Chapitre 8

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PDV de Roxane:

J'arrive à l'école avec quelques minutes d'avance comme toujours. Je m'attendais à voir les gars m'attendre, mais il n'y avait personne. Une fille que je ne connais pas arrive vers moi en courant.

fille : C'est toi Roxane?

Moi : euh...oui.

Fille : C'est bien toi la fille qui se faisait harceler par : Travis, Antony, William et Maxence ?

Merci de me le rappeler.

Moi : Ouais.

Fille : Le directeur te cherche. Il est à son bureau.

Elle repart sans rien dire. Le directeur veut me voir ? Sans m'en rendre compte le stress commença à monter en moi. Je me dirigeai vers le bureau du directeur. Une fois arrivé,  je toquai à la porte.

Directeur: Rentrez !

Je poussai timidement la porte et je rentrai dans son bureau. Je vis le directeur accompagné de la policière de l'école et mon fan-club.

Directeur: Roxane ! Il ne manquait plus que toi ! Viens t'asseoir !

Je m'assis sur la chaise à côté de la policière.

Policière : je vais te demander d'être honnête Roxane et de répondre à mes questions le mieux que tu peux.

Moi: D'accord...

Policière: Connais-tu ses garçons?

Moi: Oui.

Policière: Qui sont-ils pour toi?

Je bloquai sur cette question. Qui sont-ils pour moi? Ils sont mes harceleurs, mes ennemis et probablement les personnes que je déteste le plus sur cette terre en ce moment.

Policière: Roxane? Tu m'entends?

Je sortis de mes pensées et vis la policière et le directeur me regarder intensément.

Moi: je...je me sens pas bien. Je peux allé au toilette?

Directeur: Bien sûr ! Nous continuerons cette conversation avec vos parents ce soir. Les garçons, retournez en cours et Roxane, vous pouvez aller au bureau de l'infirmerie si cela ne va pas mieux.

Nous hochâmes tous la tête et  sortîmes rapidement du bureau. Je commençai à marcher pour aller à la toilette lorsqu'une main m'agrippa fermement le bras et me retourna brutalement. Je tombai nez à nez avec Travis.

Travis: Tu ne dis rien au directeur ce soir. Sinon, tu n'imagines même pas ce qui peut t'arriver.

Il me lâcha et partit comme si rien n'était. Je me réfugiai rapidement dans les toilettes de l'école et je m'enfermai dans une cabine. Je sortis mon téléphone.

À: M
M...Je n'en peux plus

CorrespondanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant