Chapitre 8: Une crise devant lui

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   Alors que j'arriva à Saint-Just, tout le monde me collait pour descendre. Les portes du train s'ouvrirent et tout le monde descendit. Une crise monta en moi avec le manque d'oxygène accumulé lors de la descente du train. Je tremblais de partout, dans les escaliers c'était impossible de rester debout alors je pris la décision de m'asseoir; malgré que je gênais tout le monde, je ne bougea pas. Je ne voulais pas que Jack me voit dans cet état. Alors pendant quelques minutes j'essaya de me relever mais lorsque je commença à descendre les escaliers, quelqu'un me bouscula ce qui me fit un choc, cela me rappela la bagarre, j'essayais de lutter jusqu'à d'avoir monter les quelques marches qui me restées mais impossible puis je vit Jack. Il couru vers moi et pris la parole:

- Aliéna, tu fais une crise, viens je te ramène chez toi, dit-il en me regardant.

- Je ne veux pas rentrer et je ne veux que tu me vois une crise; dis-je en tremblant de fois plus.

- Okay, mais je reste avec toi que tu le veuille ou non! Dit-il en me portant dans ses bras.

 Je sentais que je commencer à sombré mais prise de panique, j'essaya de lutter mais il vit que j'allais m'évanouir et faire une crise de delirium. Il dit alors:

- Aliéna arrête de lutter, dort et si tu fais la même chose à l'hôpital, je m'en occuperai, dit-il en m'embrassant sur le front.

- Je ne veux pas... Puis, je m'évanouis...

Je ne sais pas ce que j'ai fait mais dès que je me suis réveillée j'avais mal partout, j'avais des griffures et je ne voyait pas Jack, Je m'assis, ma tête commença a tourner "je m'en fiche", je regarda autour de moi, on était toujours à Saint-Just au niveau du lac des canards mais personne en vue. Donc je me leva et commença à chercher mais rien donc je partis vers la forêt, je commença à ne plus distinguer le lac car je m'enfonçait dans le profondeur de la forêt. Je n'arrêtais pas de crié "Jack! Jack où es-tu?"
Puis je vis quelqu'un allongé, il ne bougeait pas, pensant que c'était Jack, je couru vers ce corps et remarqua que c'était lui avec des écorchures partout, sur son visage et sur ses bras. Je me disais que c'était moi qui avais fait cela  car j'en avais plein moi aussi sur mes bras mais elle n'était pas aussi profonde que lui ainsi je remarqua aussi que ses mains étaient bien abîmées. C'était-il peut-être battu?J'essaya de le réveiller mais son corps ne réagissait pas, je bougeais son corps mais il ne réagit pas alors j'essaya de le pincer mais il ne fit rien, puisqu'il ne réagissait toujours pas je décidais de lui mettre une bonne gifle mais rien ne le fit bouger. Ainsi je perdis espoir, rien de marche pourquoi ne veux-t-il pas se réveiller? N'ayant plus de force, je m'allongea à côté de lui et mis ma tête sur son épaule puis commença à pleurer parce que cela était du a moi puisque je pars dans tout les sens et je deviens violente à cause de ses crises. Il se réveilla et me dit:
-Aliéna, ça va ? Arrête de pleurer, dit-il en se relevant avec difficultés.

- J'avais peur que tu sois mort, c'est moi qui t'ai fait ça ? Dis-je en regardant le sol. 

- Non ce n'est pas toi, c'est deux gars qui ce sont moqués de toi, on s'est battu car je ne laisserai personne se moquer de toi, dit-il sur un ton de colère. 

- Moi non plus je ne laisserai personne te faire ça à cause de moi, dis-je en le regardant.  Pourquoi tu continue a sortir avec moi? Je suis folle, je ne sers plus a grand chose, cela ne sert à rien de souffrir à cause de moi.

- Regarde moi, dit-il , en me levant la tête, tu n'es pas folle, tu es une fille qui possède beaucoup de gentillesse et une générosité renversante.Tu dépasses toutes les filles et c'est pour cela que je t'aime ! dit-il en me regardant.

- Mais.... tu es sur? Je veux pas que les gens que j'aime souffre à cause de moi, dis-je en baissant la tête. 

- Oui, je ne souffre pas du tout car les seuls qui peuvent souffrir c'est ceux qui nous voit avec notre amour qui souffre, dit-il en relèvent ma tête. Je t'aime et personne ne me dira n'arrêtais ou de continuer.

Il rapprocha sa tête et m'embrassa; je vis la sincérité dans ses yeux. Je l'aime et je l'aimerais a en mourir. C'est celui qui m'apporte le bonheur. On se leva puis parti de cette endroit maudit puis le raccompagna à la gare, ainsi il pris le train et je rentrai chez moi.    

Toi et MoiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant