Livaï x Reader | Son monde détaché du réel - [ TERMINÉE ]

Chapitre 12 : La découverte de ce nouveau monde

Voilà deux semaines que Livaï a fait sa soudaine apparition ici.
Personne ne sait pourquoi ni comment il s'est retrouvé ici , moi même je ne comprends pas.
Si cela ce trouve , il lui arrive la même chose qu'il m'est arrivé il y'a quelques temps.
Peut être est il dans le coma là bas ?
Allez savoir , je ne sais pas , lui non plus , personne ne sait et tout reste dans le flou.
D'après ce qu'il m'a dit , le soir avant d'aller s'endormir il était monté sur le toit et avait discuté et pleuré avec Hanji par rapport à mon "décès" durant l'expédition.

Je manquais à tout le monde là bas selon lui , surtout à Hanji.
Eux aussi ils me manquent.
En attendant les médecins ont appeler des connaissances afin d'essayer de nous éclairer sur les faits.

Aujourd'hui , je dois aller le chercher à l'hôpital car il à enfin une autorisation de sortie suite à l'amélioration de son état.
Bien sûr , il à été placé sous ma responsabilité. Je trouve ça un peu étrange de devoir le surveiller comme cela alors qu'il est largement plus âgé que moi.

Alors me voilà en train de me préparer et de ranger vite fait mon studio afin de le recevoir dans un lieu , à peu près propre.
Je vais vous passer le récit de moi en train de faire la poussière je suis sûre que cela vous désintéresse au plus haut point.

Après avoir fermer la porte à clé je me rendis à l'hôpital où Livaï m'attendais à l'accueil accompagné d'une infirmière.

Infirmière qui le regardais avec un peu trop d'envie à mon goût.
Je sais qu'il est beau mais enfin ! C'est propriété privée ma jolie et je l'ai vue dans des états que tu ne connaîtra jamais.
Bon , bref je divague et me joue des films , hors ce n'est ni l'endroit , ni le moment.

Je m'approche tout en souriant et lui me sort indifférent.

-"T'en as mis du temps. "
-"C'est pas de ma faute si il faut que je nettoie mon studio parceque il y'a un maniaque qui viens chez moi."
-"Tch. Il à intérêt à bien être fait le ménage comme je vais pas pouvoir bouger d'un moment."
-"Comment ça ?"
-"La blondasse et le binoclard on dit que je peux pas bouger mon cul de cette chaise qui roule."

L'infirmière derrière lui semblait légèrement offensé pendant que moi je rigolais discrètement , ça lui ressemble bien de dire ça.

-"Excusez le je vous pris , vous pouvez partir , je me charge de la suite."
-"D'accord , vous devez juste passer au guichet histoire de remplir quelques papiers."
-"Merci beaucoup Madame , au revoir."
Elle partie sans plus de discutions.
Après avoir signer la paperasse , je sortais du bâtiment avec mon blessé.
Après avoir fait quelques pas il me dit en pointant une clio rouge.
-"C'est ça une "voiture" ?"
-"Oui Livaï."
-"C'est c'te merde qui m'a renverser ... Tch."
Je me mis à rire en fermant le yeux , puis ensuite mon regard ce fixa sur ses vêtements. Un simple haut et pantalon blanc de l'hôpital.
-"Où sont passé les vêtements que tu portais quand tu es arrivé ?"
-"Ils m'ont dit qu'ils étaient en lambeaux et qu'il ont du les jetés."
-"Il ne te reste rien ?"
-"Juste mon foulard que je garde dans ma poche. "
-"Je sais ce qu'on va faire."
-"Quoi donc ?"
-"Si tu te sens assez bien , on va passer acheter deux trois vêtements. Histoire que tu te balade pas en caleçon toute la journée. "
-"C'est pas comme si ça te dérangerait."
-"Très drôle Shorty."
-"Appelle moi encore une fois comme ça et tu va souffrir."
-"Faudrai que tu arrive à bouger déjà. "
-"Crois moi , j'ai connu pire et je pense pas être en sucre."
-"Mais oui Livaï , je sais que tu n'est pas en sucre. Sinon t'aurai déjà fondu." Lui dis je en glissant un clin d'oeil.
Il se contenta de souffler du nez suite à mon sous entendu.
Ça fait du bien d'être avec lui.
Une fois arrivé dans la boutique , je pris 4 t-shirts basiques et trois jeans quasiment identiques, des sous vêtements et une paire de rangers au style un peu militaire.
Simple , rapide et efficace.
Je lui  prêterait deux trois trucs au besoin car j'ai un style assez unisexe.
De plus que lui n'a pas l'air très à l'aise dans ces endroits , alors on se dépêcha de rentrer.
Pendant le trajet je lui montrai un peu les environs , lui parlais de ce monde lui indiquait les différentes choses à la portée de notre vue.
Il avait l'air fasciné.
Une fois entrer dans l'immeuble on prit l'ascenseur qui montait jusqu'au dernier étage où je vivais.