Le Chant Du Piano

chapitre 3

Gisa
Le soleil vient de se levé, j'ai tres peux dormit et je tramble encore. Arthur se reveil, me regarde et dit:

-Gisa, tu as des cernes!!!! Tu n'as pas dormit....tu sait que c'etait surment une de nos dernieres nuits avant lontemps.

Je le regarde choqué. Visiblement mes parents ne m'ont pas tous dit, et Arthur en sait beaucoup plus que moi. Je reflechit quelques instant et murmure:

-Arthur que se passe t'il vraiment?! Pourquoi partont nous?! Pourquoi comme cela, mais surtout pourquoites parents et ta soeur ne sont pas venu?!

Arthur regarde autour de lui, cherchant mes parents du regard.

-ils ne t'on pas dit?

-non, Arthur je ne sait rien, rien de ce qui se passe, je ne sait meme pas pourquoi nous partons.

Arthur
Gisa vient de me demander pourquoi tous cela?! Pourquoi ce malheur ainsi et maintenant sur nous. Je ne sait pas quoi repondre, si mon oncle et ma tante ont rien dit a leur fille c'est bien qu'il y a une raison. Que doit je dire et que doit je faire. Gisa insiste:

-Arthur dit le moi s'il te plaie.

Je decide de lui reveler des choses meme si ses parents ne l'ont pas fait. Apres tout elle a le droit de savoir. Alors je murmure:

-Gisa les juifs sont persecutés, ici en Autriche, à Vienne. Nous ne pouvont rester sous peine de déportation, de travail forcé ou meme de mort. Alors nous partons en France là où c'est libre. Là où nous pouront vivre heureux. Hana nous rejoindra avec mes parents plus tard lorsqu'ils auront fermé la maison et le magasin.

Gisa me regarde au bord des larmes. Ma tante, Romy et mon oncle Ludolf rentre dans la grange et voient leur fille en larme, cour vers elle et me regarde durement. Mon oncle me demande:

-Quesque tu lui as dit?!

-Je lui est tous expliquer, c'est elle qui me l'a demander!

Ma tante regarde Gisa et lui demande:

-esce vrai?!

Gisa hoche la tete, vaincu par la tristesse. Ludolf prend Gisa sur ses épaules et part. Avec Romy nous le suivons. Ma tante me murmure:

-tu as bien fait, nous n'en avions pas le courage et il faut bien que quelqu'un le lui dise. Maintenant partons et vite car les nazi font le tour de toute les cachette qu'ils connaissent et ça ne m'etonnerait pas qu'ils connaissent celle ci.

Je les suis, une melodie en tete. Une melodie de bethoven. La 9eme symphonie d'apres Hana.