Vladimir Poutine omg

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Dimanche 19 Février 2017

Là, mais là cher journal, je peux dire que je suis un homme comblé.

Comment te dire ... J'ai vécu ce que tout homme aurait rêver de vivre au moins une fois dans sa vie.

Tout à commencé à ma sortie d'Air Force One. Quelques photos pour les journalistes américains, d'autres pour les russes. Dès ce moment, j'ai été fouetté par une atmosphère communiste qui a failli me faire rater un battement de cœur.

On m'a très vite conduit au Kremlin et là, devant l'entrée, je le voyais à travers les vitres teintées. Il se tenait en haut des marches des escaliers, vêtu d'une cravate rouge comme le sang que je ferai coulé pour lui. On m'ouvrit la porte et très gracieusement il descendit les marches pour me rejoindre.

Mon coeur faisait boom boom.

Il me serra la main, au contact de nos mains je failli chavirer mais je retint parce que je suis pas une femme.

"Wesh wesh" m'avait-il dit. Mon coeur refit boom boom.

On posa pour des photos tout en gardant nos mains liées puis nous rentrons dans la demeure présidentielle. Il me fit rencontrer son personnel, comme si j'en avais quelques choses à foutre de ses esclaves.

Il me parla des champ de maïs de je sais plus quelle ville je m'en battais les couilles. Mais comme c'était Poutine, je faisais semblant de m'y intéresser, d'habitude je n'aurais pas fait cet effort.

Tout le long de la soirée, il ne parla pas une seule fois de politique et je dois t'avouer journal, que ça m'a fait du bien parce que je déteste la politique.

J'écris depuis une chambre d'invité du Kremlin, eh oui, je passe la nuit à Moscou. Demain, nous discuterons probablement de nos deux pays mais pour l'instant je vais me contenter de rêver de lui défonçant un ours.

Donald Trump, un genre d'homme heureux.

Journal Intime de la Décadence AméricaineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant