Un Amour Fusionnel

Chapitre 17

Hayden

Je suis actuellement devant le lycée en train d'attendre comme un con que la fin des cours arrive. Je ne sais pas quoi faire ?! Sérieusement, qu'est-ce que je fou là ? 

La sonnerie retententie et je parcours du regard les lycéens qui s'empresse de rentrer chez eux, a la recherche d'Amy. Mais où est-elle ?

- Hayden ?! Tu est enfin réveiller ?! me dis une voix moqueuse dans mon dos.
- Amy ! Bonjours !
- Bonjours ! Qui a t'il ? Tu en fais une drôle de tête !
- Euh... Je... en faite c'est que, je...
- Oui, tu ?
- Oh et puis merde ! Je voulais te remercier pour hier.
- Il n'y a pas de quoi !
- Et aussi je dois te dire quelque chose...
- Oui je t'écoute.
- Voilà c'est pas facile à dire mais... en faite, toi et moi, ça ne peut pas, enfin on peut plus...
- Tu est sûr que ça va, Hayden ?
- Toi et moi ça ne peut plus continuer comme ça ! Je suis désolé.
- Comment ça ? Je comprend pas.
- Je ne suis pas un mec pour toi, tu est beaucoup trop gentille et fragile. Et surtout naïve, avec moi à tes côtés tu risque de sombrée. Pardonne moi qui te plait ?!
- Tu est désolé ?! Non te donne pas cette peine, voyons Hayden, franchement à ta place je ne serai pas désolé. Tu as eu ce que tu voulais, non ?
- Comment ça ?
- Tu a réussi à mettre dans ton lit, la petite nouvelle de ton lycée, franchement félicitations, Don Juan ! dit-elle avec fureur. Tu me dégoute !
- Amy...

Et merde ! Putain, mais quel con !

- Oh moins le boss ne te fera plus chier avec cette nana !
- Matthew !
- Le boss m'as envoyer pour m'occuper de ta copine, mais apparemment je ne suis plus obliger de tout lui annoncer vu que tu t'en est chargé.
- Ouais...
- Écoute mec, je sais que tu tiens à elle ça se voit, mais tu sais très bien que continuer à la fréquenter ça la mettrait en danger.
- Je sais, merci Matt...

Amy... Je suis désolé ! Mais si je continu à te voir, je risque de le regretté. Et de te perdre pour de bon ! Je ne suis pas un garçon fréquentable. Et je me suis interdit de tomber amoureux. Maintenant tu est en sécurité ! Même si je dois avouer que ne plus t'avoir au près de moi vas me rendre complètement dingue.