Hayden
Après, mettre fait virer de cours ce matin je traîne dans les rues d'Abington sans but précis. Les profs me saoule et les cours aussi me saoule. En gros j'aime pas le lycée ça me fait chier. Et en plus de ça il y a toute ces meufs qui me tourne autour comme des chiennes en chaleur. Je ne vais pas vous dire que ça me déplaît, loin de là, mais bon je me demande quand même si je ne devrait pas essayer de me poser avec une fille pour avoir une vrai relation. Mais qu'est-ce que je raconte, moi ? Je crois que j'ai vraiment trop bue. Il faut que j'arrête de boire ça me rend vraiment débile.
Je suis entrain de marcher les mains dans les poches et mes pensées divaguant complètement quand j'entend quelqu'un crier. Je me dirige vers l'endroit d'où proviennent les cris quand je vois une fille au sol avec quatre mecs au dessus d'elle. J'allais partir et laisser ses mecs faire ce qu'ils contaient faire d'elle, quand je reconnais la fille allongée au sol. Merde ! C'est la nouvelle qui est dans ma classe. Sans réfléchir une seule seconde je m'approche d'eux les points serrer le long de mon corps.- Hey ! Qu'est-ce que vous comptais faire avec elle ? dis-je avec un regard noir.
- T'as quoi, toi ? Tu veut ma photo ? Non ! Alors casse toi !
- Je t'ai poser une question il me semble, non ? Alors répond enffoiré !
- Tu as intérêt à fermer toute suite ta petite gueule espèce de petit merdeu, sinon....Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase que mon poing est déjà partie se loger dans sa face de rat. Il me dégoûte tellement. J'ai seulement besoin de voir sa sale gueule d'ivrogne pour savoir ce qu'il comptait faire à la nouvelle.
- L'enfoiré... grogne le connard qui viens juste de recevoir mon poing en pleine face. Il m'a péter le nez.
Ces compagnons se retournent enfin vers nous. A croire qu'il n'avait même pas remarquer ma présence. Ils sont tout simplement répugnant.
Sans me prendre la tête, je me précipite vers eux pour leur donner une bonne leçon. Je leur assène des coups et en prend en retour, mais franchement ceux qu'ils me rendent sont plus puérile que ce que je pouvait m'imaginer. Après les avoirs rendu au silence je reste là, debout, comme un con les nerfs à bloque. Je ne sais pas ce qui m'a poussée à faire ce que j'ai fait mais quelque chose au fond de moi m'a convaincu de l'aider. D'ailleurs en parlant d'elle, ou est-elle ? Je me tourne dans tout les sens pour la trouver quand mes yeux se pose sur sa silhouette un peu plus loin, adossé à un mur, ses bras enrouler autour de ses jambes. Je m'approche d'elle et laisse une distance raisonnable entre nous.- Euh... ça va ?
Elle ne me répond pas mais ses larmes le font à sa place.
Je m'approche jusqu'à être juste en face d'elle et m'acroupie pour mieux voir son visage. Elle est mignonne et... je ressens comme une envie soudaine de l'embrasser. Et de la prendre là, tout de suite, contre ce mur. Mais n'importe quoi moi. Cette fille ne me plait pas du tout, au contraire, elle n'est pas du tout mon style.Arrête d'essayer de te convaincre sa ne sert, strictement, à rien.
Ta gueule, conscience !
- Viens !
Je lui tend la main pour l'aider à se relever. Elle me la prend et se dresse difficilement sur ces jambes. Elle tremble, je le sent.
Je la regarde se tenir à moi, comme si sa vie en dépendait, mais elle doit avoir remarquer la façon dont je la fixe car elle me lâche brusquement. Un peu trop brusquement parce qu'elle perd l'équilibre et est sur le point de tomber mais je la retiens à tant et la sert contre moi dans un geste, purement, protecteur.
Mais bien-sûr !
Pfff ! Cette conscience me saoule. Elle intervient un peu trop à mon goût.
- M-merci...
- Il n'y a pas de problème. Tu peut marcher ?Je sait quelle tremble comme pas possible mais il faut que je m'éloigne de cette fille le plus vite possible. Je n'arrive pas à penser correctement depuis tout à l'heure. En faite pour être honnête je n'arrive pas à penser à autre chose qu'à elle. Mais qu'est-ce qui me prend à la fin ? Je ne la connais même pas.
-Euh... je pense que oui...
Elle essaye de marcher mais rien n'y fait ces jambes ne lui permette pas. Elle retombe donc à genoux, un mètre plus loin, sa tête entre ces mains.
- Non, je n'y arrive pas... je... je suis désolé...
- Pourquoi tu t'excuse ?
- Parce que tu m'a aider et maintenant je n'arrive même pas à placer un pied devant l'autre. Du coup je suis entrain de te retenir. Je suis vraiment désolé, je...
- Par pitié arrête de t'excuser !
- Mais je...
- Ce n'ai pas de ta faute, c'est la leurs. Et puis si je t'ai aider c'est simplement parce que...Elle me regarde si intensément que je peut lire de l'espoir dans son regard. Mais elle espère quoi au juste ?
- ... je n'avais rien d'autre a foutre.
Elle détourne ces magnifiques yeux bleu-vert de moi mais j'ai le temps d'apercevoir un sentiment de colère traversée son regard. Qu'est-ce que j'ai dit qui aurait pu la mettre en colère ? Et puis merde ! J'en ai rien à foutre, je l'a connais à peine cette nana.
Je la rejoint et passe mon bras droit en dessous de ses genoux et mon bras gauche au niveau de ces reins.- Qu'est-ce que tu fait ?
Je ne lui répond pas et la soulève de terre.
- Hey ! Mais lâche moi, tu veut ? Pourquoi tu me porte ?
- Tu viens de me dire que tu n'arrivais pas à marcher alors je te porte. À moins que tu veuille rester ici, toute seule, en companis de ces charmants jeunes hommes étalée, là, par terre.Elle me regarde interloquée.
- Non, s'il te plaît ne me laisse pas ici ! me dit-elle paniquer.
- Hé ! Calme toi s'te plaît ! Je ne te laisserai pas toute seule avec ces salauds ! dis-je avec un grand sourire au lèvre.Elle passe ses mains autour de mon cou et se sert un peu plus contre moi. Je ne sais pas si c'est réelle ou juste une impression mais j'ai crû voir ces joues rougir.

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Un Amour Fusionnel
Genç KurguAmy Pearce est une jeune fille de dix-sept ans, timide et réservé. Elle va déménager dans une petite ville en Amérique pour raison personnelle. En arrivant dans son nouveau lycée elle va se faire des ennemis comme des amis mais aussi elle va le renc...