Je te protègerais et t'aimerais, quoi qu'il arrive (Ciel x reader/OC)

Prologue partie 1

Alors que le soleil n'était pas encore levé, je me reveillais d'un horrible cauchemar. Des larmes coulaient sur mes petites joues roses. Efrayée, je me suis dirigée vers la chambre de mes parents. Sans faire de bruit, je me suis glissée sous les couvertures entre ma mère et mon père. Cette nuit là, il y avait eu un orage d'une rare violence. Et dieu seul sait à quel point j'en avais peur. Mais entourée par la douce chaleur que mes parents dégageaient, je me rendormie rapidement pour un sommeil sans rêve.

Plus tard dans la matinée, Cedric, le majordome de mes parents vint nous réveiller tout les trois. Mes parents, surpris de ma présence, en tombèrent du lit.
"S-Saphir?! Que fais-tu ici? Me demanda mon père.
- Je... J-J'ai eu peur de l'orage alors je suis venue dormir avec vous...." Tandis que je regardais le sol, je sentis le rouge me monter au visage. À cette vue, ma mère éclata de rire. Toujours honteuse, j'osa prendre la parole.
"Q-qu'est-ce qu'il y a de si drôle?
Entre deux rire, ma mére me dit tout en me souriant
-Mais chérie, tu auras 10 ans dans un mois à peine et tu n'arrives toujours pas à dormir seule les nuits d'orages?
-Non... J'en ai toujours aussi peur...." Je sentis des larmes de hontes se formées dans le coin de mes yeux émeraudes. Mes parents durent le remarquer et me prirent dans leurs bras.
"Mon ange, tu n'as pas à avoir peur, nous sommes là pour te protéger. Et nous ne te laisserons jamais toute seule.
- T-tu me le promet papa?
-Oui ma chérie, c'est une promesse."
Je serra alors mes parents dans mes bras alors qu'un sourrire se reformait sur mon visage. Ma mère m'embrassa sur le front avant de me renvoyer dans ma chambre pour attendre Marie, ma domestique personelle.

Lorsqu'elle arriva, elle m'aida à enfiler ma robe préfèrée avant de dire:
"Ma lady, vous êtes ravissante.
-Merci Marie, c'est très gentil de ta part." Je lui fis alors mon plus beau sourire avant de me diriger en courrant vers la salle à manger.

En voyant ma dificulté à respirer, mes parents se sont précipités vers moi.
"Chérie tu vas bien?!
- As-tu pris tes médicaments ce matin?!
-O-ouis... arrivais-je à articuler entre deux respirations.
-Pourquoi es-tu éssouflée dans ce cas?
- Je... J-J'ai courru... marmonais-je sans regarder mes parents.
-Mon ange, il ne faut pas courrir, c'est trop dangereux....
-Oui mais je voulais juste m'amuser un peu rien de plus....
-Tu sais que si tu ne fait pas plus attention à ton ashme tu pourrais en mourir?
-Je sais mais je m'ennuiyais. À cause de cette maladie je ne peu ni sortir dehors, ni courrir. Pourquoi je ne peu pas être comme les autres enfants? Demandais-je les yeux larmoyants.
-Bon. Aujourd'huis, nous devons rendre visite à une connaissance de ton père. Cet homme a un fils qui a à peu pret ton age. Que dirais-tu de venir avec nous pour une fois?
-V-vraiment? Je peu venir avec vous?
-Si on te le dit. Mais à une seule condition.
-Laquelle?
-Que tu emporte avec toi tes medicaments et que tu t'amuses.
-Ça fait deux conditions là...
-Alors tu veux rester l-
-JE VIENS!!!
-Très bien. Nous partons dans une demie heure alors pas de bêtises d'accord?"
En guise de réponse, je secoua nerveusement ma tête de haut en bas avant de partir en marchant vers ma chambre.

~~~Timeskip au manoir des Phantomhives~~~

"Rapelles-toi, tu dois être très polie envers tous le monde et être gentille avec le fils de monsieur Phantomhive et surtout ne pa-
- Ne pas courrir je sais... Tu me l'as repetter tout le trajet. Ne t'inquite pas maman je ne fairais pas de bêtises c'est promis."
Ma mère me fit un grand sourire avant de toquer à la porte du manoir. Il était immense et drôlement bien entretenu. Je me suis alors arreter de penser lorsque la porte s'ouvrie, laissant aparaître un grand homme aux cheveux bleu nuit et un grain de beauté en dessous d'un œil. Sans m'en être rendue compte, je m'étais cachée derière mon père qui ne pouvait s'empécher de sourire.
"Oh? Monsieur Richard, je suis ravi de vous revoir parmi nous. Comment allez-vous? Dit le grand monsieur.
- Je vais on ne peu mieux merci. Comme vous pouvez le voir je suis venu accompagné de ma femme et de ma jeune fille. Dit mon père en posant une main sur mon épaule.