Un Amour Fusionnel

Chapitre 8

Amy

Il m'a frappée dès que j'ai passer la porte d'entrée. Sans aucune raison. J'ai, cependant, sentis à son haleine qu'il avait bu. Je ne suis, donc, pas surprise à ce point. L'habitude, sûrement ! Cependant, aujourd'hui, je ne l'avais jamais vue dans un tel état. Il me fait peur.

Je suis enfermé dans ma chambre, mon père cogne contre la porte de celle-ci et j'ai peur qu'elle ne résiste pas et cède contre les coup que lui donne mon paternelle. J'ai toujours eu peur de mon père parce qu'il me frapper à chaque fois qu'il avait trop forcée sur la bouteille. Plus d'une fois ma mère m'a dit qu'elle voulait le quitter mais il ne l'a laisse pas partir. Une fois, quand il est sortit boire un verre avec des amis à lui, ma mère et moi on en a profiter pour plier bagages et nous enfuire aussi loin que possible de lui. On était à peine arrivé chez ma grand-mère qu'il nous attendait sur le pas de la porte, une bouteille de rhum à la main et un joint dans l'autre. Ce jour là on a compris que jamais on échappera à ces griffes car quoi que l'on fasse il nous traquera comme des bête.

Sa va, maintenant, faire vingt minutes que appelé Hayden. Et je ne sais pas si il va venir parce que j'était tellement préoccuper par mon père derrière ma porte de chambre entrain de m'insulter et d'essayer de l'ouvrir, que je ne faisait pas attention à ce qu'il me disait à l'autre bout du fil. Donc, je suis recroqueviller sur moi même, dans un coin, dans ma chambre en attendant désespérément l'arrivée d'Hayden. Mais je dois sûrement me faire à l'idée qu'il ne viendras pas. De toute façon quesqu'il l'oblige à venir à mon secours ? Rien, donc il faut que j'arrête d'espérer.

J'était entrain de perdre espoir quand j'entends le porte d'entrée s'ouvrir brusquement et une voix familière crier mon prénom dans toute la maison. Est-ce que c'est lui ? Est-il venu pour m'aider ? Je n'en sais rien. Je ne sais plus. Je pleur. J'ai mal au côte et à mon bras droit. La douleur des coûts qu'il m'a donner à imprégner mon corps et me clou au sol.

Des cris retentissent sur le palier.

- T'es qui toi ? Petit merdeux ! Fou le camp de chez moi petit salopard.
- Ou elle est Monsieur Pearce ?
- Je t'ai dis de sortir de chez moi ! hurle mon père.
- Je ne sortirai pas d'ici sans  Amy !
- Sam écoute ce jeune homme et laisse partir notre fille avec lui, ordonne ma mère.
- Jamais ! Je vais te faire regretter d'avoir pointer ta sale gueule de petit branleur dans ma baraque.

J'entend ma mère hurler le prénom de mon père et quelque chose ou quelqu'un tomber lourdement sur le parquet du palier. Des pas se rapproche doucement de ma chambre et des petit coûts retentissent.

- Amy ! Amy, c'est moi. Ouvre moi s'il te plait ? Tu n'a plus rien à craindre !
- Tenez jeune homme c'est la clé de sa chambre.
- Merci...

Il introduit la clé dans la serrure et la porte s'ouvre lentement. Ma chambre est plongé dans l'obscurité, seul la lumière du palier éclair légèrement celle-ci.

- Amy ! Amy c'est Hayden, ça va ?
- Humm...
- Amy, regarde moi s'te plait ?!
- Humm...
- Madame, je sais que sa ne me regarde pas mais je pense que vous devriez appelé la police. Vous ne pensez pas ?
- Si vous avez sûrement raison je vais les appelés mais s'il vous plait emmener là loin de cette maison pour l'instant ?!
- D'accord ! Je prendrais soin d'elle.
- Merci ! Emmener là avant que mon mari ne reprenne conscience.

Après les mots triste de ma mère un bras musclé encercle ma taille et un autre passe sous mes genoux. On me soulève avec précaution.

- Au revoir Madame !
- Au revoir...
J'entend ma mère sangloter et son visage souillée de larmes est là dernière chose que je vois avant que la porte d'entrée ne se referme derrière nous.