Magi x Reader

Kouha x Reader

Les Règles ne s'appliquent pas à Moi :

Je faisais mes tâches habituelles. Je me réveille, je m'habille, et je vais travailler et je répéter cela tous les jours. J'étais domestique au Palais de Kou. Mes tâches quotidiennes consistaient à nettoyer les planchers, aider les cuisiniers, servir le petit déjeuner, le déjeuner et le dîner au membre de la famille impériale et à transmettre des messages. Une fois que j'avais fini cela je devais retourner dans mes appartements, ou alors je vais au marché pour faire quelques courses ou les ranger. Il m'arrive également d'accéder à certaines requêtes particulière venant des différents princes et princesses de la famille Ren.

« (Y/N) ! », J'ai entendu. Je me retournai et vis le prince Kouha. « Kouha-sama, avez-vous besoin de quelque chose ? » Lui ai-je demandé poliment tout en m'inclinant. « Non, non j'ai juste besoin que tu viennes avec moi. Et dépêches toi, je n'ai pas toute la journée » Me répondit-il avec désinvolture, comme si c'était normal de crier mon nom dans les couloirs. J'ai hoché la tête avant de le suivre rapidement. Je ne connaissais qu'un tout petit peu le prince, j'avais seulement eu l'occasion de lui parler rapidement quand je nettoyais sa chambre. Une fois arrivés à notre destination, soit la cour intérieure, j'ai vu le désastre. « Judal et moi étions en plein entrainement quotidien et voilà le résultat... si vous pouviez nettoyer tout cela avec l'aide de Gea et des autres femmes de ménage j'en serait ravi ! Désolé de vous demander cela mais vous êtes la seule disponible. » Dit-il en soupirant et en s'éloignant.

J'hochai la tête lentement et je regardais les autres femmes de chambre se présenter. Gea était ce que vous appelleriez la chef des femmes de chambre. Elle n'était pas si vieille, elle était même jeune. Mais elle était ce qu'on pourrait qualifier d'exécrable. Son seul objectif était de nous pourrir la vie alors qu'elle ne faisait absolument pas le travail demander et qu'elle nous laissait toujours tout faire. Je ne pouvais évidemment rien dire si je voulais garder mon travail au Palais. Je commençai à balayer les morceaux de pavés pendant que les autres ramassait les plus gros morceaux et de réarranger les plantes. Gea m'a vu et s'est rapprochée de moi. « Super... un autre jour de malheur... » pensais-je. « (Y/N) ! Balayez cela plus vite ! Nous avons des invités qui arrivent dans une heure et cet endroit doit être nickel ! », elle a hurlée comme si elle n'était pas suffisamment proche pour l'entendre. Je m'étais tue jusque-là mais maintenant je ne pouvais plus la supporter... « Vous savez ... pourquoi ne pas le faire vous-même si vous voulez que ça aille plus vite, vous êtes peut-être la chef mais cela ne vous dispense pas de faire les corvées comme tout le monde... » Dis-je alors que je lui jetais le balai. « Tiens, prends le et balaye », Ai-je dis en croisant les bras. Aujourd'hui j'en avais marre.

Elle me regarda avec un air horrifié. Je suppose qu'elle était surprise que quelqu'un se rebelle et ose lui dire quelque chose. Je souris, victorieuse. « K-Kouha-sama, je vous avez dit qu'elle me harcelait ! » L'ai-je entendu crier alors que mes yeux s'élargissaient. Je devinais alors que ce n'était pas moi qu'elle regardait comme cela tout à l'heure. « (Y/N), je ne t'aurais jamais imaginée comme cela. » Ai-je entendu, alors que le Prince Kouha attrapait mon poignet. « Nous allons devoir faire quelque chose à ce sujet » Marmonna-t-il alors qu'il me tirait à sa suite. La dernière chose que je pus voir c'était Gea qui me regardait en me faisant un au revoir de la main. J'ai fini par arriver dans ... la chambre du Prince Kouha ? Il m'a fait entrer et à refermer la porte derrière moi. « Allez-y, asseyez-vous je vous dispense de vos travaux pour aujourd'hui. » A-t-il dit en souriant alors que je baissait la tête. « Mais vous avez dit que vous alliez me punir... ! » Lui ai-je. « C'est évident que c'est elle la coupable et non vous. J'irai la punir plus tard... Où en étions-nous ? Ah oui. Embrasse- moi » M'a-t-il demandé alors qu'il marchait vers moi. « Q-Quoi ?! Vous êtes fou ! Il est interdit d'entretenir ce genre de relation entre un membre de la famille Impériale et un serviteur » Je m'exclamais alors que je reculais en même temps.

Il secoua la tête et rit. « Qui a dit cela ? Bien au moins vous ne l'avez pas fais... La plupart des filles auraient sautée sur l'occasion. » Il a réfléchi avant de s'asseoir sur son lit. « Maintenant, à partir d'aujourd'hui, tu seras ma femme de chambre, tu me rapporteras du thé, j'ai dit que je t'excusais de tes devoirs journaliers, mais pas entièrement. » dit-il en s'étendant. « Comme vous le désirez » marmonnais-je en sortant. Pour le reste de la journée j'ai suivi les ordres du Prince Kouha, je remarquais que son comportement avait changé. Il a agi plus aimablement envers moi et je l'ai même surpris à me regarder parfois. J'haussai les épaules alors qu'il m'observait. Normalement, il se moquait de mes habitudes à garder tout parfaitement synchroniser. S'il y avait quelque chose qui était de travers, j'étais obligé de le remettre droit. Mais quand j'ai finalement fini mon travail et que j'allais me présenter, le prince Kouha a fait sortir Rei Rei, Jin Jin et Jun Jun avant de saisir ma main et de me conduire sur le balcon.

«(Y/N)... Savez-vous pourquoi je vous ai demandé de travailler pour moi aujourd'hui ? » A-t-il interrogé. Je secouai la tête en riant. « Vous êtes vraiment belle, comme je me souvenais. » Dit-il en me soulevant le menton. Je rougis en détournant le regard ? Quand nous étions enfant, on jouait souvent ensemble dans la cour intérieure du Palais. Mais quand j'ai finalement eu huit ans, j'ai dû commencer à travailler comme serviteur au Palais. Je suis ici depuis que j'ai quatre ans... J'ai perdu tout contact amical avec lui une fois que j'eu 8 ans. Dès lors, nous n'avons entretenu une simple relation de maître et de serviteur. « S'il te plaît, ne me regarde pas comme cela, ça fait mal quand la personne que tu aimes à honte d'être avec toi... », Murmura-t-il. "Kouha-sama, je suis un serviteur et vous êtes mon maître, même si je vous aime, il n'y a aucun moyen pour que Kouen-sama accepte cela... » C'est une règle simple que toute la noblesse doit suivre. Je me préparai à partir. Il m'a rapidement rattrapé et a tourné mon visage pour que je le regarde une fois de plus. « Alors les règles ne s'appliquent pas à moi. », Dit-il en regardant dans mes yeux (C/E) juste avant de m'embrasser. J'étais surprise, mais une pointe d'excitation m'envahissait alors qu'il m'embrassait. La pensée même de défier quelqu'un ou quelque chose de bien ... m'a excité. J'enveloppai mes bras autour de son cou pendant que ses bras s'accrochaient à ma taille. Il m'a alors soulevé et est retourné à l'intérieur, il m'a couché sur le lit avant de commencer à m'embrasser dans le cou.

Le lendemain, nous nous sommes réveillés à côté de l'un de l'autre dans son lit. Heureusement, nous étions tous les deux habillés, donc je me suis souvenu de la soirée d'hier et j'en ai conclu que rien ne s'était passés hier soir. Je suis sorti de ses bras pour me lever « Mmmh, reste... » marmonna-t-il alors que son emprise se resserrait autour de moi. Je soupirai et souriais avant de sortir de ses bras et de descendre. Quelques heures plus tard, nous étions tous les deux réveillés et je suis allée dans mes quartiers pour rassembler mes affaires. C'était un ordre de la part de Kouha, je devais apporter toutes mes affaires dans sa chambre et en plus de cela je devais maintenant l'appeler simplement Kouha sans tous les titres honorifiques. Pendant que je marchais certaines femmes de ménage me regardait avec un regard déconcerté alors qu'elles me fixaient. Je partage ma chambre avec une autre femme de ménage, Yelira, donc j'ai frappé avant d'entrer. Elle était en train de nettoyer notre chambre. Elle se tourna vers moi avec une boîte. « Oh bonjour (Y/N)... qu'est-ce que t'a sur le cou ?! » Haleta-t-elle alors qu'elle laissa tomber la boîte qu'elle avait dans les mains. Je levai un sourcil et allait vérifier mon cou dans le miroir. Il était décoré de bleus violets. Il n'y avait qu'une seule personne capable de faire cela sans me prévenir et de me laisser ainsi dans l'embarras. « KOUHAAAAAAAAAA !!!!! ».