My Undertale

Chapitre 8 : Une nouvelle amie

Frisk a dû subir l’apprentissage d'Undyne en ce qui concerne la cuisine. On peut dire qu'elle le prend vraiment à cœur. Elle compare chaque mouvement et ingrédients à un objet en rapport avec les combats ! Par exemple, une tomate est un ennemi donc Frisk doit l' «attaquer». Mais notre Frisk ne ferai pas de mal à une mouche, même si celle-ci était armée d'un bazooka. Alors elle caressa la tomate délicatement, comme si c’était un petit chiot. Undyne ne fut pas très fière de ce geste.

-Qu’est que tu fais ?! On ne caresse pas l'ennemi ! Il faut l’EXTERMINER ! Comme ça !

Undyne écrasa la tomate d'un telle violence qu'elle explosa. Frisk ne put empêcher d'imaginer son corps à la place du fruit. Cette pensée lui glaça le sang. Quelques gouttes du  jus de la tomate perlaient sur le visage et le corps d'Undyne.  Cela lui donnait l'impression d'être revenue de guerre, en y ayant fait un carnage.

-Maintenant, fit Undyne, il faut bouillir les pâtes !

Elle prit un bol qu'elle remplit d'eau puis elle prit un paquet de spaghetti. Elle le versa dans le bol et le plaça sur le feu. Elle tendit une louche à Frisk.

-Tiens ! Il faut remuer le tout !

Frisk le prit et s'approcha du bol. Elle y planta la cuillère et tourna doucement. Undyne ne trouva pas ce geste à son goût.

-Remue plus fort !

Frisk s’exécuta. Elle y alla plus fort mais Undyne trouvait cela toujours trop lent. Elle l'ordonna de remuer plus fort, encore et encore. Jusqu'à que quelques spaghetti débordent du bol. Puis, Undyne s'attaqua à la force du feu. Pour nous, personne normal, la chaleur varie selon les plats. Mais puisqu'Undyne n'est clairement pas normal, elle pense que tout les plats doivent être chaud bouillants. Et ce plat de ne fait exception. Elle s'acharna tellement dessus que les spaghettis cramèrent, la maison avec eux. Heureusement, Frisk et Undyne purent sortir sans aucune égratignure. Où va-t-elle habiter, maintenant ? Se demanda Frisk, inquiète pour sa nouvelle amie.

-Désolée pour ta maison… dit Frisk, se sentant coupable
-Oh c’est rien ! J'pourrais dormir chez Paps, de toute façon !
-Si tu le dis… qu''est ce qu'on fait maintenant ?
-On cherche Papyrus ?
-Hum…d’accord !

C'est ainsi que nos 2 amies partirent à la recherche de leur ami, Papyrus. Celui-ci était parti depuis longtemps. Où ? Me diriez-vous. Et bien, au seul endroit où il peut crier sur quelqu'un. C’est-à-dire chez son grand frère…
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Papyrus était, comme toujours, en train de reprocher sa paresse à son frère. Celui-ci, comme d'habitude, lui répond en se foutant de sa gueule. C'est alors qu'Undyne et Frisk arrivèrent près d'eux. Papyrus et Sans les salua.

-Où vous étiez ? Demanda Sans
-Undyne m'apprenait à cuisiner des spaghettis ! Répondit Frisk
-Eh ben, tu m’étonnes que tu tiennes toujours sur tes pâtes blagua Sans
-Sans ! Ramènes-toi ici sac d'os !!! Fit Undyne, en colère

Elle se lança à sa poursuite mais Sans était toujours blasé. Il se téléporta et plus personne ne le vit. Undyne revint, bredouille mais toujours en colère. Soudain, elle se rappela d’une chose.

-Dis Frisk, fit Undyne, tu savais qu'il y avait un laboratoire à Hotland ?
-Non. Je devrais ?
-Tu voudrais pas y jeter un coup d'œil ?
-Oui, ça serait bien d'explorer un peu… en plus, j'ai rien à faire…

Frisk salua ses amis et se dirigea vers Hotland. En chemin, elle croisa Monster kid et le salua. Il avait l'air heureux de la revoir. Normal ! C'est son ami ! Frisk arriva, enfin, à destination. Un grand bâtiment où il y avait écrit « Lab » comme titre, se trouvait devant Frisk. Elle se décida à entrer. Étrangement, c’était une porte électrique. Vous savez ? Lorsqu'on s'approche, elle s'ouvre automatiquement. Frisk trouva à l’intérieur un bureau… comment dire… surchargé et un écran géant. Mais, ce qui fut plus bizarre, c’était qu'il filmait Frisk. Elle se voyait littéralement sur l'écran comme si elle passait à la télévision. Elle pensa que c'était un peu suspect tout ça. Est-ce que quelqu'un la surveille ? Si oui, pourquoi ? Frisk commençait à avoir un peu peur. Et si tout ses faits et gestes étaient surveillés par un vieux pervers ?! Elle pria le ciel d'avoir tort. Elle continua à marcher lorsqu'une sorte de petit dinosaure jaune en blouse de scientifique et portant des lunettes apparut devant notre petite humaine. Le petit dinosaure la remarqua et devint surprise. En fait, un mélange de surprise et d’inquiétude.