chapitre 3

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Mes jambes ne supportent plus mon poids et je m'écrase lourdement sur le sol, mon souffle se fais irrégulier, je me pince pour savoir si cela est bien réel, car pour l'instant je suis dans l'incompréhension.

-Ma chérie est-ce que tous va bien ?

-...Euh...oui...Dis-je d'une voix faible.

Je me relève pour refaire face à mon reflet qui me renvoie un corps de grande taille, une poitrine "normale" ni trop grosse ni trop petite, un ventre presque inexistant, et de grande jambe. Mais ce qui me pose problème c'est que j'ai beau chercher ma blessure je ne la trouve pas.

Je n'ai plus de blessure.

Je passe ma main sur mon bas ventre ou était censée être la cicatrice, mais je ne touche que mon ventre lisse. Pas de blessure.

Les choses se mettent doucement en place dans ma tête. La femme ne voulait pas que maman ne voit ma cicatrice tout simplement parce que je n'en n'est plus.

Je rentre dans ma douche et prend le peu d'eau chaude qui m'étais destinée.

Une fois la douche prise je m'habille le plus chaudement possible parce que les soirées ce font fraiche maintenant.

Je décide d'aller demander des explications à cette vieille femme.

J'invente une exuse à ma mère et part en marchant le plus vite possible à la limite de courir. Une fois arrivé sur la place je me dirige vers la cour ou se trouve sa maison. Arrivée près de la fameuse maison je peux entendre des cris, de douleur ou de peur, un peu des deux. Je vois de la lumière verte sortir des fenêtres et les cris se font entendre de plus en plus fort.

Ce que je ne comprend pas c'est que les gens partent tous en courant de chez eux. Moi je pars en courant mais vers la maison de la vielle dame. Devant je confirme mon soupçon : les cris viennent bien de la maison. Je décide de rentrer à l'intérieur, en faisant le moins de bruit possible ; je monte les escaliers et essaye de contrôler ma respiration. Les cris s'intensifient ce qui me donne la chair de poule. La lumière verte réapparaît sous la porte et je m'aventure à l'intérieur. Et la je vois une cape, une grande cape, de dos devant moi qui lance cette lumière verte ; et la vieille femme qui, on dirais ce fais vider de toute son énergie. Je peut apercevoir sa douleur dans ses yeux, sa peine ainsi que sa profonde tristesse.Lorsqu'elle m'aperçut ses yeux se sont fais plus doux et essayer de me dire quelque chose.
Chose que je n'ai pas comprise.

Lorsque l'auteur de sa souffrance c'est aperçu de ma présence, il rigola puis me lança une gifle tellement grosse que j'en perdu l'équilibre, puis, un éclair violent me traversa ma tête.
Un hurlement de douleur.
Un seul.
Puis une drôle de sensation se forma à l'intérieur de mon corps ; comme une sorte d'énergie surpuissante. Mon coeur vombrissai, l'impression qu'il allait exploser devenait réelle.

Je ne voyai plus, je fermer les yeux très fort tellement cette sensation m'opresser. J'ai bien cru que mon coeur allai exploser, et c'est pour cette raison que je me suit libérée de cette énergie, en un rugissement que je ne pensais pas croyable.

Puis silence totale. J'ouvris doucement les yeux et vit un homme par terre. L'homme à la cape. Je dirigée ensuite mon regard vers la vieille femme et la vit en vie avec un sourire de...fiertée?
Elle me fit signe de partir, ce qui je fit après lui avoir dit un merci silencieux. Je descendit en courrant les escaliers, et parti vite de la cour. Pourtant cette impression que quelqu'un m'appellai en me courrant après, me fit ralentir dans ma course. Je me retourne et vit un garçon qui devais avoir 12 ans bien habiller, un papier dans la main, et qui j'esticulais dans tout les sens.

Garçon: Attend... je...ouf...je, j'ai... un truc...pour.. toi, mais dépêche toi...dit-il essoufflé.

Puis il reparti en courant tellement vite que j'ai à peine eu le temps de cligner des yeux, qu'il n'étais déjà plus la.

En voulant repartir je vu deux petite filles bien habillée se parler discrètement, et me fit un sourire radieux. Qui leur attira les foudres c leurs parents. Eh oui on ne dit pas bonjoir aux gens qui ne sont pas de la même classe que nous. C'est comme sa.

Une fois rentrée à la maison je dit à ma famille que je ne mangerai pas et que je partai me coucher. Dans ma chambre, après m'être assise sur mon lit, je décidai de sortir le papier de la poche.

N'ai pas peur de la force. Protège toi. Tu es importante et sa, Ils le savent. Alors montre toi digne de confiance aux personnes que tu aime et soit droite pour les autres. N'oublie pas : Ils te veulent, et sa il faut que tu sache

Le papier et déchirer pile à cette endroit. Mais pourquoi ça ? Pourquoi à moi ? Qui est ce "Ils" ? Prise de fatigue je me mit sous mes couettes et m'endormis.

Le lendemain je me dit reveiller part des cris. Encore. Mais la c'est maman qui crit, et j'entend aussi papa, ainsi que Holly. Je m'habillai de ma vieille vieste et descendit. Ce que je vit me mit le doute...

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Tadamme !!!

J'ai terminée ce chapitre, qui est plus court que les autres.

Qu'en pensez vous ?

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Suite bientôt!

Bizous !!! ❤❤❤

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