Chapitre 1 : Frisk

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La musique est : Once upon a time-Undertale.
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Il y a longtemps, deux races régnaient sur Terre : les humains et les monstres. Un jour, une guerre éclata entre eux. Finalement, les humains en sortirent victorieux et enfermèrent les monstres sous terre avec une formule magique. La légende raconte que tout ceux qui escaladent le mont Ebott, ne reviennent jamais…

Par une belle journée de printemps, une jeune fille se réveilla sur ses draps. Elle avait des cheveux mi courts, couleur chocolat. Un doux visage et des yeux bleu cyan. Elle se leva et partit se laver. L’eau chaude sur sa peau douce lui procurait une sensation de fraîcheur et de bien-être. Ayant fini, elle enroula son corps d’une serviette blanche. Elle s’habilla de ses vêtements de tout les jours : un pull bleu imprégné de deux rayures violettes, un short marron et des collants noirs. Ce n’était pas très « stylé » mais cela lui semblait confortable. Elle se chaussa et descendit les escaliers. Sa mère doit dormir car aucune trace d’elle ici. Son beau père doit sûrement être au travail. Pour être franche, Frisk aimait quand son beau-père n’était pas là. Lors de sa présence, il lui faisait peur. Que ce soit avec son sourire narquois ou les mots étranges aves lesquels il parle, ça la rendait mal à l’aise. Elle se versa un peu de lait dans un verre et se fit des tartines à la confiture. Peu de temps après, elle prit son cartable et marcha jusqu’à l’école. Frisk arriva, un instant plus tard, dans l’établissement. Elle entendait des chuchotements et des moqueries. Même si son cœur lui faisait mal, elle ne pleurait pas. Elle retiendrai toujours les paroles de son défunt père : « Peu importe ce qui arrive, soit forte. Ne laisse rien d’abattre. Croit en ce qui te semble juste et surtout…reste la petite fille joyeuse et déterminé que tu es… » avait-il dit, sur son lit d’hôpital. Quand elle pense que quelques heures plus tard, il serait décédé. Lorsqu’elle l’avait appris, elle était abasourdie et… énormément triste. Alors que Frisk se réfugiait dans les larmes, sa mère se réfugiait dans l’alcool. Parfois, elle battait Frisk, sans raison. Elle disait que c’est Frisk qui avait tué son mari…Peu après, elle s’est remariée avec un autre homme. Sans pour autant arrêter de battre  Frisk. Revenons au présent, Frisk s’assit sur un banc, isolée du monde. Elle a toujours été seule, sans amis. Ils la trouvaient « bizarre ». Normalement, elle aurait créer des problèmes. Leur crier dessus ou les dénoncer. Mais notre Frisk n’est pas ce genre de personne. La sonnerie retentit…
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C’était la récréation, Frisk, comme à son habitude, avait choisi une place et mangea son goûter là-bas. Alors qu’elle mangeait tranquillement son goûter, des garçons vinrent la fatiguer.

-Hey Frisk ! Dit un garçon un peu enrobé, ça va ? T’es pas morte avec tes yeux sans vie ?

Ses amis pouffèrent de rire. Frisk les regardait sans dire un mot. Elle ne voulait pas de problèmes.

-Euh…non, dit Frisk,  je vais bien.
-Hey les gars ! Elle se fout de moi en plus !!!

Ils s’approchèrent d’elle. Elle ne comprit pas tout de suite leur intentions. Puis, ils la tapèrent…comme sa mère la bat. Les autres élèves assistaient à la scène. Mais au lieu de l’aider, ils rigolèrent ou lui lançaient des insultes. Là, Frisk ne put retenir ses larmes. Son corps lui faisait mal, ainsi que son pauvre cœur. Pourquoi sont-ils si méchants avec elle ? A-t-elle fait quelque chose de mal ? Elle n’en savait rien. Lorsqu’elle eut l’occasion de s’enfuir, elle la tenta. Elle courut, du mieux qu’elle pouvait. Elle retourna chez elle. Peut-être en racontant ça à maman, elle la réconforterai. Mais à la place, elle trouva sa mère entourée de bouteilles. Elle préféra aller dans sa chambre. Frisk se regarda dans le miroir. On pouvait quelques bleus mais pas très grave. Elle se coucha, repensant à sa journée. Finalement, elle s’assoupit.

<<Frisk>>
Elle se trouvait dans un endroit vide de matières. Tout était noir, le néant. Une voix lointaine mais à peine audible, l’appelait. Elle se sentait légère comme une plume.
<<Frisk !...>>
La voix la rappela mais plus fort. Frisk bougeait la tête pour apercevoir de qui provenait la voix.
<<Tu es notre seul espoir !>>
Que voulait-elle dire (la voix) par là ? Frisk ne comprenait pas cela. Elle faisait ce genre de rêve depuis quelques jours mais sans rien comprendre.
<<Ne commets pas les erreurs que j’ai commise>>
Quels erreurs ? Se dit  Frisk. La voix essayait elle de la prévenir ? Ou ce n’était qu’un rêve parmi d’autre ?
<<Ne tues pas mais épargne ! >>
QUOI ?! Qu’est-ce que voulait dire cette phrase ? Frisk ne tuerai jamais personne qui qu’elle soit. Humain, animaux ou insectes, elle n’a jamais essayer de prendre leur vie.

Frisk se réveilla en sueur. Dans son rêve, ses  mains étaient recouverte d’un liquide rouge. Du sang. Cela l’a effrayé. Elle ne pouvait s’imaginer tuer des gens. Elle regarda ses mains. Tel fut son soulagement lorsqu’elle les vit propre mais avec de petits bleus. Au moins, elle n’a tué personne. Elle se leva et descendit soulager son ventre qui criait famine. Malheureusement pour elle, son beau père était là. Sa mère ? Pas ici. Elle le salua et entra dans la cuisine, cherchant un petit quelque chose à manger. Elle trouva  un paquet de tablette de chocolat au lait. Elle le prit et rentra dans sa chambre pour le manger. Mais son beau père entra dans sa chambre. Il la regardait en souriant…bizarrement.

-Il y a un problème, beau papa ? Demanda Frisk innocemment, j’ai fait  une bêtise ?
-Non, tu n’as rien fait ma chérie. Je veux juste rester quelques instants avec toi ! Je ne t’ai pas vu de la journée !
-D’accord beau papa ! Dit Frisk en faisant son sourire angélique, tu veux du chocolat ?
-Non. Je n’en veut pas. Il se mit à sourire, ce que  je veux, c’est toi mon enfant.
-…Q-quoi ?..
/////ALERTE PÉDOPHILIE, JE RÉPÈTE, ALERTE PÉDOPHILIE///
Il la  poussa violemment sur le lit. Il lui attrapa les poignets et commença à lui lécher le cou. Frisk était très très très très mal à l’aise. Elle ne s’attendait pas à ça. Puis il l’embrassa à pleine bouche. Frisk voulut se dégager mais il était plus fort qu’elle. De plus, sa mère n’était pas là alors elle était à sa merci. Puis il la viola…
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Frisk était à bout. Son beau père l’a violé sous prétexte qu’elle lui donnait envie. Frisk avait déjà perdu beaucoup : son père, sa mère ( car elle ne l’aime plus), ses amis et maintenant sa virginité. Elle avait mal au bassin et au côtes. Elle se rhabilla et jeta à la poubelle un truc visqueux qu’il avait mit sur son…vous comprenez ? L’objet était remplie d’un liquide blanc. Elle pleura. Alors que ses larmes brouillaient sa vue, elle heurta, par inattention, sa commode. Un cadre photo tomba. Elle le regarda et le prit. Elle y vit son père avec son sourire radieux. Ceci la fit sourire. Sa mère, comme elle était jolie avant. Elle ne dit pas qu’elle est moche mais que son caractère est devenu…moche ? (Est-ce que ça se dit même ? ). Elle se vit lors de ses 3 ans. Elle souriait tellement à cette époque. Mais une chose l’intrigua. Une fille plus âgée qui se tenait à côté d’elle. Tout comme Frisk, elle a des cheveux mi longs chocolat plus foncé, des joues rosies, des yeux rouges sangs. Elle portait un pull vert clair avec une rayure jaune en plein milieu et un pantalon noir. Elle souriait comme  toute le monde sur la photo. Qui était-elle ? Et surtout, faisait-elle partie de la famille ?
À suivre…
Que va-t-il se passer ?

Frisk sera-t-elle déterminée ?

Qui est la fille sur la photo ?

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