Livaï x Reader | Son monde détaché du réel - [ TERMINÉE ]

Chapitre 19 [Bonus] - Quand la femme domine sous l'emprise du désir

Les semaines défilaient tandis que Livaï s'habituait de plus en plus à ce nouveau mode de vie. Chaque jour , il en apprenait un peu plus sur le fonctionnement de ce monde. La technologie , la politique , la géographie.... Tout un tas de choses dont il ignorait le fonctionnement ou bien même l'existence commençaient à devenir bien clair dans sa tête.
C'était devenu un élève "normal" , très apprécié par les professeurs et neutre au près des élèves , les côtoyer n'était pas dans son intérêt. Il préférait rester au près de (t/p) avec qui il ce sentait bien.  Et puis il y avait rarement des tensions entre eux ce qui rendait leur vie bien plus agréable.
Mais la jeune femme elle , n'en pouvait plus d'une chose.
Juste une , si importante , si essentielle à son bien être , une chose dont elle ne pourrait jamais ce passer et qui pourtant n'était pas arrivée depuis qu'il était arrivé dans son monde.

Voilà environ trois mois que Livaï ne l'avait plus touchée.
Elle admettait que pendant les premiers temps où il était là , c'était compliqué avec sa mobilité réduite et son état de santé. Mais depuis la rentrée , il n'avait pas eu le temps de ce retrouver l'un et l'autre , leurs corps serrés ensemble sous une respiration saccadé mais qui n'est pas moins excitante.
C'était bien compliquée pour elle , de vivre sous le même toit et de ne jamais pouvoir rien faire à cause de la fatigue de la journée.
Car il faut ce l'avouer , c'est comme mettre du chocolat devant un enfant et lui dire de ne pas y toucher , c'est insupportable et on à qu'une seule envie , c'est de l'attraper et de le manger tout en le savourant.

Bon ! Attention je ne dis pas que notre amie veut manger Livaï , si non ce serait du cannibalisme et cette histoire perdrait de son intérêt si il venait à mourir !
Mais c'était fou à quel point elle avait envie de lui , sans qu'elle ne puisse jamais rien lui faire.
Sans doute par manque d'expérience ou par peur de faire quelque chose qui ne lui plaira pas , elle n'a jamais osée engager l'acte. Elle attendait qu'il vienne à elle , comme il la si bien fait les fois précédentes au bataillon.

Mais pourtant après un mois de cour , toujours rien.
Mais aujourd'hui , elle en a décider autrement , cette situation plus qu'insuportable allait prendre fin ce soir.
Nous sommes alors vendredi , jour tant attendu par les écoliers car , qui dit vendredi , dit week-end , dit pas de cour le lendemain. En d'autres termes , l'occasion parfaite pour passer du bon temps une fois rentrés à la maison sans ce soucier de ce qui ce passera après minuit.

La journée passa tout de même lentement pour (t/p) , elle était bien trop excitée et anxieuse sur son plan qu'elle regardait sa montre quatre fois dans la même minute.
Notre couple ce trouve alors en art plastique , mais comme la prof d'art est absente et qu'ils ne pouvaient pas sortir on leur avait dit qu'ils pouvaient dessiner ce qu'ils voulaient.
Alors , ils prirent tous feutres et crayons et traçaient ce qu'il leur faisait envie.
La jeune femme opta pour un soldat portant les ailes de la liberté tandis que Livaï lui , commença le portrait d'un ange à genoux sur un sol ensanglanté.

-"C'est beau..." Fit (T/p) qui passa derrière son dos avec des pots de peinture.
-"Merci.." Dit il sans ce retourner.
Elle posa son attirail sur la place à côté et poursuivi son dessin.
-"Où a tu appris à dessiner comme ça ? Tu es doué."
-"Je dessinais quand j'étais petit si le temps me le permettais , et puis en grandissant j'ai toujours un peu continuer à mes heures perdues , mais honnêtement , je n'ai jamais eu vraiment le temps de faire un gros projet , ça s'arrêtait souvent à quelques croquis au fond d'un carnet."
-"En venant ici c'était la première fois que tu dessinais un gros truc ?"
-"Oui c'est ça."
-"Tu ne cessera donc jamais de m'épater toi..." Fit elle dans un souffle.

Il souffla juste du nez en guise de réponse.

C'est alors que la journée arriva à son terme. Nos deux amoureux rentrèrent alors à la maison , Livaï sans ce douter de ce qui allait l'attendre en franchissant le seuil de la porte.