Chapitre 2: La solitude d'Aliéna et celle de la Lune

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  Le soir, avant d'entrée chez moi, je partis a mon entrainement de football. Mais rien ne s'était passer comme d'habitude, Sylvie avait menti a mon sujet et quand je l'eu découvert, tout s'était passée si vite. Le lendemain après cette énorme dispute, qui allait arrivée a un massacre avec Sylvie, je fis comme d'habitude. Je me prépara et partit vers le lycée. A l'arrêt de bus mes voisins me regardaient bizarrement. Je n'y prêta pas attention, lorsque le bus arriva je monta; le trajet me paraissais extrêmement long surtout que je sentais que des personnes qui me regardait dans mon dos. Je descendis à Saint-Just, alors que je m'avance vers la gare deux personnes me suivent, je les reconnus s'étais Morgan et Raven. J'arriva devant une ruelle a l'abri des regards, ils me prirent et m'emmenèrent avec eux; j'essaya de me débattre mais sans y arriver.Ils commencèrent a me tabasser, les coups était de plus en plus fort que mon corps n'était plus qu'un dépris usée et endoloris et Morgan disais:

- C'est pour ce que tu as fait à Sylvie! Tu n'avais pas le droit de lever la main sur elle. Tu as osé lui parler comme un chien, dit Morgan en me redonnant un coups.

- Maintenant au revoir bécasse et ne t'avise plus a faire ça, dit Raven en prenant Morgan avant de partir.Ils partirent en me laissant pour morte dans cette ruelle où personne allée venir. 

Après quelques instants, je réussi temps bien que mal, à appeler Karelle:

- Tu peux venir me chercher vers la gare s'il te plaît .... Viens ... Vite! Je me vide de mon sang.

- J'arrive tout de suite Aliéna! Ne bouge pas ! dit-elle sur un ton très inquiète.

J'essaya de bouger quand je vis Karelle en arrivant, son visage montrais a quelle points elle était choqué. J'essaya de me lever mais une fois debout je tomba dans les pommes. A mon réveil, je vois Karelle près de moi. Je ne pleurais pas, ça ne servait à rien de tout façon, et ne dit rien même pas un mot; Karelle me soigna et me donna des nouvelles affaires.Je me changea puis Karelle me regarda et prit la parole pour couper se silence monstrueux qui s'était installée:

- Qui t'as fais ça Aliéna ? dit-elle en prenant un air sérieux qui ne lui ressemblais pas.

- Je ne sais pas, je n'en sais rien , dis-je en savant très bien que je mentais, je reviens dans une heure je vais prendre l'air.

- Okay! dit-elle surprise par ma réaction.

Alors que je me dirigée vers la porte, j'entendis Karelle prendre son téléphone et appelée quelqu'un, je m'en fichais qu'elle fasse cela, tout ce que j'avais besoin c'est d'être seule.Je savais qu'elle avait appelée Jack pour lui expliquée la situation et il décida devenir me rejoindre. Je m'allongea dans l'herbe et mettais de la musique en contemplant les étoiles. Je me leva puis vit une ombre s'approchant de moi, le peur s'installa dans mon cœur et prise de cette torpeur je décida de courir mais la personne retiens le bras je me retourne et c'était Jack.

- Pourquoi tu es là? Si c'est Karelle qui t'envoie tu peux partir, dis-je agacée.

- Non, je reste, dit-il très sérieux.

- Je n'ai pas besoin de toi, vas-t'en, casse toi! dis-je en m'énervant et je commença a le frapper. Il me saisit les poignets avec du mal car toute cette haine en moi je la déversais sur lui je me débattis comme je peux et je dis: 

- Lâche-moi, dis-je sur un ton haineux.

- Non, calme toi, dit-il sur un ton très calme, très serein.

Je commença a pleurer, à me débattre plus fort puis en voyant que sa n'aboutissait a rien je lâcha prise et pleura. Le temps s'écoula et les larmes coulèrent sur mes joues.

- Tu n'est pas obligé de rester tu peux partir maintenant.

- Non, je reste là quoi que tu dise, quoi que tu fasse; dit-il en me serrant dans ses bras.

- Je suis seule... comme la lune, une solitude sur-dimensionnelle. La lune est une solitaire mais elle a des amies... les étoiles, moi je n'ai rien de cela à part une tristesse et une douleur profonde, dis-je sur un ton mélancolique.

- Tu n'est plus tous seule.... je suis là! Pour te protéger, pour que tu n'est plus peur. Karelle est là aussi et les autres. On te laissera jamais tomber, je te laisserai jamais tombé.

Je redressais la tête et le regarda dans les yeux et vit sa franchise. Jack me regarda et essuya mes larmes, il s'approcha de moi et déposa ses lèvres sur les mienne. Ce baisers était doux, apaisant, magnifique; mon cœur bat à tout allure. Après cela je retourna chez Karelle sereine et apaisée.      

A SUIVRE ....

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