chapitre 8:

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Hana
Nous courons dans la ville, dans Ma ville; vienne, une ville desormais de tereur et de mal pour tout juif....
Je regrete le temps d'avant celui où nous etions libre de pensé, libre d'etre...enfin il manque un point tres important, la liberté d'aimer...
La ville est un immense labyrinthe, où dans chaque recoins on peut se faire tuer. Le courage ne nous lache pas, il ne faut pas, avoir peur...

Je regarde les imeubles et les gens qui passent, mes parents se mettent à marcher en me faisant signe de faire pareil. Ce que je voit me glace le sang!
Des policiers et des camions en grand nombres entassé dans la rue, des gens sortent de cher eux, chassé par les policiers, tous portent une marque commune sur leurs vetements, l'etoile de David. L'etoile que l'ont nous oblige à porter....

Je comprend rapidement qu'il y a une rafle, c'est courant. Selement je sait que c'est par là que vie une personne que j'aime, une personne dont je suis amoureuse.... Et je sait que cette personne est juive.... Je ne dit rien, la peur me noue le ventre, je regarde autour de moi, quand je sent la main de mon pere se poser sur mon epaule, il me fait signe que l'ont doit partir, avant qu'on nous tombe dessus. Je lance un dernier regard vers les camions. Mon sang se glace, je ne saurait surment jamais si cette personne a reussi à s'echapper. Puis je fait demi-tour et suis mes parents...

J'ai suivi des conseils que j'ai reçut, desormais je ferais un seul point de vu par chapitre!

Le Chant Du PianoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant