Ce Youtubeur là.

Chapitre 4.

Clap ! Bonjouuur !

Voici enfin le quatrième chapitre. Je l'ai écris pendant mon voyage mais n'ayant pas internet je le posterais sûrement plus tard, sauf si j'arrive à choper le Wi-fi d'un McDo ou d'un Starbucks, toi même tu connais. Merci beaucoup pour tous vos vues et vos votes, ça me fais vraiment plaisir et ça me donne envie de continuer à écrire même si je le fais surtout pour moi, parce que j'aime​ ça et j'aime partager ce que je fais.
Les prochains chapitres seront un peu moins longs, déjà parce que j'ai tout les éléments pour continuer ma fiction jusqu'au chapitre 8 ( Lel jl'ai même déjà écris, je suis dans l'futur moi ) mais je n'ai pas matière à écrire des chapitres comme les précédents, en faite.
Dabisous !

Pdv Maxime.

17h50, 8 juillet 2017, convention à Angers.

On venait de finir de ranger les stands, et de jeter nos éventuels déchets. La convention était terminée, j'étais fatigué et j'avais faim. Cyril, tel un gros porc, s'était enfilé tout le paquet de gâteaux que j'avais pris et ne m'en avait pas laissé un. Monsieur le lillois avait préféré en donner à ses abonnés et me laisser mourir de faim. Que des cons, ces nordistes.
Bref, c'était une super fin journée, et j'espérais vivre la même une fois à Bordeaux.
Enfin, si j'y aller.
J'avais remis ma présence là-bas en question. Je ne savais pas comment y aller, et je n'avais pas demander à mes abonnés qui pouvait m'emmener là-vas, malgré les conseils de Cyril.
Du coup, j'avais deux choix. Soit je me bougeais le cul pour trouver une solution, soit je faisais mon enculé et je bougeais pas d'ici. J'avoue avoir envisagé la deuxième option.
Cyril avait fini plus tôt, il était rentré à l'appart. J'aurais voulu rester avec lui, mais je voulais parler à Valentin. Peut-être​ qu'il s'était disputé avec Cyril ? Nan, il me l'aurait dit. Je n'avais aucune idée de la raison de ses sautes d'humeur, mais je comptais bien lui faire avouer. Ça tombait bien, en faite, puisqu'il avait lui aussi fini et marcher vers la sortie. Je couru pour le rattraper et lui attrapa le poignet. Il sursauta et me regarda avec des yeux ronds.

'' Y c'est passé un truc avec Cyril ? ''

Il leva les yeux au ciel et essaya de dégager son poignet de mon étreinte, mais je ne lâchais pas prise.

'' Tu fais chier, Max. Nan, y s'est rien passé. ''

'' Alors explique moi ? C'est toi qui fait chier, à agir comme ça ! ''

Il me regarde méchamment, je croyais que je l'avais vexé. Mais, c'est la vérité.

''Sérieux quoi, je vois pas c'que j'ai pus faire, ok on est arrivé en retard mais c'est pas raison pour que tu nous parle comme de la merde, à moi et Cyril ! '' Continuais-je

Il soupira, et passa une main sur son visage.

'' Ouais, t'as raison. C'est juste.. Sarah m'a dégagée. Elle veut plus m'voir, et j'sais même pas pourquoi. Je sais que vous y êtes pour rien, mais.. Putain, ça m'fait grave chier, mec. ''

Je lui lâche le poignet. Il aurait pus nous en parler avant. Calmement. C'était ça, son problème. Il s'énervait vachement vite, et nous on comprenait pas forcément. Sarah, c'était sa copine. Elle habitait près d'Angers, et Valentin vivait chez elle. Des fois. Leur relation était assez bizarre, il dormait une fois sur deux chez moi. Pas que ça me dérangeais, mais tout le monde savez qu'eux deux c'était pas du sérieux. Au départ, il nous avez dit que c'était un coup d'un soir. Et il est tombé amoureux. Mais c'était qu'une connasse, de toute façon. J'espèrais juste qu'il allait vite s'en rendre compte. Et puis, c'est pas le premier ni le dernier râteau qu'il allait se prendre, malheureusement. Sarah était absolument pas une grosse perte. Sauf pour lui, bien sur. Malgré son caractère de merde, il méritait mieux qu'elle. C'était une profiteuse, et bien sûr qu'elle allait voir ailleurs. Elle connaissait pas Valentin, et quand elle a su qu'il était youtubeur, elle a commencé à s'intéresser à lui. Je la sentais pas du tout, personne la sentais. Val' savait qu'on l'aimait vraiment pas, mais il en avait rien à foutre. Il disait que c'était pas son problème, et que si ça nous déranger, on était pas obligé rester avec eux. C'était un vrai cancer, cette fille. Elle pourrissait la vie de tout le monde, de toute façon.
Voyant que je ne répondais pas, Valentin continua.