Amy
Il pleut ?! Non, ce sont mes larmes. Des larmes de fatigue et de rage. Je suis énervé, énervé contre mon père et contre l'alcool. Si, il ne buvait pas tout irai pour le mieux.
Il était ingénieur, mais qand l'entreprise, pour laquelle il bossait, à licencier tous ces employés, pour cause de fermeture, il c'est refermé sur lui-même avec pour seul compagnon l'alcool. Mon père aimait son travail plus que tout et il nous aimais, ma mère et moi. Enfin c'est se que je croyait. Car quand il c'est mis à picoler j'en ai douter. Il passait ces journées à boire devant des matchs de football à la télévision. Un an, après son licenciement, mes parents ont commencé à s'engueuler tous les soirs, non-stop. Et quand ma mère n'était pas a la maison il se defoulait sur moi. Quant elle sait rendu compte qu'il me battait, elle a voulu m'éloigner du monstre qu'il était devenu, sans succès. Elle c'était mis en tête que si on changeait de pays alors, peut-être, qu'il redeviendrait l'homme qu'il était mais sa n'a malheureusement rien résolu.
Je me retrouve donc, maintenant, dans les bras d'Hayden, gelée jusqu'au os. Je chasse mes larmes d'un battement de cil et aperçoit la mâchoire carré de celui-ci. Elle est contracté et je remarque qu'il sert les dents. Il est contrarié. Quand il remarque mon regard, il me lance d'une voix haineuse :
- Pourquoi ? Pourquoi je ne suis pas arrivé plus tôt ? J'aurai dû lui réglé son compte à ce salopard. Tu aurai dû en parler et...
- A qui ? Qui aurai eu le courage de l'affronter ? le coupais-je énervé. Ce n'est pas si simple Hayden et puis je suis nouvelle ici, je connais personne encore.
- Tu me connais, moi, et tu aurai pu, enfin, tu aurai dû m'en parler.
- Ah oui ! Et tu peut me dire pourquoi j'aurai DÛ t'en parler à toi et pas à quelqu'un d'autre ? Ce n'est pas parce que l'on à coucher ensemble, une fois'fois' que je dois te tenir au courant de tout ce qui se passe dans ma fichu vie. On ce sonnait seulement depuis la rentrée je te signal.A peine, les deux dernière phrases sortie de ma bouche que je l'ai regrettes déjà. Je suis vraiment bête, il est venu m'aider, alors que rien ne l'y obligeait, et moi je lui sort ça. En cette instant j'aimerai être une petite souris pour pouvoir me cacher, dans l'une de ces minuscule cachettes, tellement jai honte de ma réaction.
Cependant, malgré la peine ombre, je remarque ces joues rosirent. Il a l'air embarrassé. Je ne sais pourquoi mais la situation me vole un sourir. Des mèches rebelles sont plaquer sur son front et certaines lui tombe devant les yeux. Ces bras me tiennent plus fermement contre lui à chacun des pas qu'il fait.On s'arrête sous le porche d'un magasin de vêtements où il me pose sur une marche menant à celui-ci. Il reste planter, là, devant moi à me regarder sans prononcer un seul mots. Me contemplant comme on le ferait à une exposition d'arts. Il essaye de lire en moi. Le temps passe et on est toujours là à ce regarder dans le blanc des yeux. Il détourne le regard en premier quand son portable sonne dans sa poche. Il l'extirpe de son jean délavé et décroche avant de le porter à son oreille.
- Allô !... J'avais des choses de prévu , mec. On refera ça mais pour l'instant je suis occuper. Quoi ?! Comment ça ils sont sur le chemin ?... Mais pourquoi ils viennent me chercher ?... De toute manière je ne suis pas chez moi donc appel-les pour leur dire que sa ne sert à rien, s'te plaît ?... Merci, mec, je te laisse à plus.
Sur ces mots il rangea son téléphone et se tourna vers moi. Je me lance et pose la question, qui me taraude l'esprit depuis la fin de cette appel, c'est-à-dire depuis à peu près dix minutes. Oui, parce que ça vas faire dix minutes qu'il a raccrocher et qu'il me regarde, assez fixement je dois dire.
- Il y a un problème?
Il sursaute, comme si je l'avais surpris, avec ma question.- Non ! Allez-viens on y vas ?
-On vas ou ?
- Chez moi !
- Euh... d'accord! Mais il ne faut pas que sa deviennent une habitude, je dit en souriant.Il me regarde, sans aucune expression, et commence à partir. Moi qui voulait lui rendre le sourire, eh bien !, on peut dire que je me suis totalement foiré. En plus il part sans moi, là. Je me lève d'un coup sec dans le but de le rejoindre mais une douleur aiguë martèle ma jambe droite, je retombe, dans un bruit sourd, et un gémissement s'échappe d'entre mes lèvres. Je reste, là, à me tenir le tibia, comme une conne. Si ce simple geste pouvait atténué la douleur sa ce serait. Je regarde dans sa direction et le voit au téléphone un peu plus loin. Il ne regarde pas une seule fois dans ma direction, j'ai l'impression qu'il m'évite, mais pourquoi ? Et cette jambe qui me fait un un mal de chien. J'essaye de me relever sans aucun succès. Quand je sent que l'on me soulève. Il me porte jusqu'à chez lui sans me regarder une seul fois et dans un silence paisant. Génial ! Il fait le gueulle.

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Un Amour Fusionnel
Teen FictionAmy Pearce est une jeune fille de dix-sept ans, timide et réservé. Elle va déménager dans une petite ville en Amérique pour raison personnelle. En arrivant dans son nouveau lycée elle va se faire des ennemis comme des amis mais aussi elle va le renc...