Dans un monde ou la pauvreté domine la plus part des habitants de Sidates sa famille à Elle est comme les autres : pauvres, malheureux, ces parents font tout pour leurs enfants.
Mais comment vont-ils réagir fasse à la nouvelle qui va faire la une de...
Ne voulant pas me sentir ridicule à chercher Ethan, alors que je ne suis même pas sure qu'il éprouve des sentiments pour moi, je décidais de partir dans le jardin, loin, très loin, du palais et tous ses habitants.
Je marchais sans trop savoir où aller, mais je profitais du merveilleux paysage qui s'offrait à moi. Les oiseaux chantaient, le vent soufflait doucement dans les feuilles, les lapins couraient dans tous les sens et moi je me retrouvais au milieu de tous ça profitant de ma belle vie au palais, alors que, mes parents étaient sans doute en train de travailler pour essayer d'avoir quelque chose manger ce soir.
Je me sentais coupable. Nul. Moche. Bête. J'ai encore pleins d'adjectifs en tête pour me décrire mes je pense qu'il y en a assez comme ça. Sans m'en rendre compte j'étais déjà assez loin du palais et je continuais à m'enfoncer dans la grande forêt. Je n'entendais plus les oiseaux, ne voyais plus les lapins et le vent avait augmenter et soufflait beaucoup plus fort dans les arbres.
Lorsque ma chaussure s'enfonça dans la boue je repensais à la fois ou j'avais cru avoir touché une grenouille. Je réussie doucement à sortir mon pied avec ma chaussure de la boue et continuais mon chemin. Après une bonne dizaine de minutes de marche le paysage qui s'offrait à moi me coupa le souffle. Un magnifique étang entouré d'arbres de toutes les couleurs se présentait devant mes yeux. Un banc blanc était placé un peu plus loin, et je décidais d'aller m'y asseoir.
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Ellipse
Une semaine et demie c'est écoulé. Ethan et moi nous ne nous parlons plus. Le soir de ma petite balade il était venu me rejoindre dans ma chambre pour m'annoncer cash, que ce qu'il c'était passé le matin était un accident et qu'il n'éprouvera au grand jamais des sentiments pour moi.
Ses paroles m'avais énormément déçu. Je ne voulais pas, mais elles m'avaient touché en plein cœur. Et ça fais mal. Aux entrainement il reste à cote de moi car il en est obligé mais la plupart du temps je me retrouve toute seule à essayer tant bien que mal à développer mes fichus pouvoirs.
Je passe mes soirées seule, souvent à déprimer, ou à entendre les filles qui se sont toutes réunis dans la chambre d'à cote à rigoler. Mes femmes de chambres sont toujours aussi gentilles mais ont trop peur de se faire prendre en train de parler alors elle se taisent et font leur travail.
Aujourd'hui je me réveille avec des yeux bouffis et des cernes violette. J'enfile ma tenu d'entrainement et file directement a la salle. C'est devenu une habitude d'aller à cette salle, j'y suis pratiquement toute la journée. Nous devons faire un certain nombre d'heure, donc tant qu'on les faits nous n'avons pas de soucis, c'est pour ça qu'en générale les autres préfèrent aller manger et prendre leur temps.
Moi je n'est pas faim en ce moment et je sais que ce n'est pas bien d'aller faire du sport sans avoir pris des forces avant mais je n'y peux rien. Ma vie à pris un tout autre sens il y a quelques jours. Mr. Pigguins est devenu gentil avec moi, enfin je crois. C'est peut être de la pitié qu'il éprouve comme toutes les personnes de ce palais.
Une fois j'ai entendu des femmes de chambres dire que je n'avais pas la joie de vivre comme les autres filles mais plutôt une mine de déprimé. Elles ont même reçu l'ordre de faire attention avec moi car ils ont peur que je tente de me suicider. C'est ridicule. J'aimerais leur montrer que je suis plus forte que ça mais je n'y arrive pas. Certaines fille arrivent à développer un peu leur pouvoirs et elles ont la tête grosse comme ça.
En arrivant à la salle j'étais la première comme d'habitude et pris des gants. La dernière fois une filles a réussi a faire "sortir" son pouvoirs et à brûler la moitié de la pièces, les gants sont une sorte de précaution.
Sans faire attention aux autres arrivés je continuais mon échauffement ainsi que mon entrainement. Seule. Je me mit devant un sac rempli de sables et frappais de toute mes forces comme me l'avais apprit Ethan. Les garçons m'avaient conseillé de soulever quelques poids afin de muscler mes bras. Je m'approchais des altères et prit les deux plus petites.
?? : C'est pas avec ça que tu va transpirer ! Rigola un garçon derrière moi.
Je me retournais pour voir de qui il s'agissait et je vu un garçon assez mignon se moquer de moi.
Moi : Euh bah...Je trouve ça déjà pas mal...
?? : Oui peut être pour toi, mais si tu veux bien te préparer à ce qu'il pourrait arriver alors il faut les prendre plus gros. Me conseilla-t-il.
Moi : Ce n'est même pas sur que ça arrive.
Le sujet sur lequel nous parlons n'est pas très drôle. Ils nous ont expliqué qu'il ce pouvait que l'on se fasse attaquer comme la dernière fois ou Andrew m'a fais voler. J'y avais vu une femme étrangler un homme mais celui-ci était dans les airs.
?? : On ne c'est jamais. Bon c'est quoi ton prénom déjà ?
Moi : Madison. Et toi ?
?? : Moi c'est Tiano.
Moi : Enchantée.
Tiano : De même.
Il me tendit sa main que je serrais amicalement. Ça redonnait un peu de couleur à ma journée, ça me faisais du bien de reparler à quelqu'un. Surtout que Tiano a l'air d'être un gentil garçon.
Tiano : Tu veux que je t'aide ?
Moi : Euh, pour faire quoi ?
Tiano : Et ben pour tes poids !
Moi : Oui je veux bien.
Tiano se mit en face de moi et me montrait les gestes qu'il fallait faire pour bien exécuter les exercices. Nous parlons de tous et de rien et je dois dire qu'il était de très bonne compagnie. Il me faisait rire, et me faisait penser à autre chose que mon état actuel.
Tiano : Si tu veux ce soir tu peux nous rejoindre...
Moi : Vous ?
Tiano : Oui il y aura Loen un ami à moi et sa coéquipière et la mienne...Et toi, si tu viens !
Moi : Je veux bien, mais je ne veux pas être de trop...
Tiano : Ça fais quelques jours que je t'observe et je vois que tu es tout le tant toute seule. Tu n'avais pas l'air bien ces derniers temps, tu ne souris plus...Pourtant tu es mignonne quand tu souris.
Ce qu'il me dit me fit aussitôt rougir.
Tiano : Ah non non non !! Ne rougie pas ! On dirais que t'a fais un marathon de 20 kilomètres ! C'est moche quand une fille arrive à la fin du marathon, elle à chaud elle transpire du coup elle pu et en plus de ça elle est rouge ! Donc conclusion ne rougie pas s'il te plait.
La je n'avais pu me retenir d'exploser de rire. J'aimais son franc parlé et puis ce qu'il m'avais dit était assez drôle. J'avais fais retourner quelques têtes mais à ce moment la je m'en fichais. Il me donnait comme une deuxième chance.
Tout à coup un mal de crane surprenant me montait à la tête. Je m'était mise sur mes genoux et me tenais la tête voulant que ça s'arrête. Je sentais les gens s'approchaient de moi mais refusais qu'ils me touchent. Je criais de toute mes forces, et avais l'impression que je m'arrachais les cheveux. Je sentais quelques chose au plus profond de moi même se rapprocher petit à petit, et je criais aux autres de se pousser sentant cette chose se rapprocher. Mais ils restaient tous la comme des idiots à croire que j'avais péter un câble.
Puis tout d'un coup il n'y avait plus que moi qui criait mais tout le monde autour de moi. Sans comprendre ma tête heurta le sol, puis...
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