Partie 17 🌸

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PARTIE 17 🌸

Jusqu'à qu'Amir me dis quelque chose qui m'a...

-Amir: Sheryn

-Moi: oui

-Amir: tu veut me raconter ?

-Moi: non pas maintenant Amir

-Amir: d'accord

-Moi: je veut juste que tu reste ici avec moi

-Amir: je te lâcherai jamais

-Moi: merci

Je le sert fort dans mes bras. Je sais que la ce que je suis entrain de faire c'est pas bien mais je me sans tellement bien quand je suis dans ses bras, je me sans soulager, protéger...

Quelques heures plus tard...

J'étais toujours dans les bras d'Amir entrain de pleuré pour ma mère.. Amir lui dormais ne savez pas que je pleurer dans ses bras.. Un moment j'ai penser un moment de moi et ma mère et sa ma fait très mal au cœur du coup j'ai chialer comme une folle et j'ai serais Amir très très fort limite j'allais lui casser ses os tellement je le serait fort et c'est à ce moment-là qu'il se réveille, dès qu'il me voir dans cet état là il me prend dans ses bras et me dis.

-Amir: chut, c'est bon.. je suis là moi

Je pleure de plus en plus..

-Amir: Sheryn arrête de pleuré

-Moi: -en pleure- A... A... Amir

J'avais très du mal à parler parce que je pleurer comme une folle.

-Amir: oui 

-Moi: je.. Je.. Suis.. Dé.. Désolé..

-Amir: chut arrête de parler Sheryn, calme toi

-Moi: je.. Je veut.. Mou.. Mourir.. A.. Amir..

Je le serait très très fort contre mes bras.

Je penser à ma mère..

Maman,

Me voilà seule. Me voilà seule et démunie. Cœur gros, je pleure sans arrêt, tellement je suis sèche de réconfort. Je ne sais pas quoi dire, quoi penser, comment le dire, l'écrire, ou même le crier, y'a une boule, une de ces boules pognée là, dans la gorge...Je ne suis pas capable de dormir, les yeux bouffis, rouges, ils ferment, mais ne je ne suis pas capable... Pourquoi ?

Me voilà seule, démunie, sans armes, je viens de perdre un gros morceau dans ma vie, ma MÈRE. Eh oui, la mort est là et vous guette, ne vous le dit pas et elle vient chercher des gens sans avertir. Je n'étais pas prête à vivre ce deuil. J'avais tellement de choses à te dire maman, toi qui était ma confidente, mon amie, t'allais être grand-mère de mes enfants, t'étais le réconfort lorsque j'étais malade, lorsque j'avais besoin de conseils... Qui maintenant je vais pouvoir appeler ?

Me voilà seule désormais... je ne réalise pas que tu m'est quittés... je ne VEUX pas... j'ai tellement mal en dedans... un deuil, un deuil difficile à vivre... j'ai perdu brutalement une perle rare... ma perle, ma mère.

Maman, je t'aime, aide-moi à passer au travers... j'ai mal, je ne sais plus quoi faire, je pleure. Je l'appellerai demain, me disais-je. Maman pardonne-moi de toujours remettre à demain. Je te serrais fort contre moi car je savais que le moment prochain de la revoir était dans cette boîte de bois... je la serrais fort fort fort, en te disant que je t'aime et que je t'aimerai toujours, je la serrais fort fort fort... autant que je t'aime et qu'elle me manquera.

Je suis là, le reste du noyau, les yeux rouges, silence froid, car toi, tu est partie désormais. C'est cela, ce silence dans la chambre, la réalité ma rejoint, je venait de comprendre que tu était partie non pas pour la nuit, mais pour la vie.

Voilà, me voilà seule maintenant, plus de mère, démunie, ne sachant plus quoi dire, penser, je ne fais que pleurer car cette nuit-là, je voudrais rêvée de toi... me réveiller demain et t'appeler et te dire, en tout cas, c'était tout un cauchemar...

Mais non, je suis seule et je dois réaliser que je ne peux plus t'appeler, je n'ai plus de mère. Une mère, cette personne qui nous met au monde et que parfois lorsqu'elle prend trop bien soin de nous, on lui reproche de nous étouffer, lorsqu'elle nous ignore, elle nous manque... lorsqu'elle nous quitte, nous ne savons plus quoi faire, quoi dire. Puisse me réveiller et me dire que j'aurai rêvé... Ah le destin disent-ils... à quoi bon ce destin s'il vient nous chercher les meilleurs en premier ?

Ah oui, vous allez me dire, c'est parce que tu es assez forte pour le vivre ce deuil. Pas sûre, mais je sais que physiquement elle n'y est plus mais que dans mon cœur et dans mon âme, elle m'a laissé les plus belles valeurs et surtout, tout son amour. C'est avec cet amour que je te demande maman.

Ta perte serait encore plus un vide et pénible. Je sais maman que tu n'es pas loin et que tu ma aimés tout le long de ta vie, mais je tiens à ce que tu saches que c'est réciproque. Je pourrais t'écrire une lettre de cinquante pages pour te dire un dernier salut, mais il me manque des mots dans cette terrible douleur, alors je te sens près de moi, je te parle et maintenant, je te laisse partir, dors en paix maman, tu as parfaitement réussi ta vie... En tout cas, ceux qui me disent que je te ressemble, cela apaise ma douleur et me réconforte, mais surtout, j'en suis fière ! Je suis fière d'être ta fille, d'avoir une mère comme toi qui été mis à travers ton chemin, et que tu ma pas lâché.. Je t'aime maman..






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Sheryn: «Tout a commencé a Paris» Où les histoires vivent. Découvrez maintenant