Okay, avant tout, ceci est une nouvelle littéraire, qui n'est pas sur Harry Potter alors ceux qui ne sont pas intéressé, passé. Attention vous risquez de pleurer, mais pour moi, il était important de faire passer mon message...
Je détestais quand les gens étaient désolés, ou quand ils disaient «il vous aimait tellement!». Ah ouais, il nous aimait tellement qu'il a décidé de nous quitter délibérément, il l'a choisi, c'est son choix, et il nous aimait assez pour ne pas s'empêcher de l'assumer. C'est lui qui tenait sa vie entre les mains, mais il a pesé sur la gâchette, et ça c'est son choix. Si vous appelez le suicide de l'amour, c'est que votre définition de l'amour est assez étrange.
Ma mère avait conclu avec mon médecin que je nageais en pleine dépression. Je dirais plus que c'était une prise de conscience. C'est vrai, je me suis rendu compte que la seule personne qui devait tenir à moi au point de tout faire pour moi, même se tuer, s'était tué pour lui-même et avait oublié l'espace d'une seconde notre présence dans sa vie pour se tuer, il ne m'aimait pas assez pour rester auprès de moi, auprès de nous. On peut voir à quel point je suis aimé, à quel point je suis appréciez
Je m'étais aussi rendu compte que la vil ne tenait qu'à un fils, un mécanisme, un geste, une décision... et pouf la fin était face à nous et nous guidait dans le cimetière.
Ma psychologue disait que mes raisonnements étaient égoïste, je ne vois pas pourquoi la mort d'un être chère me rendrait altruiste, elle disait que je refusais de prendre conscience des causes exacts de sa souffrance, là j'ai pris conscience que c'était souffrant de m'aimer, et que je ramenais tout ça à moi, il faut croire que j'ai une conscience sélective et une bonne retenu, car je me suis retenu de lui demander si elle avait déjà perdu quelqu'un dans sa vie à part l'un de ses nombreux chats, parce que il est claire que je vais pas ramener sa mort, à elle, ma psy, ça serait idiot. Elle était également du clan dépression.
La dépression est une maladie psychosomatique due à un dérèglement de l'humeur. L'humeur se définit comme la disposition affective et émotionnelle qui conditionne la manière dont nous ressentons les événements qui normalement engendrent de la joie ou de la tristesse.
Je n'ai jamais été de bonne humeur, alors il est où le changement? En plus dans une dépression, normalement les gens n'ont plus le goût de rien et change énormément, du côté négatif évidemment. En plus la dépression n,est pas de rien, mais de vouloir rien faire, moi je voulais toujours faire plein de chose, mais je les repoussais sans cesse à la dernière minute. En plus, rien chez moi n'a changé. Je n'ai jamais été de ceux qui dansais ou chantais pour s'exprimer, en fait, en général je ne m'exprime pas. Je garde tout pour moi, et ça toujours été comme ça. Ma psy détestait ça. Ma mère a toujours dit que je détestais tout parce que j'étais adolescent, moi je dirais que c'est parce que je suis du genre humain étant donné que ma psy détestait surement autant ou plus de chose que moi. Je ne vois pas pourquoi ils font un plat sur ma situation, je suis toujours le même, je ne parle pas beaucoup, je ne vois pas pourquoi c'était différent qu'avant, j'avais peut-être perdu un peu de poids, mais en aucun cas cela faisait de moi quelqu'un de différent psychologiquement.
Je ne vois pas pourquoi les gens en font un plat, après tout, on va tous mourir, on va tous finir mangé par des vers 6 pieds sous terre. Le but de la vie est la mort, tout le monde va y passer, surtout moi. Je ne vois pas en quoi ils font un plat, c'est moi qui avait trouvé sa dépouille, c'est moi qui l'avait, trouvé sur le sol, gisant, plein de sang, les yeux à l'envers, un corps sans âme, son corps sans âme, sa vie s'était envolé et déjà partie trop loin, je savais déjà le verdict. Mort.
Il avait laissé deux choses. Deux enveloppes, avec son écriture fine, en cursive. Il en avait laissé une pour moi, je l'avais pris, tremblant de tout mes membres, je l'avais caché dans mes choses pour que personne l'a trouve, et j'avais appelé les urgences en pleurant, c'était bien la dernière fois que j'avais parlé. La police m'avait demandé si moi aussi j'avais eu une lettre, j'avais fais un non de la tête, après tout, en quoi ça les regarde, leur nom n'est pas dessus, en aucun cas ils ont besoin de le savoir.
Seulement, je n'avais pas encore ouverte la lettre, et ne l'ouvrirais sûrement jamais, parce que cette lettre conservait son plus grand secret : notre relation. Il n'avait jamais accepté son homosexualité... la violence avec laquelle elle était traité à l'école était trop lourde pour lui. Je l'aimais, il m'aimait, mais aimé un gars, c'était trop pour la société...
Tu me manques...
je ne suis pas homosexuelle, sauf que je trouve que l'amour dans le même sexe est magnifique, les personnes qui le sont n'ont pas besoin de se cacher, j'ai moi même un ami gay, et il est sans aucun doute la meilleur personne que j'ai rencontré, je voulais faire passé cem message là, selon moi il est clair, mais tout de même. La peur de sois-même est un terrible chose, la peur de son amour encore plus, et selon moi, il y a eu trop de suicide à cause de l'homophobie. les homosexuel(les)s sont de petites chenilles qui se transforment en papillon une fois qu'ils assument totalement leur sexualité et qu'ils sont qui ils sont réellement.

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Receuil one-shot
FanfictionC'est des one-shot. la plupart du temps ça risque d'être des fremiones, mais si vous avez des demandes spéciales n'hésitez pas. sur ce bonne lecture et bienvenu dans cette univers un peu farfelus qu'est ce recueil, à la prochaine les chocolats :)