Les chiens ne font pas les chats...
Ma mère , une merveilleuse femme, belle et gentille, c'était enfuie me laissant seule et sans défense. À cette époque je n'avais que 12,5 ans. Encore avant, l'homme qui était mon père avais sois disant perdu son emploi et étais devenu fou. Il étais devenu violent, arrogant, hypocrite, insolant et n'avais plus de respect pour personne. Le pire, c'est qu'il passait ses journées à boire puis à nous frappé...
C'était devenu un monstre, un ennemi, une personne à éviter... À cause de lui, je n'étais devenu que l'ombre de moi même. À l'école,
je rester seule, ma haine grandissante et mes moyennes baissaient de plus en plus car dès que je me levais le matin, je pensais déjà à comment se passerai la soirée, je vivais sans cesse dans la peur, la crainte et la haine, je le haïssait de nous avoir fait tant de mal à maman et à moi, mais je ne pouvais rien faire,
j'etais prisonnière de ma position : une petite adolescente, pas de taille contre un homme d'1m90... Malgré tout, un garçon de ma classe insisté sur le fais que l'on soit amis. Je fus méfiante, j'avais peur que m'on père l'ai payé pour savoir si je parlais ou pas de ce qui se passais à la maison. Cependant, il m'inspirer confiance.Même si ma raison m'implorer de ne rien dire et de partir vite, il sû la bravé et commença t à m'apprivoiser exactement comme le petit prince et le renard -le livre que me lisais ma maman à l'époque... Avant...- .
Puis il me découvrit, il découvrait chaque jour, ma profonde douleur, ou bien des morceaux de ma tendre enfance avant que ma vie bascule. Il me ramené à la vie. C'était devenu ma vie. Grâce à lui j'oublier le spectacle quotidien que je voyais tout les soirs... Les pleurs et le sang de ma mère sur le sol, les cris bestiaux de l'animal sans qui je n'existerais pas. Et puis un soir, l'ennemi n'étais pas encore rentré que je voyais une valise et un sac sur le seuil de la porte.
Maman me serra dans ses bras, me dit qu'elle m'aimait, qu'elle aurait voulu que ça se passe autrement, qu'elle s'en voulais de ne rien pouvoir faire pour moi, qu'elle étais désolée et tellement triste de devoir me laisser entre les mains de l'autre... Et puis elle est partit. Je ne l'ai plus jamais revu... Ensuite...quand il est arrivé, il me questionnais sur l'absence de maman, ou se trouvait elle, des choses comme ça, je n'en savais rien, elle ne m'avait rien dit... Alors je lui avais raconté et puis il est allé dans la cuisine, j'ai cru qu'il me dirait rien... Mais il a commencé à tout envoyé dans tout les sens et en priorité sur moi, les couteaux, les assiettes, les fourchettes, même les verres... Tout finissait en mille morceaux sur le sol, je me rappelle qu'il m'avait attraper par les cheveux et m'avait collé la tête contre le parquet, j'avais les larmes aux yeux, je ne pouvais pas bouger, j'avais des bouts de verres qui s'enfoncaient dans ma peau, je saignais de partout, je pensais mourir puis j'ai perdu connaissance.J'avais raté 5 jours de cours, le temps d'aller un peu mieux, et mon ami s'inquiéter, je le savais mais je lui avais interdit de venir chez moi de peur que mon père ne s'en prenne à lui ... Mon papa adoré...Celui qui avait fais mon bonheur quand j'étais petite, m'avait complètement détruite, il était devenu le genre d'homme à inviter des femmes à demi dénudé pour assouvir à ses plaisirs grotesques -en plus de moi, qu'il utilise comme un objet sans valeur- puis les fouttres à la porte, les jeté comme de vulgaires sacs poubelles... Je n'avais jamais compris pourquoi il avait changé, comment il avait changé, pourtant j'ai cherché mais aucune réponse ni même hypothèse ne m'avait effleuré l'esprit.
Peut être couvait il cela depuis bien plus longtemps, avant ma naissance ou je ne sais pas, il a changé, c'est tout. Je vivais l'enfer et je recommençais à baisser les bras, je ne prenais même plus la peine de données des explications à Simon ce que je peiné à supporter...
Je me rappelle, un jour de pluie, nous séchions le cours de techno et nous étions partis nous promener en dehors de l'établissement puis il m'avait prise par la main et m'avait dit en regardant la pluie : "Quand il pleut, j'ai l'impression que le ciel coule pour permettre à la terre de rejoindre son royaume pendant quelques instants, alors je me dis que tant qu'une chose sur terre en raccroche une autre, rien est perdu car né la plus belle chose au monde : l'espoir."
Je me souviendrai toujours de se moment, c'est lui qui m'a ouvert une porte. La porte de l'espérance d'une vie meilleure. La porte qui me menait au bonheur.
Mais il a disparu. Jamais plus je ne l'ai revu. Il m'a abandonné... Il m'a abandonné et Lilyan va faire pareil...
Je suis destiné à resté seule... Pour toujours.Est ce que c'est vraiment ce que tu veux petite fleur ? Tu veux vraiment finir seule ?
Non... Non... Non... Je veux vivre comme tout le monde... Je veux que l'on me vois autrement.
Une voix lointaine se fit entendre.
-Elle se réveille, doucement, ne faite pas de bruit.
Ma tête était lourde. Terriblement lourde, j'avais l'impression d'être sur un bateau en pleine tempête...
-Alors c'est elle ? La Caroline ?
-Oui c'est elle. C'est ta cousine.
-Je me languis de faire sa connaissance.
-Ce sera dans longtemps.
-Comment ça ?
-Je ne veux pas que vous vous rencontriez.
-Pourquoi !?
-Chut, crie pas.
-Je cris pas.
-Si.
-Rhooo c'est bon vos gueules tout les deux.
-Tu me parles mieux.
-A moi aussi wesh.
-Chut, elle se réveille.
-Lili, sort de cet hôpital. Je ne veux pas qu'elle te connaisse.
-P'tain tu fais chier Hyndries.
-Répètes ?
-P-u-t-a-i-n t-u f-a-i-s c-h-i-e-r
-Ho je vais te frapper toi.
-Pas sur, tu risques de te faire tuer avant.
-Connasse.
-Enculé.
La porte claque et deux hommes sont dans la chambre.
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Il était une fois, un ange
Teen FictionJe m'appelle Caroline, Caroline Hyndries, je suis violenté par mon père. Ma mère est partie. Loin. Loin de moi. Je n'étais qu'une simple enfant... Heureusement, un certain Simon a croisé ma route mais à soudainement disparue. Deux ans plus tard, j'a...