'est à dire... au fond.