Livaï x Reader | Son monde détaché du réel - [ TERMINÉE ]

Chapitre 17 : Un combat scolaire intensif.

Alors nous y sommes. Voilà donc à quoi ressemble un lycée lors d'une rentrée des classes ?
C'est...
           Bondé de monde putain...
De la foule dans les bâtiments , de la foule à l'extérieur , partout où je pose le regard , il y a toujours et encore un amas de gens surexcité.
Certains ce sautent même dessus tandis que certains faisaient la gueule dans leur coin , sans doute mécontent d'être revenu ici.
Moi , je suis en train d'étouffer silencieusement au milieu de ce hall , et la cravate que j'ai autour du cou n'arrange rien à mon mal être.
J'avais bien essayer de mettre mon foulard , mais elle m'a dit que c'était interdit et que je devais mettre "l'uniforme." Honnêtement , j'ai l'impression d'être habillé comme pour aller à une ces soirées royale organisés afin de récolter des fonds.
Mais bref , le bataillon n'existe pas ici et je dois tout faire pour passer pour un élève normal.
Ma journée s'annonce merdique d'entrée... Mais sans doute ai je été dans des situations plus terrible que ça...

La plupart des gens avaient le regard rivés sur de grandes affiches imprimées , accrochées sur le mur dans le grand hall du lycée.
L'imprimerie est une chose qui existait déjà dans l'enceinte des murs , mais ce n'était pas aussi répandu et utilisée qu'ici. Hormis les journaux et certains grands bouquins , tout était écrit à la main , manuscrit , documents officiels , j'avais rarement eu une impression entre les mains.
Ici , à ce qu'elle m'a dit , tout passait par ces machines volumineuse , un document pour les cours , un questionnaire , un papier administratif , tout passait par ces objets liés à un "ordinateur".
Ça aussi c'est incroyable comme invention.
Hanji perdrai la tête si elle voyait tout ça.
D'ailleurs depuis que je suis arrivé ici je n'ai eu que de l'imprimerie entre les mains.
Après m'être longuement perdu dans mes différentes pensées , (t/p) sortie d'entre la foule et vint me rejoindre.

-"Livaï ! Tu es avec moi !"
-"Tant mieux dans ce cas." Dis je en lui frottant les cheveux.

Elle , elle était simplement ravissante dans cet uniforme. Le tissu longeait ses différentes courbes et épousait à merveille sa petite silhouette.
Il était semblable à celui que j'avais vu quand j'avais "halluciner" au cours de l'expédition extra-muros.
Seul une chose me dérangerait.
La longueur de sa jupe... C'est vraiment très court.
À croire que ceux qui ont imaginé cette tenue sont des hommes incroyablement pervers...
Bien que ce ne soit pas mon principal centre d'intérêt , voir même absolument pas , j'ai pu constater que la mode n'était pas du tout la même que chez moi. Même si pour ma part toute cette extravagance et cette non-pudeur me choquait  , elle me disait qu'en règle générale les gens étaient habitués à tout cela.
Moi je trouve ça limite malsain parfois.

Une sonnerie stridente retentie au milieu de la pièce , rassemblant les élèves de première vers l'extérieur.
Tandis que j'avançais au milieu des autres accompagné par (t/p) , un frisson parcouru le long de mon échine.
Je ne suis absolument pas habitué à ça...
(T/p) posa une main qui ce devait être encourageante tout en me faisant un beau sourire dont elle seule avait le secret.
La foule était maintenant silencieuse pour la majorité , et un vieil homme monta sur l'estrade installée dans la cour.
Après un long discours de bienvenue , il prit une liste et invita quelques personnes à monter avec lui sur scène.
Six au total.
D'après ces dires , chacun d'entre eux sont référant d'une classe.
Une classe coupe l'amas d'élève en six groupes , les A , les B , les C , les D , les F et les G , et ont le chiffre de leur niveau devant cette lettre.
Le directeur désigna l'un d'entre eux à chaque fois qu'il commençait à citer le nom de chaque personnes ce trouvant dans un de ces groupes.
Quand ce fus le tour de la classe D , mon nom fut appelé en premier.
Pas étonnant vu qu'ils rangent par ordre alphabétique et que mon nom commence par un A et un  C.
S'en suivi rapidement par (t/p) appelée bien après moi. J'étais quelques peu soulagé quand j'entendis son nom.