chapitre 2: Des retrouvailles inespérés

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~~~P. D. V. De Saphir~~~

"Charles, pourquoi doi-je absolument retourner en Angleterre? À cette période de l'année, qui plus est.

Alors que je terminais ma phrase, la calèche se stoppa devant un grand bâtiment entièrement constitué de verre.

-Saphir, se sont les vœur de notre majesté, et tu te dois de les exaucer. De plus, tu est ravissante dans cette robe.

J'ai alors levé les yeux au ciel avant de sortir de la calèche.

-Alors c'est ici que je vais perdre trois heure de ma vie...

Je sentis alors une main se posée sur mon épaule. Je me suis immédiatement retournée afin de constater qu'un homme d'environ 20 ans m'adressait la parole.

-Ne dites pas cela mon petit bijoux, comment pourriez-vous vous ennuyée en présence du seul et unique vicomte de Druitt?

Tandis qu'un frisson me parcourait l'échine, j'ai remarqué qu'il portait sur lui le badge de juge.

-Seriez-vous par le plus grand des hasard un des juges de ce concours?

Je lui ai sourit aussi aimablement que faussement alors que je pointait du doigt le badge se trouvant sur sa poitrine.

-Vous êtes très observatrice ma lady, en effet, j'ai l'immense honneur de juger ce concours. Je constate que vous portez également cette broche. Étant donné que nous sommes colègues, pourrais-je connaître votre nom?
-Certainement, je suis la comtesse Saphir Lydia Jane Richard, directrice de la lignes de salon de thé "chic thé Chardie" et des nombreuse bijouteries "Jannie". C'est un honneur de vous rencontrer monsieur le vicomte."

Je lui fit la révérence tandis qu'il déposa sur ma main droite un léger baiser.
Nous nous dirigeâmes ensuite vers la tables du jury alors que la salle se remplissait de spéctateures. Parmi eux, au premier rang, je pouvais apercevoir Charles, déjà en train de m'applaudir. À cette vue, je porta une main à mon visage avant de regarder dans la direction opposée.

"Mesdames et messieurs, j'ai l'immense honneur de vous annoncer que le concours de curry est officiellement ouvert. Sans plus tarder nos valeureux candidats vont exécuter devant vos yeux, leurs meilleure recette."

Alors que j'observai les candidats, l'un d'entre eux me fit un clin d'œil. Il s'agissait d'un homme qui paraissait avoir une vingtaine d'années. Il avait de long cheveux noir ainsi que de profond yeux rougeoyant. Il portait un uniforme de majordome. Ce qui était peu commun dans un concours de cuisine.
Un autre candidat attira mon attention, il s'agissait d'un indien avec des cheveux d'argent couverts par un turban.Il cuisinait magnifiquement bien. Comme si sa main était dirigée par une sorte de divinité.

Quand au majordome, il était tout aussi intéressant. Il préparait le curry d'une manière diaboliquement merveilleuse.
Il mit alors une tablette de chocolat dans le curry. Tout les spectateurs semblaient horrifiés ou dégoûtés. Moi qui connaissais bien les différentes douceurs, je compris son intention, le cacao allait relever le goût des épicé et le sucre allait radoucir le tout. Je doit avouer que pour un majordome, il était assez impressionnant.

Durant 30 minutes environ, les candidats s'affrontèrent avec rage. Puis le juge de tout à l'heure repris la parole:
"Très chères candidats, je vous annonce que les hostilités sont closes. Il est maintenant temps de présenter le résultat de votre dur travail."

À ces mots, le premier cuisinier vînt me présenter son travail. Aucun fumet ne se dégageait de son plat et la présentation était complètement banale.
Les autres juges prirent la parole un à un avant de passer au plat suivent.
Cette fois-ci, une odeur se dégageait du curry. Une odeur à vous brûler les narines. J'ai tout de même tenté de prendre une bouchée avant de me retenir de lui recracher à la figure. Je pris alors la parole:

Je te protègerais et t'aimerais, quoi qu'il arrive (Ciel x reader/OC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant